The Royal Collection: The Prodigal Son, DÜRER
Je ne vois pas souvent des chooses qui m'enflamme y tant que presque tout ce que DÜRER a product. J'ai un livre, trouvé a Boston, il y a fort long temps, en allamanda que je ne comprends pas beacoup, mais pleine de ses gravures.
Dans une autre vie, je crois avant avoir rencontrée mon deuxième mari, je suis devenue amoureuse de Durer, mort 500 ans avant. Je sens encore et toujours une connections avec lui.
J'avais besoin de quelque chose à me sortir du marasme où je me trouve, de la lamentation sur moi, non seulement apprendre que mon cancer de peau s'est empire, mais aussi de vivre seul et loin de tout le monde. De ne pas avoir réussi de créer des copains ou vraie amie, que je peux appeler au besoin.
M'enfoncer en Durer, relire des poèmes ou... Je dois trouver quelques chose m'aidant à passer les premiers temps: incroyance presque de ce qui m'arrive, arrivera. Ensuite, il paraît viendra la fureur, l'accepta ce, et comment prendre tout ce qui arrive.
Pas grave, pour le moment, seulement désagréable.
Je n'arrive pas a mettre de pansement sur mon dos. Ceci, je trouvera un moyen de résoudre.
Le front aura un ronde en plus: comme une brûlure de cigarette: et alors? Des traces divers, je m'en fous. Maintenant, en plus de tout le reste, je dois me soucier à ne pas laisser, ne pas négliger, si je crois que cela s'est propagée aux ganglions. Pas encore. Un jour.
En France, on ne raconte tout cela que a la famille, mais ici et aussi en Amérique, ils croient, bien, que celui à qui arrive et arrivera, à le droit de savoir. Alors, on me l'a dit, mardi, les résultats des analyse sur ce qu'ils ont sortie de mon peau, visage, deux ou trois semaines avant.
Je ne suis encore assez forte pour lire tout la littérature qu'on m'a passée. Le temps viendra. Pour le moment, je dois trouver des choses pour passer le temps: une fuite avant.
Je trouvera. Durer sera avec moi!
Bonsoir Julie, ces moments ne sont pas faciles pour toi, c'est certain. Pour autant, je crois qu'il ne faut pas "t'arrêter" à ce diagnostic que la médecine t'a donné. Les mots sont parfois trop parlants, ce mot surtout. Entre l'instant où il n'a pas été prononcé et celui qui suit, tout semble remis en cause. Il faut, comme tu le dis, que tu sois à l'écoute de ton corps, ne pas négliger un signe, prendre soin de toi, mais pour autant il ne faut pas que ce mot te gâche la vie, qu'il devienne le centre. Julie, c'est toi le centre, ce n'est pas une fuite en avant, et quand bien même "en avant" c'est l'avenir, "Durer" cet artiste et son patronyme te vont bien. Je t'embrasse. (PS : je prends le risque de t'écrire cela, en souhaitant sincèrement que je ne suis pas trop intrusive, ni donneuse de leçons, mon intention c'est t'encourager et te prendre par la main, si modestement que je le peux de si loin).
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