Nous recevons souvent un cadeau inattendu;
Hier, en allant dans la pluie, après bus/métro/bus, a mon 30e club de comédie, quelque part au centre de Londres, mais hors des places touristiques ou facile à joindre, d'un coup une paysage magique s'est présentée à moi.
La pluie s'était arrêtée, c'était presque huit heure de soir et les lumières du "taverne" pub "The Fitzgeroy" où j'allais était allumée. J'étais en retard, au moins je le croyais. Mais en tout cas, je me suis arrêtée, j'ai sortie ma petite camera que je prends avec moi, encore. "On ne sais pas pourquoi".
Là d'un coup je le savais.
Une grande porte au milieux au fond de la rue. Une arbre d'un couleur vert printemps. De l'eau sur la rue. Le tout formait une paysage magique! Voilà les trois images prise de ce que j'ai vue.
Ensuite de plus près, avec zoom de mon camera.
C'est l'image me plaisant le plus.
Ensuite, encore plus près. C'était l'entrée d'un hôtel. Et un autre pub. Il y a souvent des gens dehors, préférant de discuter et boire devant et pas dans le pub. Bondé des fois. D'autres aiment rester près du bar.
Il a fallu cette lumière spéciale de soir après la pluie et les ombres et réflexions dans l'eau, et la couleur magique des feuilles de printemps, pour m'offrir cette magie urbaine. Je n'étais tard, j'ai dû même attendre 20 minutes avant le début. Mon 30e numéro de comédie s'est bien déroulé.
La salle était "froid" peu des rires avant moi pour les autres quatre numéros. 12 comédiens, 7 "audience" est deux qui menaient les jeux en tout dans la salle. J'ai réussie de nouveau à les faire réagir et rire, même si pas à tous les places habituelles. Mais certaines parties nouvelles, que j'ai ajouté récemment, ont été confirmés. Ils font rire.
Surtout les références aux Web "ne m’appelez pas le demain, trouvez moi avec Google" par exemple. "Je t’appellerai demain" après un rencontre d'une nuit. Le dit-on en Français? Et on ne pense pas à une vieille, trouvable sur le Web. La phrase n'est pas une blague et comique en soit, mais il fait rire à tout les coups. J'ajoute alors: mon nom sur web est Julie70. Pas 77. Je suis une femme malgré tout.
C'était la fin et ils ont rit de nouveau et même le compère (meneur de jeu) s'est rappelée de Julie Soixante-dix.
Bien sûr, en comédie je torde un peu les vérités, pour effet. Le 70 était vrai tout à fait quand j'avais choisie ce pseudo pour les blogs et images, comme le Julie était déjà prise. Et on ne change pas son pseudo chaque année.
Je me demande, ce que je ferais en arrivant à 80?
C'est encore loin. Trois ans, trois ans et demie, tellement peut se passer! Tellement c'est passé depuis autant de temps, depuis que je suis à Londres, aussi. En tout cas, j'ai prouvé encore qu'il y a de la vie après 70. Et hier, j'ai décidée que mon nom de scène sera dorénavant "Julie Seventy" (seventy est 70 en anglais): tous peuvent se le rappeler, non comme mon nom de famille...
Et je n'écrirai plus autant de chaque club, ce qui peut ennuyer. Au moins, que quelque chose spécial arrive là, bien sûre. La prochaine fois, ce sera à Paris. Après cela je pourrais dire que j'ai fait de la comédie "internationale" dans différents pays! Haha. J'ai vu qu'on utilise tout pour se faire de la publicité, en fait, le mieux c'est toujours la dernière numéro et faire rire. Mais pour obtenir des places tout peut être utile.
Et qui sait, peut être une fois, on me payera quelque chose pour faire rire.Une fois suffit d'ailleurs, comme pour "raconter une histoire" : j'étais payée une fois, pas mal déjà. Je pouvais dire être "pro" raconteur professionnelle, même si c'était exagérée. Pas tout à fait... On vient de m'offrir tout frais payés (mais pas d'argent en plus) pour raconter des histoires à Edinbourgh, à la marge des grande festivités, le plus fameux lieux pour comédie en août. Cela me donnera l'occasion, si cela arrive vraiment, d'aller aussi dans un club de comédie et pouvoir dire que j'ai aussi joué à cette fameux festival, sans d'autres frais en plus.
A partir d’aujourd’hui, je me prépare pour mon voyage. Et on ne sais jamais en partant, à ce que cela peut mener!
Hier, en allant dans la pluie, après bus/métro/bus, a mon 30e club de comédie, quelque part au centre de Londres, mais hors des places touristiques ou facile à joindre, d'un coup une paysage magique s'est présentée à moi.
La pluie s'était arrêtée, c'était presque huit heure de soir et les lumières du "taverne" pub "The Fitzgeroy" où j'allais était allumée. J'étais en retard, au moins je le croyais. Mais en tout cas, je me suis arrêtée, j'ai sortie ma petite camera que je prends avec moi, encore. "On ne sais pas pourquoi".
Là d'un coup je le savais.
Une grande porte au milieux au fond de la rue. Une arbre d'un couleur vert printemps. De l'eau sur la rue. Le tout formait une paysage magique! Voilà les trois images prise de ce que j'ai vue.
Ensuite de plus près, avec zoom de mon camera.
C'est l'image me plaisant le plus.
Ensuite, encore plus près. C'était l'entrée d'un hôtel. Et un autre pub. Il y a souvent des gens dehors, préférant de discuter et boire devant et pas dans le pub. Bondé des fois. D'autres aiment rester près du bar.
Il a fallu cette lumière spéciale de soir après la pluie et les ombres et réflexions dans l'eau, et la couleur magique des feuilles de printemps, pour m'offrir cette magie urbaine. Je n'étais tard, j'ai dû même attendre 20 minutes avant le début. Mon 30e numéro de comédie s'est bien déroulé.
La salle était "froid" peu des rires avant moi pour les autres quatre numéros. 12 comédiens, 7 "audience" est deux qui menaient les jeux en tout dans la salle. J'ai réussie de nouveau à les faire réagir et rire, même si pas à tous les places habituelles. Mais certaines parties nouvelles, que j'ai ajouté récemment, ont été confirmés. Ils font rire.
Surtout les références aux Web "ne m’appelez pas le demain, trouvez moi avec Google" par exemple. "Je t’appellerai demain" après un rencontre d'une nuit. Le dit-on en Français? Et on ne pense pas à une vieille, trouvable sur le Web. La phrase n'est pas une blague et comique en soit, mais il fait rire à tout les coups. J'ajoute alors: mon nom sur web est Julie70. Pas 77. Je suis une femme malgré tout.
C'était la fin et ils ont rit de nouveau et même le compère (meneur de jeu) s'est rappelée de Julie Soixante-dix.
Bien sûr, en comédie je torde un peu les vérités, pour effet. Le 70 était vrai tout à fait quand j'avais choisie ce pseudo pour les blogs et images, comme le Julie était déjà prise. Et on ne change pas son pseudo chaque année.
Je me demande, ce que je ferais en arrivant à 80?
C'est encore loin. Trois ans, trois ans et demie, tellement peut se passer! Tellement c'est passé depuis autant de temps, depuis que je suis à Londres, aussi. En tout cas, j'ai prouvé encore qu'il y a de la vie après 70. Et hier, j'ai décidée que mon nom de scène sera dorénavant "Julie Seventy" (seventy est 70 en anglais): tous peuvent se le rappeler, non comme mon nom de famille...
Et je n'écrirai plus autant de chaque club, ce qui peut ennuyer. Au moins, que quelque chose spécial arrive là, bien sûre. La prochaine fois, ce sera à Paris. Après cela je pourrais dire que j'ai fait de la comédie "internationale" dans différents pays! Haha. J'ai vu qu'on utilise tout pour se faire de la publicité, en fait, le mieux c'est toujours la dernière numéro et faire rire. Mais pour obtenir des places tout peut être utile.
Et qui sait, peut être une fois, on me payera quelque chose pour faire rire.Une fois suffit d'ailleurs, comme pour "raconter une histoire" : j'étais payée une fois, pas mal déjà. Je pouvais dire être "pro" raconteur professionnelle, même si c'était exagérée. Pas tout à fait... On vient de m'offrir tout frais payés (mais pas d'argent en plus) pour raconter des histoires à Edinbourgh, à la marge des grande festivités, le plus fameux lieux pour comédie en août. Cela me donnera l'occasion, si cela arrive vraiment, d'aller aussi dans un club de comédie et pouvoir dire que j'ai aussi joué à cette fameux festival, sans d'autres frais en plus.
A partir d’aujourd’hui, je me prépare pour mon voyage. Et on ne sais jamais en partant, à ce que cela peut mener!
quelle chance ! tu as parfaitement raison ma Julie seventy, tu seras toujours 70 et même après, seventy - seventeen, il n'y a pas d'âge trop important pour ceuc qui vivent aussi bien que possible et qui partagent surtout :)
RépondreSupprimerbon séjour en Ecosse ! passe au pub de Ian Rankin (inspecteur Rebus) et fait des photos pour moi (c'est l'Oxford bar) voir ce lien :
http://www.ianrankin.net/pages/content/index.asp?PageID=146
ces photos ici sur ce billet sont absolument merveilleuses, tu as bien raison les couleurs et la lumière sont infiniment bien mélangées, très chaleureux