lundi 21 avril 2008

Pendant que mes lilas

Pendant que lilas dans mon jardin commencent à s'ouvrir, et pour la première fois j'y vais assez près pour observer les bourgeons près des fleurs ouvertes, de prendre pleine des images et d'experimenter,

Au Quebec, Canada, le neige n'a pas encore fondu, Etolane qui blogue depuis 2003 ou même avant, montre sa petite fille grandissant, faisant un bonhomme de neige et dans un note de son blog, elle parle comme d'habitude avec une ouverture et même temps pudeur, cette fois-ci, des difficultés de dormir (sans se réveiller) près de son mari chéri, qui l'a suivi à travers l'Océan, lui a sauvé la vie et l'aime tendrement.

Quelle femme courageuse, Etolane, quelle profondeur et ouverture dans ses textes. J'ai vécu trois années déjà avec elle, en l'accompagnant à travers grossesse et difficultés autour de naissance de Lily-le-Soleil, faillant lui coûter la vie. Heureusement, son mari était là. Heureusement, elle a lutté pour survivre. Maintenant, qu'elle reprenne des pouvoir, se cherche non seulement comme maman, mais reprendre un peu, petit à petit aussi de son ancien soi.

Aux iles lointaines de Polinésie, Bora-Bora, c'est déjà l'été et sur les images que Annie nous montre, des chaise longues près du plage. Annie, je l'ai connu à travers mon blog sur la Roumanie, allée la voir a Douadenais près d'Amiens (elle s'y trouve maintenant pour deux semaines). Annie a suivie son mari partie dans les iles pour ouvrir un cabinet vétérinaire. Enfin, reprendre le cabinet de quelqu'un qui s'en allait.
Annie a quitté sa famille, sa ville et pays de naissance et suivie son bien aimé, presque au bout du monde. Annie courageuse, travailleur sans relache à mille idées pour l'école et ses élèves, Annie qui refait maintenant une vie ailleurs.

En Autralie, c'est l'automne comme vous voyez ci-dessous.

Anaya,celui de son petit enfant qu'elle élève seule maintenant, elle la grand mère ayant survécu un cancer de sein, elle publie des textes dans son LifeJournal pseudo ZebraArtiste, parlant de sa nuit agité, elle non pas à cause des ronflements de son mari, mais des pleurs de son petit fils, et des difficultés a lui apprendre de la laisser dormir une seule nuit. Enfin, il s'est endormi de nouveau, je peux maintenant aller de nouveau dans mon lit, dit cette grand mère courageuse, dans son blog journal. Nous montrons nos diverses facettes dans nos messages, pas seulement une perpétuelle sourire polie.

Que des exemples merveilleuses, des femmes fantastiques n'ai-je rencontré à travers les blogs. Pas "virtuelles" du tout. Des femmes en chair et os, souffrant et rebondissant, osant aimer et osant le dire. Osant se pleindre, mais aussi montrant tout leur amour, non seulement par des mots d'ailleurs mais par des faits.

Je n'ai rencontré personnellement, entre celles que je parle aujourd'hui, seulement Annie, qui m'a acceuillie deux fois chez elle, avant qu'elle part loin, mais je sens que je les connais toutes si bien!

En quelques heures, nous avons ouvert notre coeur, parlant aussitôt comme des anciennes amies l'une à l'autre.

Que j'ai vécu a côté d'elles depuis trois ans, ou trois mois, l'Internet m'a permis suivre leur vie. Admirer leur courage. Leur persévérances, leur luttes et peines exprimés ouvertement, donnant courage aux autres de continuer.

Qu'il soit printemps, été, hiver ou automne, là où elles vivent maintenant, ce sont toutes les femmes qui courbent, luttes à reprendre l'air et rebondissent.

6 commentaires:

  1. Bonjour Julie,
    Finalement, pas si anonyme, pas si impersonnel le Net. C'est quand même épatant de vivre ou suivre en même temps plusieurs saisons, plusieurs histoires.
    Bon lundi

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  2. Allo chére Julie, c'est les yeux humides et de l'émotion dans la gorge que je dépose ses mots pour te remercier de ta fidélité et de ces mots qui me touchent profondément! Une bouffée d'affection je te souffle de mo printemps fondant...

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  3. Merci Julie pour ces mots de toi qui racontent une petite partie de ma vie.
    Pas besoin de courage pour vivre cette aventure au bout du monde...simplement une philosophie de vie : je préfère "avoir des remords que des regrets" !
    Nous sommes partis pour acheter un cabinet vétérinaire à Bora et finalement çà ne s'est pas fait - Nous avons donc créé une clinique vétérinaire à Tahiti et je suis devenue la collaboratrice non salariée de mon chéri- 1 an après, nous avons la possibilité de créer une seconde structure à Bora dans un petit centre commercial en construction qui devrait ouvrir en fin d'année.
    Et la "Baraka"....j'ai obtenu ma mutation en Polynésie et je vais retrouver mon vrai métier de professeur pour la rentrée scolaire en août.
    Bises à toi Julie - et prends soin de toi !

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  4. Bonjour !

    J'adore votre blog et le dynamisme et gentillesse de vos mots... je suis un jeune homme de 32 ans mais j'avoue apprécier l'ambiance qui se dégage par ici.

    J'habite pigalle et je suis tombé par hasard sur votre billet lors de votre passage dans le quartier.

    Bonne continuation,

    eddy

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  5. votre coiffure vous va tres bien julie je lui donne un nom
    °VENT D AUTOMNE °
    JE SUIE LA DRENIERE DES ACACIAS de doullens DEMAIN JE MANGE AVEC ANNIE QUI REPART LUNDI AMICALEMENT V¨¨OTRE JACQUELINE

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  6. julie bonjour souvenez vous votre coiffure je l ai apppellé VENT D AUTONMNE je me permt de vous dire que vous avez connu ANNIE DANSLLE DOULLENNAIS ==doullens aux acacias je me nomme toujours la derniere rescapée c est de vous e d annie que je suis arrivée sur l ordinateur bisoussssss jacqueline

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