Ma famille a du changer de maison.
Jusque maintenant, je n'arrivais pas a me l'imaginer. Mon fils est venu me chercher. Je suis très heureuse qu'ils ont trouve cette maison à cette endroit.
Oui, c'est un quartier où j'aimais moi aussi à habiter! Plus 'ville' que les lieux tranquilles où j'habite maintenant.
Je leur est offerte, cette petite maison. Mon fils, n'a pas compris. Pourtant, j'ai offerte quelque chose, vraie, pas cher, vrai, pas neuf, mais que je chérie beaucoup.
Cette petite maison que j'ai aimée aussitôt appercue, je la regardais toujours avec ... Quoi? Une certaine nostalgie.
Je n'ai jamais eu une maison. Une fois, il y a trente ans, j'ai louée une pour une année: catastrophe. La maison était plaisante, mais il.fallait nettoyer l'herbe, et ensuite la chaudière s'est mis à fuir, ensuite, une chambre en bas est devenue moisie, et ensi de suite.
Curieux, la maison de mon fils (et ma fille) que j'avais pourtant habitée sept ans, n'est pas une 'maison' dans mon esprit. Peut être, parsqu'elle n'avait que deux petits pièces.
En tout cas, maison, c'est le domaine de rêve d'enfance pour moi, je le dessinais encore et encore des jeune âge. Avec quatre fenêtres, exactement comme dans cette petit objet.
Offrir quelque chose qui nous est cher, n'est probablement la meilleure chose. Elle va nous manquer et ceux a qui on l'offre ne perçoivent la valeur que nous. Je devrais trouver un objet qui leur plaira à eux.
C'est nettement plus difficile de la trouver! Mais justement, c'est le prix de payer: chercher ce qui leur plaira.
Après la révolution industrielle, beaucoup ont été déracinés, en Angleterre, Écosse et Wales. Pour l'illustrer, une énorme arbre est déracinée devant nos yeux.
Bien sûre déracinée ne veux pas dire mourir, on peut la planter ailleurs. Il se souvient de sol ancien et apprend du nouveau.
À chaque fois, que j'ai du changer de lieux, des habitudes, j'ai appris quelque chose. À la longue, des nouvelles possibilités sont arrivés. Que j'ai du bien sûre saisir.
Pas tous arrivent à ne pas se faner, ailleurs. Quelqu'un m'a fait remarquer, qu'ayant quoi transporter avec moi ailleurs à du aider.
Mon premier mari, rentrait 'à la maison' comme moi, quand j'ai du quitter ma ville. Maison n'était pas où nous vivions, mais le pays, ville, de sa jeunesse.
Mais se déraciner peut aussi devenir une richesse.
Cette nuit, je n'ai pas dû prendre de médicament contre douleur, mais ce matin oui. Je n'ai pas eu le courage d'attendre jusque cela fait très mal.
Ce soir, une réunion importante, la dernière avant mon départ, la première réunion d'un club en formation que j'aide.
Demain, répétition d'un des mes récits. A partir de là, je vais me concentrer vers le départ et préparer mes 5 récits.
Vendredi, ma famille change de maison, déménage. Ce weekend peut être je pourrais aller les voir dans la nouvelle maison qu'ils ont louée.
Le temps passe vite. Le dent serra oublié bientôt, alors, je pourrais en rire et en Septembre, à la rentrée, faire rire.
Aujourd'hui, j'ai écouté deux discours intéressants sur Ted.com, la deuxième va m'aider sérieusement dans mon travail futur. "Dis d'abord Pourquoi et en quoi tu crois" seulement ensuite comment on peut réaliser et quoi faire, quoi tu offres."
Ce qu'on croit adressé à leurs besoins et émotions, non au raison.
Je ne serai pas la la plupart du temps, pendant les jeux, juste les premiers jours. Assez pour prendre quelques photos des premières jour, des visiteurs.
J'ai revue quelques images, représentant Londres à l'extérieur. Celle des cabine téléphoniques, un peu partout, toutes rouges et plus utilisées maintenant pour se photographier avec, sont entre elles.
Ceux qui m'ont visité hier : j'ai pris des médicaments contre douleur, toutes les 4 heures depuis hier midi, y compris la nuit. Ainsi, je n'ai pas eu mal, mais j'étais somnolante. Ce matin, je ne prends plus, on verra. Mais je crois que la jeune dentiste à fait du très bon boulot. Plein des choses auraient pu arriver, avec un si grand si vieille, si détruit dent de derrière, il parait j'ai échappée toutes. Touchons le bois.
Je vais commencer à préparer plus serieisement mes récit pour le Festival d'Edimbourg. Déjà, quand je me suis réveillée cette nuit, j'ai commencé dans ma tête.
En Septembre 2006, j'ai acheté ces petits gâteaux sucrées lors le Ramadan. J'entends que cette année, cela commence en Juillet.
Comme il y a beaucoup de monde venant de cette partie de monde a Argenteuil, j'étais plus entourée de ceux pour lequel ce mois était important.
Le souvenir plus percutant était cependant dans le 18e Paris dans un petit rue pas loin d'une marché quand j'ai acheté et commencé a manger - quoi, je ne sais plus. Mais le vendeur a tourné le dos "je n'ai pas le droit de manger jusque soir".
Pourtant, il devait le préparer et vendre! Je suis rapidement partie pour continuer a manger ailleurs.
Dans la religion juive il y a Jom Kippour, une journée de pas manger, dans le chrétien Vendredi avant Pâques. Mais pas une mois entier! Bien sûr, le soir on compense en s'y jetant sur les sucreries... et les femmes et hommes préparent des fois toute la journée les soirées. La plupart de temps, les fêtant ensemble.
Je vais encore continuer à dire que j'ai 77 ans - jusque la fin d'année au moins, sauf ce soir, quand j'ai en réalité tournée 78.
James est un comédien essayant à vivre de son comédie. À Lions Den, (antre du lion) il introduit les autres.
Il m'a demandé de l'aider: il voulait tourner un vidéo de publicité courte, avec un récit parlant de sa visite : une dame. En fait, sa grande mère. Il y a deux jours, nous l'avons tournée et j'étais la grande-mère.
Une équipe des jeunes sympa, tous volontaires. J'ai reçu une soupe, d'autres un part de pizza.
Autre sa partenaire comique, on avait une régisseur de télé (habitant le même appart que l'une d'eux) un caméraman et un preneur du son, et moi. Dans un autre scène, deux jeunes et une fille, jouant ses copains qui le crois partie voir 'une dame' pour d'autres raisons.
J'étais impressionnée, combien de fois James a répété la même scène, jusque la régisseur lui disait, 'ok' maintenant.
On apprend du tout!
Cette haute immeuble, presque fini, de Londres, est aussi haut que le Tour Eiffel, notre tour représentant Paris aux yeux des tellement.
Elle se trouve, près de London Bridge, station de train et métro, et près du marchée Boroughs. Entourée, en partie des vieilles maison, une 'petit' cathédrale aussi.
La diversité est habituelle ici.
De nouveau, mes dents en place, j'espère pour assez longtemps cette fois. En trois jours, ma dernière fois en Juillet comédie. J'espère, je réussirai enterrer mes 77années avec bonne humour.
Dehors, jour à jour, jusque Vendredi soir inclus, je finirai cette semaine avec mes copains d'atelier comique. On ne fini jamais d'apprendre.
Mais quand, si jamais, j'apprendrai plus de tact?
La première fois que l'implant avec mes trois dents de devant est tombée, j'étais désespérée.
Je me trouvais moche et ne savais pas combien de temps va durer à remettre et si c'était possible ou qu'il faudrait recommencer tout et pour combien.
Il y a une semaine, les trois dents se sont déclarés en visite seulement, et ont commencé à bouger, dans tomber néanmoins. "Je ne peux rien faire, me dit le dentiste" jusque ce qu'ils ne tombent pas tout à fait.
Dorénavant, j'attendais... que cela tombe!
Hurrah! Ce matin, en mangeant une baguette frais, l'implant est sortie de lui même. Cette après midi, peut être, le dentiste pourrait le remettre.
Je n'aurais jamais cru être heureuse, des parts de dentiers qui tombent! Oui, seulement trois dents, ensemble, mais tout en face!
C'est la vie. Avec ses hauts et les bas. Oui, en plus c'est en haut.
