Je voudrais bien pouvoir dire, que j'ai prise cette image hier: mais elle date de 4 ans.
Hier, je ne suis pas finalement sortie, même pas a mon cours.
Affaiblie par les deux plaies encore pas refermes, qui guérissent, j'ai pris un médicament pour dormir au début de après midi et réveillée, je n'ai pas eu le courage,de sortir.
Ma peau gérait, après les.traitements, mais lentement. Enfin, trop lente à mon goût. Pourtant, le grande horrible coupure, opérée il y a une mois, c'est non seulement complètement refermée, mais elle parais juste un des rides de sourire de plus. Je compris maintenant pourquoi, avant d'opérer, la chirurgienne m'a dit: souris, souris, souris. Elle avait besoin de marquer, reconnaître les lignes.
En quelques moi, semaines, peut être jours, peu des traces resteront des ceux deux, relativement mineurs et petits, encore ouvertes ce matin.
Et aujourd'hui, comme j'ai rendez-vous de nouveau à l'hôpital, je sortira pour sûre, je prendra mon appareil photo, et au moins je ferais une nouvelles images.d'un autre feuille d'automne.
À l'hôpital, ils vont photographier mon corps, ma peaux, pour mieux suivre tout nouvelles change arrivée en futur.
L'automne revient chaque année avec ses pluies, ses froids et ses couleurs magnifiques. Les plaies se referment, guérissent, et - pour le moment, me permet de continuer à vivre et si je décide ainsi, avoir de la joie de tout qui est autour de moi, de tout qui peut être, de tout qui arrive.
Tant ce qui existe ou reste, que ce qui n'est qu'un ombre fugitive. Des magnifiques couleurs, et non seulement, mais des contrastes et des ombres fugitives.
Je vais me concentrer de plus en plus sur le positive. Cela même aide aussi à guérir!
Hier, je ne suis pas finalement sortie, même pas a mon cours.
Affaiblie par les deux plaies encore pas refermes, qui guérissent, j'ai pris un médicament pour dormir au début de après midi et réveillée, je n'ai pas eu le courage,de sortir.
Ma peau gérait, après les.traitements, mais lentement. Enfin, trop lente à mon goût. Pourtant, le grande horrible coupure, opérée il y a une mois, c'est non seulement complètement refermée, mais elle parais juste un des rides de sourire de plus. Je compris maintenant pourquoi, avant d'opérer, la chirurgienne m'a dit: souris, souris, souris. Elle avait besoin de marquer, reconnaître les lignes.
En quelques moi, semaines, peut être jours, peu des traces resteront des ceux deux, relativement mineurs et petits, encore ouvertes ce matin.
Et aujourd'hui, comme j'ai rendez-vous de nouveau à l'hôpital, je sortira pour sûre, je prendra mon appareil photo, et au moins je ferais une nouvelles images.d'un autre feuille d'automne.
À l'hôpital, ils vont photographier mon corps, ma peaux, pour mieux suivre tout nouvelles change arrivée en futur.
L'automne revient chaque année avec ses pluies, ses froids et ses couleurs magnifiques. Les plaies se referment, guérissent, et - pour le moment, me permet de continuer à vivre et si je décide ainsi, avoir de la joie de tout qui est autour de moi, de tout qui peut être, de tout qui arrive.
Tant ce qui existe ou reste, que ce qui n'est qu'un ombre fugitive. Des magnifiques couleurs, et non seulement, mais des contrastes et des ombres fugitives.
Je vais me concentrer de plus en plus sur le positive. Cela même aide aussi à guérir!
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