On continue

J'avais fini et je suis arrivée à la plus haute degré de "Communication" dans le Toastmasters, "Or", mais encore avant de l'avoir tout à fait fini, en organisant un séminaire, j'ai recommencé le tout à partir de début.

J'avais aussi fini les premières dix projets, en comprenant maintenant un peu mieux que des autres fois comment moduler ma voix, comment commencer et finir, etc.

Je suis en train de continuer, en prenant des manuels que je n'avais pas avant. Apprenant des nouvelles façons de parler. Cette fois, les cinq projet que j'ai commencé s'appellent "Discours par le direction".

Ce soir, dans un des clubs "Donner des mauvaise nouvelles" et demain, dans l'autre, "Conseil avec tact" ou quelque chose similaire. Pas facile à traduire.

Après cela, il me reste "Informer de Change" et un dernier, dont je ne me souviens pas maintenant, que je vais préparer pour mon propre club et le mois de Mai.

En parallèle, je reprends de manuel que j'avais déjà "fait" une fois sur "Raconter des histoires". Mon prochaine histoire est "Souriez" qu j'ai commencé à préparé et que je vais dire Mercredi prochaine dans un club loin d'ici.

Mon attention est de nouveau un peu changé, non que je ne continue pas mes performance comiques (j'ai cinq programmé déjà) mais cela ne me préoccupe pas pour le moment. Hier, j'ai eu de la joie, quelqu'un m'a écrit à travers Facebook "j'ai entndu du bonnes choses sur toi, peut tu venir dans mon club, nord du Londres jeudi, 10 Mai".

Oui, j'irai. Au moins, pour voir comment c'est, mais aussi parce que c'est ma première invitation écrite. J'ai eu aussi trois autres dit et plus vagues "reviens".

En tout cas, à partir de maintenant, je vais tâcher à relaxer, finir ce que j'avais commencé et peut être, pour l'automne, préparer une histoire plus longue, ou plutôt un spectacle de demi heure ou une heure, avec plusieurs récits liés les uns à l'autre.

On verra. Cela me parait pour le moment un grand pas en avant, pas facile, donc peut être intéressant.

En quoi je me mets encore les pieds? Je ne décide pas ce printemps. A chaque fois, qu'on arrive à finir quelque chose, on se rend compte qu'il y en a encore d'autres devant qu'on n'a même pas vu ou compris auparavant.