Arriere grand-mère

Grand-mère, j'ai quelque chose a te raconter!

Je pouvais lui raconter, plus a mon arrière grand-mère que a ma grand-mère qui n'était pas disponible ou, plus tard, la.

Je me suis souvenue hier de mon arrière grand-mère, Paula.

Probablement, aujourd'hui, tout cela parait 'normal' mais a la fin des années 188.. ou 1875, je ne sais pas exactement, son histoire était plutôt exception.

La plut jeune des 13 enfants de ses parents, elle était née en meme temps que sa soeur ai née eu une fille aussi - et a sa tristesse, elle n'a pas etait élevée par sa mère mais sa soeur.

"Mais Julie, on ne sait jamais a qui quelque chose de mauvais peut mener, pourtant quelque chose du bon y sortira, surement!" me disait-elle en la racontant. Elle etait 92 et moi 12.

Je vois devant mes yeux, comme je voyais alors, une petite fillette s'échapper de la maison de sa sœur dans laquelle elle ne se sentait pas aimée tant que l'enfant de sa sœur. Sur la chemin, vers la mère, elle découvre la maison du tuteur de ses frères et assiste avec de plus en plus d'avidité au leçons, généralement réserves seulement aux garçons.

Le tuteur, prend en amitie cette petite si avide d'apprendre. En témoigne encore aujourd'hui, un bel ancien secrétaire, arrive de lui a travers Paula et maman chez moi, mes enfants et petit enfants ensuite.

Elle grandit, se marie, a sept enfants une après autre. Comme elle etait la 13e enfant, sa dote est pas grande, une petite terre au bout d'une petite village, de terre mauvais seulement l'orge y pousse. Et une maison, avec dépendances.

L'idée lui vient de distiller de l'alcool, transformant les granges en distillerie primitive.

A peine la seule fille, ma grand-mère, a 14 ans, elle reste veuve.

Et maintenant?

Le maire du petite ville veut reprendre l'usine et l'accumule des dettes. Paula met davantage de poids sur sa fille, ma grand-mère, et conduit le distillerie mieux même que son mari, ayant une très bonne rapport avec le contremaitre et tous les travailleurs. Elle réussi de contester plus haut l'impôt et même en faire ami du préfet.

Des mauvais langues m'ont raconte quand j'avais 13 ans, que ils sont devenus davantage que amis.

En tout cas, ayant eu de l'instruction et esprit ouverte et courage, elle eleve ses nombreuses enfants et conduit la distillerie, réussi a créer une bonne vie et les envoyer vers bons métier chacun de ses fils,, et ensuite, 'bien' marier sa fille.

"Tu vois, Julie, tout mauvais apporte quelque chose du bon."

Et cela ne sont que les première deux partie du récit, que je trouverai un jour a raconter, la troisième partie de ce qui arriva avec elle par la suite, pendant la 2e guerre, arrivera un autre jour.