Relire

J'avais lu le livre Transitions, après ma séparation de mon deuxième mari. Je ne dis pas divorce, puisque le divorce a durée encore longtemps.

Je me sentais perdue et autant que j'avais été obligée pour survivre le quitter, autant que la séparation fut amère et pleine de vinaigre a la fin, une fois passée, je me sentais toujours en transition.

Il m'a fallu du temps pour tout absorber et me réjouir des modifications de ma vie.

J'ai achetée le livre de nouveau, il y a deux mois, me disant que cela fait bien pour préparer des récits qui la plupart sont aussi des fins, transitions et nouvelles débuts.

Hier, tous mes appareils ayant besoin d'être rechargées et le livre près de mon lit, je l'ouvre de nouveau.

"Tous les transitions commencent par une fin."

Souvenez-vous des fins dans votre jeunesse: comment avez-vous réagi ? Je n'ai pas eu le temps de y songer encore assez, mais je vais la faire.

Ensuite, il disait quelque chose que j'avais lu mais pas vraiment pensée dessus: on peut avoir les même angoisse après une promotion ou une réussite.

Le coin est tombée !

J'ai compris enfin, mon état de me sentir en brouillard, mal a l'aise!

Après cinq ans de travail, j'ai réussi l'année dernière de finir le cycle Toastmasters. J'ai réussi mes séminaires sur raconter et mise sept autres sur la scène. J'ai réussi finir mes 77 parutions comiques, comme voulu.

Et maintenant?

N'ayant plus aucun désir ardente je me sens perdue. Normal, dit l'auteur du livre.

L'année dernière était l'année des fins. C'est donc normal de me sentir en brouillard un peu perdue. C'est pas mal de revoir mes dernières dix années, prendre un pause, avant de foncer en avant en quelque chose d'autre.

C'est bien de relire un texte et absorber la sagesse, expérience des autres! Heureusement aussi que mes appareils était déchargées. Je suis rassurée puisque je comprends mieux ce que je ressens.

Déjà Grec!

Pour le dejeuner d'anniversaire, ma belle-fille a trouvé un restaurant Grec près de chez moi, et nous y sommes allées.

Meditaréenne, en fait, ainsi même mon fils a trouvé de quoi choisir.

J'ai voulu me plonger déjà, même avant le départ. En fait, les plats ressemblent à certains plats trouvés en Roumanie. Tarama, salade des aubergines. Plus Yoghourt, alas fort, et des très bonnes olives.

J'ai aussi pris une autre entrée, la meilleure de tous les plats, pate feuileté remplie de fromage de chevre et épinard.

Le serveur, paraissait grec, mais non, il était de Venezualla. Quand je lui a dit que j'y vais, il m'a dit "fait attention, le soleil venant plus verticalement là, est dangeureux". Mets de crème et un chapeau dehors.

Après la photo que j'ai prise de lui, il voulait poser avec moi et c'est cela qui a mieux réussi, celle prise, non par moi.

Je lui doit beaucoup, très bon conseil, dans la photo on voit que j'ai apprécié aussi d'avoir voulu être photographié avec moi.

A ma sortie, il m'a donné son email et adresse Facebook.

Anniversaire de mon fils

Il y a 48 ans, juste avant minuit, il a fait son apparition dans un hôpital a Ham.

L'après-midi, je savais déjà qu'il viendra. Le soir juste après le travail, son père m'a emmené a l'hôpital, mais même le nurse ne croyait pas qu'il viendra si vite.

Je le savais.

Finalement, ils ont du appeler le docteur d'urgence, heureusement, il n'habitait pas loin, et moins d'un demi heure après, le voilà.

Curieusement, avec cheveux noirs, vite disparus pour devenir blond claires. Les yeux bleu se sont montrés seulement après des jours.

J'ai eu la joie de l'avoir près de moi dans un petit lit des le début et pouvoir l'allèter des le début.

Que des souvenirs au cours des années .

Il est adulte dorénavant, mais restera a jamais mon fils dont je me soucie, qui me fait fière et qui m'aime si bien.

Bonne anniversaire, aujourd'hui.

Manger 'a la grec'

Quand j'ai acheté mon billet pour aller en Grèce, j'ai pensée aux photos que je prendrais, au temps plus chaud, au port et petits rues et marchés. Je n'avais pensée aux plat, aliments grecs!

Ah! Non seulement le 'vrai' yoghourt, olives et plats excellents de légumes, mais le tarama et le salade d'aubergines, les gâteau (a consommer avec modération) et les pita remplis de fromage ou légumes. Que des plats aimées !

Je viens aussi lire des pages sur le marchée Agora de centres Athènes pas loin de marche des puces, a visiter le matin - ou midi, et le resto souterrain près de marche de viandes. Puis, au bout: quartier chinois et pakistanais.

A ne pas parler des petits lieux a découvrir par moi, ne figurant pas 'pour touristes' !

Vieux Montmartre

Je me sens ce matin, comme cette virile maison craquellée.

L'infirmière a sortie les coutures, cela ne m'a fait pas mal et pourtant ma tête a commencé a tournée, j'ai eu une malaise. De peur probablement.

Partie faire des ourses, cela est devenue pire.

Une gentille dame près de ma porte m'a aidée porter mes achat a la maison. Ma tête tourne toujours.

J'ai surtout peur ce que tout cela signifie.

Demain, j'aurais sûrement une meilleure journée! .

Pas seule

Je vais aller dans une semaine a Athens et en Juillet a Washington.

Seule.

En fait, je ne serais pas 'seule' ni en Grèce ni en Amérique.

Le web et les activités nous réunit ces jours. A travers le flickr, j'ai trouvée une autre photographe et des autres Toastmasters habitant a Athens avec qui me rencontrer pendant la semaine, et en plus de ma famille, autant en Amérique.

Pour une conférence que j'organise pour April, en plus des raconteurs des âges divers, j'ai invitée une anglaise habitant a Berlin et un polonais habitant a Zurich.

Mes activités et intérêts partagés et réunissants des gens a travers les frontières.

Un des premières images prise au marché

Marché Poteau, Paris 18e, pas loin de la Mairie. Marché plus près de lieu où j'avais travaillé dix ans et pas loin de où j'avais habitais 22 ans.

Prise il y 9 ans déjà, un instantanée une fois que j'avais demandé "puis-je prendre un photo?" du marchand de poisson.

Il avait un visage de Raphael, ancien portraits et il était aux anges d'avoir été photographié. J'avais prise plusieurs de lui par la suite et même de dos, une fois fini il est allé vite raconter au fromagière qu'il avait été photographié.

Helas, la boutique n'était pas le sien, il travaillait seulement là, et je ne l'ai plus retrouvé au marché.

Pas comme le vendeur de legume que j'avais prise plusieurs fois année après année.

Je voulais aller ce matin au marché et il y a même de soleil mais mon pensement est sortie et même si mon dos commence a guérir bien, j'ai un peu perdu le courage.

Peut-être plus tard, j'irai.

Art on a window

C'est le tableau paint sur le mur d'un futur restaurant, que je n'ai pu prendre, comme j'avais utilisée trop mon caméra.

Ou alors, parce que je ne l'avais pas chargé au maximum avant de partir.

Je ne peux pas dire pourquoi cette image me parle ni tout a fait ce que cela me dit. Heureusement, Janice en a pris la photo a ma demande et vient la mettre sur flickr.

En clickant sur Elle, vous pouvez voir aussi d'autres images qu'elle a pris pendant notre promenade commun lundi.

Si j'ai le courage, demain j'irai au marché Broadway, encore plus Nord de Londres. Un lieux où je ne suis pas encore allée.

Pour le moment, prendre des photos m'enchante plus que préparer des nouvelles récits ou écrire. Pourtant il fait froid par ici. Pas froid comme a Montréal ou Chicago bien sûre juste autour de zéro ou un peu plus.

La femme dans la fenêtre est seule. Elle espère ou attend quelque chose qui ne paraît pas venir. Triste, mais toujours en attente. Qui sait?

Sortie de bruillard

Pas cent images, des fois une seule suffit.

En all ant changer mon pen segment le matin, je me suis dit: enfin brouillard a Londres! Il y en a tellement peu relative a ce qu'on avait écrite!

Depuis que le chauffage n'est plus avec charbon je crois.

Je me suis souvenue des leçons apprises il y a neuf ans, planning, aller avec le sujet, et voilà, le cyclist sortie de brouillard suivi par caméra.

Une photo suffit.

Quand c'est comme je l'espérais, ou presque. Oui, le brouillard était la, oui, j'ai suivie le mouvement avec mon caméra aussitôt, mais..' le brouillard n'était pas épaisse.

Grafiti et murs peints autour Brick lane

Avec plus de cent images, maintenant j'ai presque terminée mon album montrant ma balade photographique de lundi.

Que de variété!

En deux heures environ, en même temps qu'une très bonne discussion, sur les rues tranquilles de Brick Lane, qui déborde de marche et touristes dimanche, nous avons vu, admirée et récoltée des photographies intéressantes et colorées, variées.

Je les aurais oubliée presque. Certains, ce sont engravées dans ma mémoire, comme l'homme qui était en train d'en faire un dessin complique noir sur surface blanc. D'autres, aussi qui m'ont impressionnées, mais la plupart, m'ont attirée surtout par leurs couleurs. Ou formes. Ou le lieux où on les a mise.

En tout cas, cette rue et ses environs, un paradis des graffiti et peintures sur murs.

Album se trouve ici.

Hélas, ma cheville gauche gonflée me rappelle d'en faire moins a la fois ou alors acheter des meilleurs chaussures?

Ou alors: se balader plus souvent.

Jan, depuis toujours...

Je ne comprends pas comment je n'ai pas écrit hier, de ma promenade de lundi.

J'ai écrite tellement sous mes photos que je croyais avoir écrit aussi un note dans ce blog.

Je ne vais pas essayer 'récupérer' lundi, jour de ma balade avec Jan mais au moins la décrire et la mettre comme si je l'aurais du, hier.

Non seulement les grand-parents mais les arrière grand-parents de Jan, juifs, ont habitée dans ce quartier de Est - ouest? - de Londres. D'abord, c'est les huguenots français qui sont venus, puis des juifs des pays de l'est, ensuite ceux de Inde et Pakistan.

Ces jours, le synagogue et devenu mosquée et tous les restaurants de Brick Lane sont indiens ou un flaveur ressemblant.

Elle est partie avec ses parents a 18 ans, et revenue seulement depuis dix ans, donc presque tout sa vie ayant vécu a Toronto. Et revenue, attirée par ses souvenirs.

J'ai fait cette balade, me dit- elle, plus de mille fois et je me souviens quand enfant je venais avec grand mère.

Depuis 20 ans, elle vit heureuse avec un homme de 20 ans plus jeune qu'elle. Quelle exemple merveilleux! "Nous avons tellement en commun!" Il avait 26 ans quand ils se sont connus a Toronto. Revenus ensemble a Londres d'où les deux sont nés. Ils travaillent même a la même société et même métier !

Elle connais chaque coin chaque boutique, chaque maison et même les graffitis plus ou moins récents. Qu'elle promenade merveilleuse!

A l'expo des photographes

Pleine de materiel demonstrée, entre autres les lumières a utiliser et les fonds.

Je me suis dit, après avoir fait pas mal de portraits des autres "pourquoi pas en profiter?"

Et j'ai prise celle-ci.

Plus tard j'ai prise une avec le fond tout noir, mais l'expression dans celle-ci est meilleure.

Bien sûre, le materiel utilisé est important, mais l'expression, l'attitude et bien sûre en prenant des autres, le contact avec le photographe et le sujet aussi.

Plus important que l'angle et les corrections. Je crois.

Liste des années

J'ai décidé de commencer avec une liste année par année.

70 Disnayland Paris, North Carolina? Washington.

71 Classe de photo documentaire et balades photo 18 puis 10e arrondissement et découverte de flickr et blogs - début de ce blog. La photo ci joint est l'une des premières portraits de rue prise. Paris 18e.

72 ? Rhode Island, photos et blogs et correction de mes journaux intimes

73 photo promenades dans 20 arrondissements de Paris seule? puis un peu aussi avé cd:autres photographies

74 décision de partir d'Argenteuil a Londres et l'atelier Artist's Way, Meetips de portrait et découverts de Londres et ses marches.

75 Toastmaster, fin de première manuel. Début raconter en public des récits personnels au théâtre, en anglais.

76 raconter devant 500 de la guerre et continuer récits et projets Toastmaster

77 découverte de l'univers Standup comédie et plusieurs ateliers fréquentées.

78 prix de humour et Président de club, organiser atelier raconteurs des récits

79 de 1000-2000 les lecteurs de photo sautent vers 5000-10000 et organiser des grand réunions

80 ?

En fait, beaucoup plus a ajouter, mais je vais les ajouter petit a petit. Les voyages, les contacts avec les autres. Les opérations et problèmes entre temps.

Mais au moins, c'est un commencement.

Mon club

Je suis allée a une reunion de mon club, le premier que j'avais trouvé il y a cinq ans.

J'y est retrouvée quelques anciens, pas mal des récents et six personnes venus pour la première fois. Une entre eux est devenue membre de club, pendant la soirée.

Nous n'étions que vingt ou vingt et un, mais l'atmosphère était très amicale. Un des anciens est venu me prendre a la maison et m'a raccompagné avec sa voiture.

En tout, en revenant je savais, je vais continuer fréquenter le club et aider ceux qui en ont besoin. Tant ceux avancés que les débutants ou ceux qui doivent retrouver une deuxième souffle. Ceci n'est pas un but a me préoccuper ou un test nouveau, mais va durer tant que je peux.

En plus, sortir m'a fait de bien de nouveau.

Un village a Maroc, une rue, un passant

Des couleurs et un passant prise il y a des années - est-ce que j'étais meilleure alors? J'en ai peur.

Gosses dans la rue

Je vais pouvoir prendre des photos peut-etre ressemblants à celle-ci début Février.

Mais je ne serais pas à Londres pour paraitre sur la stage dans un théatre où on m'a invitée.

Après avoir été invitée et avoir acceptée et parlé de ce que raconterai, j'ai demandé "mais quand?" Hélas, les trois jours tombent juste au milieu de mon voyage.

On ne peut pas être en même temps à deux endroits différents et des fois, deux bonne choses sont là, mais il faut choisir.

L'un ou l'autre, on ne peut pas avoir les deux.

La bonne chose est qu'on m'a proposé de faire un monolog au théatre au milieu des pièces et dialogues des autres, un lieu nouvelles pour moi. Et qu'ils étaient interessés. "Une autre fois" il a conclu a la fin.

Oui, mais un petit regret reste malgré tout.

8 points de suture

Ce qui m'a frappée hier, en revenant de l'hôpital est la différence de ma réaction entre les nouvelles qu'on m'a annoncé il y a plus de 40 ans et ce que je pensais maintenant.

Sans me prévenir d'avance, on a opéré hier sur une surface relativement grande et mise ensuite huit points de sutures. A sortir dans deux semaines. 'On vous annoncera le résultat des analyses'

- Pourvue que cela soit seulement BBC! Je pensais. Seulement?

La même chose que j'avais prise avec tellement de difficulté a absorber et peur. Il a a des années.

Maintenant, j'espère que ils ne trouverons 'que' cela! Puisque l'année dernière on a diagnose pire, un SBC qui peut, contraire a BBC s'étendre vers autres cellules. L'année dernière on a réussi a agir a temps, avant que cela va en sang, sortie a temps et bien.

Dans la vie, beaucoup des choses sont relatives ainsi.

Qu'importe que je dois me raser de temps en temps? J'en ris maintenant que cela me dérangeait.

Et même si ce matin je sens la plaie, je sais que cela passera aussi. Et j'espère que demain soir, j'aurais de la force de aller et parler 20' a mon club. En tout cas, penser a autre chose m'a toujours aidée.

Les dernières dix années

Je voudrais écrire un livre.

D'écrire les années après avoir arrivée a soixante dix ans. De 70 a 80 - il. Y a delà vie.

En parlant de mon projet, ou mon rêve, j'ai eu des réactions très différents. Caution de ma fille, comme si je n'aurais rien dit de mon fils, et un intérêt prononcée avec des observations très positives de ma petite fille. Elle a 15 ans allant vers 16 maintenant.

Sur la photo elle avait 5 ou six.

Pas mal des choses sont arrives dans ces dix ans, j'ai fait des choses. Ah, oui! T'en a fait! Elle a déclarée admirativement. Mais aussi, elle a observée le contraste entre notre visit a eurodisney , le jour de mes 70 ans et mon âge alors. Et elle a aussi demandée : tu vas encore a Standup comédie ? Oui, même si pas aussi souvent .

Si je n'aurais rien réalisée d'autre, mais je crois que j'ai fait, mes petits enfants au moins seront convenus que la vie ne se termine pas a 60-70 ans ou après soixante dix.

Elle m'a donnée de courage pour l'avenir et inventive d'écrire.

Ce qu'on regard

La vie est complexe.

Tellement dépend de comment on la regarde!

Par exemple, ce matin, j'ai prise l'image de cette vase. Il parait une vase ordinaire, mais elle est plus vieille que moi.

Je me souviens quand elle était à côté du lit de ma mère, de mes parents, côté maman. Cette vase me parle à chaque fois que je la regarde.

Elle est davantage q'une vase pour moi.

Ce matin aussi, j'ai regardé vers en bas de la fenêtre de ma chambre. Les hautes des voitures gelées.


Brrr!

Mais juste quelques minutes avant, j'avais regardé une magnifique levée de soleil de salon, après avoir vu un film nostaligque à 5 heures du matin.


J'ai prise beaucoup des images de lever de soleil magnigique, puis je me suis dit de tester les divers options de mon nouveau camera. Celle-ci, m'a offerte l'image que j'aime le plus. Je vous l'offre.

Oui, tout dépend ce qu'on regarde et ce qu'on en fait avec.

Trouver et regarder dans la vie la beautée et les bonne souvenirs aide à passer des meilleurs moments maintenant.

2014 London New Years parade

Toujours de lá parade de. Nouvelle année a Londres. Que d'image presque ou ides!

Cette image me parle.

Oui, on peut dire: hélas il a plu le jour de la parade. On peut ajouter, heureusement juste un peu. Ce n'était pas une orage. Oui, il y eut de vent aussi. Heureusement pas froid.

A la place de tout cela, pourquoi ne pas dire: que des faces, des gens heureux a marcher, disant aux autres et a eux même : et alors?

Et alors?

Oui, je suis entrée dans mon 80e année et je dois dire 'et alors' moi aussi.

Dans un trou?

Je. Me cache depuis une semaine dans un trou, sans sortir. Je ne suis pas allée au club de comédie, ni aux autres lieux où pourtant j'ai supposée d'aller ou j'avais voulu aller.

Je ne comprend encore bien ce qui m'arrive.

En tout cas, après avoir publiée la dernière note, une décision subite: j'ai étudiée où je pourrais aller en février pour pas cher et j'ai trouve une semaine près de Athene en Grèce. Cela va m'obliger de sortir de mon trou!

Vivre, au lieu de me cacher.



J'avais commencée découvrir des lieux et me prouver a moi même qu'il y a de la vie après 70 ans, il y a dix ans, avec cette ballade seule a North Carolina. Et année après année, j'ai pris ici ou la, une semaine - ou 5 jours ou dix- pour découvrir des lieux et sortir. La Grèce sera l'on prochaine voyage.

Je ne vais pas habiter en Athene même plus cher, mais dans son port a 12 km distance. Mais il y a un métro pour aller en ville et des bus. Voyager pas cher et en soit un découverte, n'est pas? Et des offres spéciales d'hiver, possible toujours a trouver.

Je pourrais rester chez moi, tant a faire! Lire. Écrire. Me souvenir. Préparer des livres et discours. Ce que je n'aime pas est de décider d'aller quelque part et puis rester chez moi. Trois fois déjà. Cela doit changer. Quand? Comment?

Le plus inquiétant est que je ne sais pas ce qui m'a poussée de rester dans mon trou.

Grèce

J'étais en Grèce il y a très long temps. J'avais, combien? 36 ou 37 ans.

L'été, venant de jugoslavie et sortie en Bulgarie a nord.

Il faisait très chaude en Athene et tant de monde qu'il était presque impossible de garer notre voiture. A part dormir, nous ne sommes rester que quelques heures. Le reste de voyage fut beaucoup plus agréable, au long de la côté et des magnifiques baies avec eau transparent, des monastères en haut des montagnes et la petite ville où on faisait des fourrures.

Donc je pourrais dire presque que je ne connais pas Athene et ses environs: a découvrir .

L'hiver, voyager moins cher

Hiver après hiver, une semaine de. Voyage aïeuls, découvrir cultures et lieux divers.

J'avais découverte que c'est l'époque moins cher avion/hôtel. Et autour d'une semaine me permet autant a découvrir que ne pas me fatiguer trop'

J'avais commencé en 2002 avec Amsterdam mais je n'y suis restée que trois jour, l'hôtel trop cher. Je ne. Connaissais pas encore comment trouver un 'paquet' bonne marche.

En 2004 je suis allée en Tunisie. Et ensuite, une voyage chaque année, 5 a maximum 7 jours. Je ne voyage pas autant que je cela parait! Mais en générale, ils sont des voyages pour découvrir et mes photos me permet de me souvenir tellement mieux!

Bien sur, l'hiver en général pays où il fait chaud, pays où je rêve d'aller et découvrir. Mieux connaître. Non, on ne peut 'tout' connaître en quelques jours, mais je goute et essaye de partager l'atmosphère des lieux.

Je devrais faire des albums avec chaque voyage, d'écrire peu et l'offrir en ligne?

2013 en revue

Bien. Après 5 ans, j'ai enfin arrivée a "Distinguished Toastmaster" - et maintenant?

J'ai contribué au livre '70 chose à faire après 70' paru et disponible sur Amazon avec un article "jamais trop tard".

J'étais dans des atelier pour apprendre à Las Vegas et à Los Angeles, et un conférence de Budapest, et fait un discours important, payé, en Ecosse.

J'ai réussi de créer un atelier 'comment mieux raconter" et à la fin 8 ont parlé devant public racontant leur histoire. J'ai aussi réussi d'organiser deux réunions importants, en collaboration avec d'atures.

Un film a été fait de mes actiivités comiques, liée à ma vie, projeté sur un énorme écran (dans un université.)

J'ai réuni et imprimé deux livres photos, le dernier avec de texte à côté, à continuer. De plus en plus viennent regarder mes photos. Grande responsabilité.

Je suis arrivée à paraître dans mon 77 club de comédie et fait des discours (un tragique, deux comiques, d'autres encore educatifs)

Mon petit fils a écrit un devoir décrivant l'activité de sa grand mère, mieux que l'article paru dans le journal de Budapest!

J'ai aussi passé des horribles jours, avec mon front brulé, a eu plusieurs dents arrachés.

J'ai achevé tellement ces dernières 5 années, mais je n'ai aucune idée ou passion ardent pour achever cette année.

Oui, peut-être un but vague: rester active en entrant la 80e année de ma vie.

Les années 70th, c'est fini "et oui, il y a de la vie après 70" - mais y en a-t-il après 80? L'avenir parait tout a fait en bruillard pour le moment.

Temps variée, nouvelles divers.

C'est 'le temps' - il y a ou non un 'e' après le mot varié ? Est-ce important?

Hier matin, des nouvelles BBC, mauvais nouvelles comme d'habitude. Australie, l'été trop chaud, feux de forêts brûlent des maison. Angleterre, pluie font inonder des routes, détruisent des maisons. new. York, la neige et droit cause d'autres catastrophes.

Que cela soit l'été au bout de monde ou hiver a l'autre, il y a toujours hélas des problèmes.,

Pourquoi ne pas montrer aussi des gens heureux, aux plage? Se promenant dans l'Europe pendant des courtes moments de soleil qui oui, existe aussi, ou des gosses tout heureux de jour sans école avec leur luge sur les rues de. New York ou Washington?

J'ai prise le premier janvier aussi cette photo sombre, rue encore vide, arbres tristes d'avoir perdu tous leurs feuilles et l'asphalte inondée de la pluie. Le ciel menaçant d'avantage.

J'ai aussi prise cette image de la femme m'envoyant un sourire pleine de complicité et chaleur.

Je la porte dans mon cœur. Il y avaient des moments magiques.

Pourquoi ne pas montrer les deux au moins?

Que des souvenirs!

Après presque 24 heures sans web, je viens de regarder et mettre d'autres images de la parade de la nouvelle année sur ma site.

Que des souvenirs des moments forts!

Cette image est peut être trop pleine, mais me parle. C'était vers la fin. Je suis sortie de mon abris de la porte de bus, pour prendre des photos de plus près.

J'en ai prise des gens âgées sur énormes motos, des jeunes et vieilles femmes avec la pluie dégringolant sur elles pendant qu'elles marchaient et certains même dansaient et dans cette image, j'ai aperçue une femme maigre tremblant de droit ou fatigue.

Je me suis approchée, elle a force un sourire, pour la photo. Il ne faisait pas froid, elle avait un homme la tenant d'épaule et avec un parapluie. Je me suis demandée si elle était malade? En tout cas elle était la et a continuée son chemin. Il y avait encore deux miles, plus de trois kilomètres a parcourir dans la pluie et vent. Comme je me suis placée la où la parade commencée.

Que des gens courageux j'ai vu ce jours!

L'année nouvelle continue

Le 1ere Janvier, j'ai prise plus de 200 photographies dans le vent et la pluie.

Celle-ci, que j'ai mise aussi hier ici, vient d'être publié dans le journal quotidien et sur web, Londonist, avec un lien vers ma site.

Je l'avais prise tout au début.

Peut-être, c'est même la première que j'ai prise, une fois qu'on m'a donnée ma badge "press".

Et voilà, que je n'ai pas mentie: c'est comme si j'étais vraiment une photographe de presse.

En fait, bien sûre, c'est aussi parce qu'entre autres groupes en Flickr, je l'ai mise dans le groupe de Londonist, pensant que c'est une photo "publiable".

C'est aussi vrai, que hier et le 1e Janvier, j'ai eu environ 12.000 visites et ce matin, à peine 6 heures déjà 3.800. C'est un très bonne façon de "montrer les photographies" en les mettant en flickr et aussi dans divers groupes et leur donnant des mots clés appropriés.

Pendant que c'est agréable d'avoir son travail vu, c'est aussi une grande responsabilitée.

Comme les discours et récit à lequelles je me suis inscrite pour Janvier. Hélas, cela me fatigue à en tenir compte, où je dois aller et quand? Je dois les prendre plus sérieux!

En fait, je fais autant la photographie, portraits surtout pour avoir contact avec ceux dont je le prends, et parler en public aussi m'apporte contact autant pendant qu'après. C'est ce que j'en ai besoin, dans cette année de mes 80 ans : me sentir vivante et me sentir liée aux autres ne serais-ce que des instants.

Les instants de contact et compréhension réciproque apportent de la joie!

Resolution de la nouvelle année

J'ai très bien commencé l'année nouvelle, l'année dans laquelle je commencerai ma 80e année.

La meilleure est la réussite de sortir et faire quelque chose malgré les obstacles devant moi, d'avoir prouvé à moi même que j'arrive encore à m'accrocher, a me débrouiller et me connecter.

Je suis sortie bien habillée, tout en ma poche et rien dans ma main, à 9 heures de matin.

Il pleuvait.

Je me suis dit "je ne suis pas de sucre", j'ai un petit parapluie (que le vent a retourné plusieurs fois plus tard)et je ferais ce que je peux, tant que je la peux. Déjà ravie de moi même d'avoir sortie et pas retournée.

Le bus est arrivé rapidement, presque personne dans la station de métro le matin de 1er Janvier. Le métro m'a réapidement déposée au Westminster où était l'office de Media pour recevoir le pass.

J'avais écrit, en la demandant et j'avais recu un réponse positive, mais me disant de venir la prendre avec la lettre imprimée.

Mes imprimants sont hors service.

J'aurais du acheter un en marche! je me répétais, anxieuse que mon nom sur la liste ne va pas suffire.

Il a suffit.

On ne m'a même pas demandé ma carte d'identité et me voilà avec mon badge de PRESS.

C'était tôt, presque deux heures avant que la parade arrive là. Je vais découvrir où cela commence. "Environ 2 miles" Plus de trois kilometres? Il pleuvait, tant pis, mais le vent était plus forte et je luttais avec mon parapluie.

J'ai commencé ma marche et sur le chemin, j'ai rencontré d'autres bravant le temps.

Le vieux vétéran était venu avec tous ces décorations et avait trouvé un place "ici on ne va pas me pousser, personne derrière moi",


La jeune fille s'était enveloppée jusque cou dans son imperméable rouge, assise près de mur. Ravie de me parler et d'avoir trouvé comment attendre jusque la parade arrive. "Je suis un peu plus haute ici, je verais mieux que les autres". Personne n'était encore là à cette heure, mais les gens sont arrivées avec le temps.


J'ai aussi parlé avec les gardes responsables et au mari d'une vendeuse de l'eau "officiel", et à un photographe allemand, habitant à Londres. Ces rencontres et connections m'ont permis de continuer ma marche. Et voilà le photographe venant d'Allemagne.


C'est vrai, de temps en temps, j'étais tentée de me réfugier de la pluie et vent.

J'avais trouvé un cabine téléphonique. Il lui manquait un petit fenêtre "juste assez bien pour que mon camera voit bien!" Mais non. Je coontinuerai encore un peu.

J'avais trouvé une chaise, à Traffalgare Square, dans un café d'où on pouvait bien voir dehors. Je me suis assise quelques minutes: j'étais à peu près a moitié de mon chemin. Assise, assise, assez! Je suis sortie et continuée.

J'avais trouvé ensuite un lieu pour m'assoir, temporellement, mais je n'avais pas des tiquets et ceux qui en avaient sont arrivés. Je me suis levée et continué mon chemin tout en admirant les divers métodes utilisés par les uns et par les autres a s'abriter de la pluie.

Et continuant de prendre des photos.

Heureusement, mon ancien caméra cassé à Budapest, et mon nouveau "impermeable". Hélas, un peu d'eau était arrivé dans l'objective. J'ai réussi à la sécher. Je n'utilisais plus la parapluie (trop vite trop souvent retournée) que pour abriter de temps en temps mon caméra.

Entre temps, d'autres contacts et photos aussi.

Des parents ravis que je veux prendre photo de leurs enfants, etc.

Et de peu en peu, je suis arrivée a Green parc où le chemin de ceux qui paradaient se cassée en deux. Laquelle prendre?

Je suis restée là.

Où m'abritter? Je regardais les gens, pleine des gens dorénavant, sous les arches de l'hotel Ritz: trop loin! Je n'ai pas mon pass de Press pour aller entre ceux qui regardent d'au dejà des barrières!

Je regardais ceux qui avait une cabine spéciale pour prendre de vidéo du haut et l'abrie. Ils ne vont pas me laisser y aller et de tout cas, je voulais prendre des images de près.

Voilà un bus "loué spécialement" pour des photographes. Seulement cinq ou six en haut.

J'ai osé à m'abriter sur les marches, la porte était restée ouverte. Ainsi j'étais tout prés mais il ne pleuvait pas sur moi et je peux y rester jusque on me met dehors, on me demande de descendre.

J'ai mis mon parlapluie derrière moi par terre, la moitié de marche était là pour qu'on puisse descendre ou monter.

J'ai pu restée là pendant toute la parade.

Je suis sortie un peu, de temps en temps, pour aller plus près, prendre ceux qui ouvraient la parade réprésentants de parlement, de la ville, etc. Un podium ad hoc pour eux mise pour les quelques minutes.

Et la parade commence!

Oui, dans la pluie et certains luttant contre le vent avec leurs déguisement spéciale, pleines des bandes musiqaux venus ont chanté. Des danseur dansé. Presque comme s'il ne pleuvait pas!

C'est vraie, j'ai rencontré une fille tremblant de froid (mais pas beaucoup) mais aussi des gens agés, certains probablement plus que moi, défilant souriant et fiers. Et une femme plaine de joi tournant autour d'elle même avec grace.

200 photos plus tard, vers deux heures après-midi, la parade fini, je descendu les marches mouillée de métro.

Je l'ai fait!

Non seulement, prise des photos, des gens et leur courage, "Un peu de pluie, du vent ne va pas nous arrêter!, nous sommes là!" mais surtout, j'ai prouvée à moi même que je m'accroche encore, je me suis débrouillée pour être entre le Presse, pour m'abriter vers la fin, pour résister.

Mon pied et mes épaules se ressentaient. J'avais heureusement prise avec moi un médicament contre douleur, j'ai acheté un petite boutaille d'Evian pour les avaler.

Curieusement, les pas dans ma rue, trois longues immeubles, étaient les plus dures. Mes bottes non impermiable remplie presque de l'eau, mais je me suis dit "trop tard de se pleindre, fait un pas a la fois!"

Encore un pas et encore un pas et me voilà chez moi. Ah? Meme le bas de pantalon est mouillé. Je suis chez moi, je peux m'en débarasser.

Manger enfin. Puis, regarder mes images. Commencer à les montrer. J'ai oubié tout, plongée dans les images.

Resolution de la nouvelle année? De me prouver que je peux encore! Prouver qu'il y a de ma vie après 80 ans!

Je vous souhaite une merveilleuse année!

Bonne année 2014!

Il va pleuvoir aujourd'hui toute la journée, dit le météo. Et moi, j'ai réussi d'obtenir un Pass comme photographe pour la parade de la nouvelle année.

Si eux ils vont défiler et danser et faire de la musique dans la pluie, moi, je dois aussi affronter les 'éléments naturelles.

Dans la photo, ce n'ai tait pas a Londres ni la nouvelle année, mais il pleuvait. Et elle, comme les autres, ont continuée de danser.

Pour moi,c'est restée le symbole de courage et persévérance et je l'ai toujours dans mon salon.

Les autres dansaient aussi, mais c'était son visage qui a la place de l'ennuie me disait le plus, du courage et de la joie de continuer de danser pendant que tous les autres qui regardaient s'abritaient sous parapluie.

Oui, elle était jeune, mais elle me dit: aie courage!

Peut être, mes images prises aujourd'hui ne seront pas 'belles' mais ils parleront du courage, persévérance et résilia ce humaine. De tous participants, et même, de ceux les regardant.

Bonne année a tous!