J'ai repris à nager et j'ai réussi depuis faire quelques kilomètres, en additionnant jour à jour, côte à côte. J'étais assez contente de moi même. Malgré qu'au début j'avais mal à l'épaule, au dos, après quelques jours j'ai réussi à me détendre, mes muscles s'y habituer.
Soudain, je me suis rendu compte que ce n'est plus les mètres parcourus qui comptaient, ni si quelqu'un me disait ou non "bravo Julie!" soudain, j'ai eu un cadeau inattendu: j'ai eu plaisir!
J'avais de nouveau plaisir à nager!
J'avais déjà cru, les dernières année, que j'avais perdu ce plaisir-là, pourtant un plaisir fort de ma jeunesse.
Eh non! On peut avoir plaisir à n'importe quelle âge!
Quand j'ai renoncé à compter les mètres, les basins parcourus, quand j'ai oublié les gens autour de moi, quand je me suis laissée emporter par... Non, pas par les vagues! Dans ma tête, j'écrivais des notes pour le blogue, dans ma tête je me rappelais d'anciens plaisirs.
"Plaisirs solitaires", comme nager au milieu de lac à Bucarest, tout seule, plaisirs partagés aussi. On peut avoir plaisir d'autant des choses!
D'un mélodie qu'on attrape à travers une fenêtre, d'un statue illuminé par le soleil, d'un rire d'enfant, d'une caresse. D'un livre. D'une après-midi ensoleillé solitaire, ou d'un brise agitant des roses que votre bien aimé vous signale. D'un seule regard ou d'une seul nuit.
Quand je parle de "plaisir", je traduis: "enjoy", en anglais. "élvezem", en hongrois.
Hélas, aussitôt, que je parle de ce mot, je me souviens aussi avec amertume de mon dernier ex me disant avec une voix suffisant: "En français il n'y a pas un seul mot pour traduire tout cela, pour chaque chose il y a une autre. On ne peut pas avoir la même mot (plaisir à, jouir de, etc.) disait-il pour déguster un plat ou regarder une paysage! Nous, les français, ajouta-t-il, nous avons un mot différent à chaque fois. "
Pour moi, il reste néanmoins le plaisir. Ce mot me convient, me satisfait, que cela soit à 26 ans ou à 70. L'âge change, la joie reste. Au moins, un certain moment.
J'ai de nouveau un grand plaisir de nager!
Le plaisir est important dans notre vie, et ce n'est que avec quelqu'un d'autre qu'on peut l'obtenir. Oui, caresser ou être caressé est fantastique, mais se plonger dans l'eau ou dans un bon livre, vous laisser emporter par une mélodie ou un rire d'enfant, il y a tel moments, des fois heures de plaisir. Il suffit de le laisser venir.
Quelquefois, le provoquer.
Hier, en revenant de la piscine, avec "plaisir" dans ma tête, je me suis préparé un plat avec le plaisir des goûts et couleurs dans ma tête. Ce n'était pas tout à fait la même plaisir que celle, inattendue, de natation, mais je me suis délectée et pris une photo aussi. Je ne suis pas arrivée à tout mangé finalement: il reste encore pour aujourd'hui.
J'ai eu au moins du plaisir à en prendre une photo. Puis, encore une de mon dessert savoureux et le café qui ici, curieusement paraissent ressemblants. Qu'ils se ressemblent ou non, il peuveut provoquer de plaisir.
Faites vous plaisir!
Racontez-nous ensuite si vous le voulez ou pouvez, de quoi avez vous eu plaisir ce long weekend qui va venir! Moi, je m'attends avec plaisir à prendre des photos de 1 mai au bord de la Seine de la fête "comme en 1900, au temps des guinguettes" que la Mairie organise année par année. Plaisir aussi de revoir des gens connus dorénavant, ne serait-ce que le temps d'une seule photographie ou quelques mots échangés.
Qu'il fait beau ou qu'il pleut, je trouverai quelque chose qui me procure du plaisir!
Expérimenter, communiquer, tâcher de vivre pleinement. Prouver a soi et aux autres, depuis dix ans déjà
mercredi 30 avril 2008
mardi 29 avril 2008
La vie d'une nana
Le nom de son blog est "pensées d'une nana" (ici orthographié à la française) et non, elle ne vit pas maintenant dans cette vieille voiture, mais pour le moment dans un motel dont elle vient aussi prendre la photo.
Photographe aussi passionnée que moi, récemment, elle en a souffert davantage.
Elle s'est perdu dans un petit parc et s'est retrouvé dans le désert, errant des heures avec rien que sa camera et un pierre ramassé pour se défendre si besoin. La nuit venue, toujours ne retrouvant pas sa route, elle a cassé sa jambe et eu une entorse aussi.
Avec la jambe cassée, quelques jours plus tard, elle s'est aventuré à chercher à photographier les ânes se promenant librement dans une ancienne ville minière de l'est des États Unis, et elle a glissé, tombant de nouveau.
Tout cela, et encore plus, beaucoup plus, Danielle décrit son blog franco-anglaise que vous pouviez voir depuis longtemps tapis parmi mes liens.
Mais ce que je viens vous raconter n'est que le bout de Iceberg!
Nous nous connaissons depuis trois ans déjà.
Au début à travers blog mais aussi à travers nos images en Flickr. A l'époque, elle habitait près de San Francisco et sa mère venait de décéder. Malgré leur difficile contacts, elle était désemparée à l'époque et se sentait perdue. En plus, divorcée avec deux enfants, elle avait eu un très mauvais dernier aventure, ce qui n'aida pas sa morale non plus.
Elle avait écrit une magnifique poème (je vais retrouver): ses mots m'ont tellement touché à l'époque que je l'avais traduit en français et avec sa permission mise dans ce blog-ci, en 2005. J'avais presque oublié! Depuis, nous suivons la vie l'une de l'autre. Trois ans déjà!
D'autres souvenirs vient s'y mettre un à un. Nos rencontres, en France.
Un jour, elle vient m'annoncer: "Je vais vivre en France! Je me suis mariée! J'irai dans la région parisienne! Fabrice est fantastique!"
Elle venait de publier une photographie d'elle fondant de bonheur, près d'un bonhomme à l'allure d'un gangster!
En quoi elle s'est encore mise? je me suis demandé en regardant l'image.
C'est par la suite que je me suis rendu compte que Fabrice (un autre bien sûr, pas celui de Bruxelles) policier, garde de corps en moto à Paris, aime jouer. Afficher sur les photos un regard menaçant.
"Un regard comme cela dissuade et prévient" me raconta-t-il à notre premier rencontre, dans le 18e à Paris, café Nord Sud, comme il se couvent à mes rencontres avec autres bloggeurs.
Rapidement, j'ai réussi à attraper (et publier ici à l'époque) un tout autre regard: l'amour envers Danielle y était tellement visible!
Mais comment vous vous êtes rencontrés?
Leur vie, leur rencontre: tout un roman!
Divorcé, Fabrice cherchait à rencontrer quelqu'un de son département et aux Etats Unis, par un hasard des choses (qui fait des fois bien!) il est tombé sur Danielle. Née à New York, ayant vécu a Minnesotta, une mère professeur de français, elle vivait près de San Francisco à l'époque, non pas tout près, mais à une distance de plus de 9000 km!
Vous êtes encore avec moi? Voilà comment Danielle décrit:
Ces deux images sont de moi, n'exprimant pas bien tout ce que j'ai vu, mais un peu quand même.
Fabrice, regardant Danielle.
Danielle me visant au café Nord Sud.
En décembre dernier nous avons passé une journée entier ensemble.
- Je ne veux pas rester en France! me dit Danielle alors.
- Qu'allez vous faire?
- Partir aux Etats Unis, répondit Fabrice. J'ai déjà demandé. Je suis en train d'apprendre l'anglais.
Ah oui, ce n'est pas que les femmes qui suivent leur mari, il y a des hommes aussi, des hommes extra ordinaires qui suivent leurs femmes, leur amour, au bout du monde!
Fabrice sur la route et visitant un ancien ville de Ouest: bien sûr, il pose derrière les barreaux!
Enfin, sauf quand elle se perd en suivant une envie de prendre des photos dans le désert. Il était allé alerté les policiers qui lui ont déclaré: ta femme ne veut plus de toi, c'est tout. Ils n'ont rien compris.
Peut être vous, comprendrez davantage sur cette couple fantastique. Tout peut arriver à travers le web quand deux êtres se retrouvent enfin. Se comprennent. Malgré tout les difficultés, malgré des problèmes d'argent (il faut vivre) et des enfants (chacun a deux ailleurs), malgré les distances et des incompréhension à applatir sur le chemin.
Vous pouvez poursuivre, découvrir Danielle et Fabrice sur le blog de Danielle, qui pour le moment, depuis quelques jours, vit dans un motel. Fabrice part pour faire ses premiers mois dans l'armée. Peut être même en guerre. En attendant de revenir aussitôt que possible, vivre avec sa femme. Revoir ses enfants. Etre ensemble.
Ils ont encore une longue route à parcourir ensemble!
Photographe aussi passionnée que moi, récemment, elle en a souffert davantage.
Elle s'est perdu dans un petit parc et s'est retrouvé dans le désert, errant des heures avec rien que sa camera et un pierre ramassé pour se défendre si besoin. La nuit venue, toujours ne retrouvant pas sa route, elle a cassé sa jambe et eu une entorse aussi.
Avec la jambe cassée, quelques jours plus tard, elle s'est aventuré à chercher à photographier les ânes se promenant librement dans une ancienne ville minière de l'est des États Unis, et elle a glissé, tombant de nouveau.
Tout cela, et encore plus, beaucoup plus, Danielle décrit son blog franco-anglaise que vous pouviez voir depuis longtemps tapis parmi mes liens.
Mais ce que je viens vous raconter n'est que le bout de Iceberg!
Nous nous connaissons depuis trois ans déjà.
Au début à travers blog mais aussi à travers nos images en Flickr. A l'époque, elle habitait près de San Francisco et sa mère venait de décéder. Malgré leur difficile contacts, elle était désemparée à l'époque et se sentait perdue. En plus, divorcée avec deux enfants, elle avait eu un très mauvais dernier aventure, ce qui n'aida pas sa morale non plus.
Elle avait écrit une magnifique poème (je vais retrouver): ses mots m'ont tellement touché à l'époque que je l'avais traduit en français et avec sa permission mise dans ce blog-ci, en 2005. J'avais presque oublié! Depuis, nous suivons la vie l'une de l'autre. Trois ans déjà!
D'autres souvenirs vient s'y mettre un à un. Nos rencontres, en France.
Un jour, elle vient m'annoncer: "Je vais vivre en France! Je me suis mariée! J'irai dans la région parisienne! Fabrice est fantastique!"
Elle venait de publier une photographie d'elle fondant de bonheur, près d'un bonhomme à l'allure d'un gangster!
En quoi elle s'est encore mise? je me suis demandé en regardant l'image.
C'est par la suite que je me suis rendu compte que Fabrice (un autre bien sûr, pas celui de Bruxelles) policier, garde de corps en moto à Paris, aime jouer. Afficher sur les photos un regard menaçant.
"Un regard comme cela dissuade et prévient" me raconta-t-il à notre premier rencontre, dans le 18e à Paris, café Nord Sud, comme il se couvent à mes rencontres avec autres bloggeurs.
Rapidement, j'ai réussi à attraper (et publier ici à l'époque) un tout autre regard: l'amour envers Danielle y était tellement visible!
Mais comment vous vous êtes rencontrés?
Leur vie, leur rencontre: tout un roman!
Divorcé, Fabrice cherchait à rencontrer quelqu'un de son département et aux Etats Unis, par un hasard des choses (qui fait des fois bien!) il est tombé sur Danielle. Née à New York, ayant vécu a Minnesotta, une mère professeur de français, elle vivait près de San Francisco à l'époque, non pas tout près, mais à une distance de plus de 9000 km!
Vous êtes encore avec moi? Voilà comment Danielle décrit:
"À cause de la distance, on s’est dit qu’on allait être amis, et on s’est mis à correspondre par mail. Après quelques mois, vers noël 2006, je l’ai appelé. Il n’a pas répondu au téléphone – j’en été heureuse, c’était bien plus facile que de lui laisser un message que d’être obligé de lui parler. Il m’a rapelé quelques minutes plus tard.Ils se sont mariés le jour de leur rencontre!
Au fur et à mesure que le temps passait, on s’est rendu compte à quel point on tenait l’un à l’autre. Avant même de se rencontrer, alors, il m’a demandé en mariage. Je me rappele de son mail. Le sujet était : «urgent» et il a posé une question banale, puis il a dit: «est-ce qu’un jour tu voudrais bien être mon épouse pour de vrai parce-que tu l’est déjà dans mon cœur.»
"Au début on pensait pouvoir vivre séparés pendant un certain temps. Mais nous n’avons pas pu. "Elle est venu vivre en France, avec son mari le suivant rapidement, trouvé de travail à Paris, fait la navette des banlieusardes. Fabrice continuait son travail sur le gros moto dans la police garde de corps. C'est alors que je les ai rencontrés, d'abord à Paris, puis en passant un jour avec eux visitant Colomnier. En mai sur la Butte Montmartre dans la pluie.
Ces deux images sont de moi, n'exprimant pas bien tout ce que j'ai vu, mais un peu quand même.
Fabrice, regardant Danielle.
Danielle me visant au café Nord Sud.
En décembre dernier nous avons passé une journée entier ensemble.
- Je ne veux pas rester en France! me dit Danielle alors.
- Qu'allez vous faire?
- Partir aux Etats Unis, répondit Fabrice. J'ai déjà demandé. Je suis en train d'apprendre l'anglais.
"La demande pour qu’il puisse avoir une carte verte était fait en novembre, 2007. Le 26 novembre. Normalement, il faut des mois, sinon, des années pour avoir une carte verte, même pour son époux. Nous l’avions en main pour le 11 janvier 2008. Six semaines plus tard !!! "D'habitude, cela dure des années!
Ah oui, ce n'est pas que les femmes qui suivent leur mari, il y a des hommes aussi, des hommes extra ordinaires qui suivent leurs femmes, leur amour, au bout du monde!
"Fabrice c'est engagé dans l'armée Américaine"Danielle publie la photo sur son blog. Fabrice s'engageant.
Fabrice sur la route et visitant un ancien ville de Ouest: bien sûr, il pose derrière les barreaux!
Très sérieux et très amoureux, il aime aussi jouer, poser. En même temps, je l'ai ressenti pendant notre journée ensemble à trois, il est toujours là près de Danielle.
Enfin, sauf quand elle se perd en suivant une envie de prendre des photos dans le désert. Il était allé alerté les policiers qui lui ont déclaré: ta femme ne veut plus de toi, c'est tout. Ils n'ont rien compris.
Peut être vous, comprendrez davantage sur cette couple fantastique. Tout peut arriver à travers le web quand deux êtres se retrouvent enfin. Se comprennent. Malgré tout les difficultés, malgré des problèmes d'argent (il faut vivre) et des enfants (chacun a deux ailleurs), malgré les distances et des incompréhension à applatir sur le chemin.
Vous pouvez poursuivre, découvrir Danielle et Fabrice sur le blog de Danielle, qui pour le moment, depuis quelques jours, vit dans un motel. Fabrice part pour faire ses premiers mois dans l'armée. Peut être même en guerre. En attendant de revenir aussitôt que possible, vivre avec sa femme. Revoir ses enfants. Etre ensemble.
Ils ont encore une longue route à parcourir ensemble!
PS toutes les photos que vous voyez ici, ont été prise par Danielle. Allez découvrir sa vie, ses poèmes, et la suite de ce qui leur arrive, dorénavant à eux deux, dans son blog: les pensées (et vie, j'ajouterais-je) d'une nana. Mais aussi, allez découvrir ses photographies sur la site Flickr. Même avec une entorse, un dos qui lui fait mal souvent, elle continue à nous montrer ce qui l'entoure, ce qu'elle découvre.
lundi 28 avril 2008
Après-midi ensoleillée
J'ai retrouvé quelques anciennes photos sur des CD, non, celle-ci n'en fait pas partie, je vais les montrer une autre fois ou dans le Retro blog. Ce sont des images prises entre 2002 et 2004.
Ranger, a toujours ses avantages aussi.
Le matin, je suis allée nager, ensuite pris des nouvelles images de l'iris de ma voisine. Ils sont allés danser "thé dansant" de l'après-midi, (eh oui, il y a de la vie après 70 ans et pour certains, même une vie de couple).
Pendant ce temps, je me suis installé sur le fauteuils devant les lilas en fleurs et l'herbe que j'avais laissé exprès dans un carré.
Le vent soufflait, tiède, de temps en temps: c'était merveilleux!
J'ai lu un peu, mais surtout, pris pleines des images et même, des vidéos courtes. Rentrant chez moi, je me suis rendu compte que je dois encore apprendre beaucoup en vidéo! Pas aller trop près, pas bouger trop, ainsi de suite.
La photo du fauteuil m'es venu d'une autre similaire du 2002, dans laquelle j'exprimais mon plaisir de jardin et solitude tranquille dans le jardin.
Pendant ce temps la vie tourbillon autour de moi, mon fils m'a appelé quatre fois de Londres pour demander des adresses d'écoles à visiter. A travers sa voix venant de là, je m'y suis déjà sentis un peu moi aussi là-bas. Et bien sûr, le Web m'a permis lui répondre rapidement.
Par la suite, pleine des lectures de blog, j'ai beaucoup à dire, mais ce matin, je m'arrête ici.
La solitude peut être sérine et agréable: hier je me suis senti très bien dans ma peau et j'ai eu une grande joie humer l'odeur suave des lilas en fleurs et de traquer le vent souffler dans l'herbe sauvage.
Ranger, a toujours ses avantages aussi.
Le matin, je suis allée nager, ensuite pris des nouvelles images de l'iris de ma voisine. Ils sont allés danser "thé dansant" de l'après-midi, (eh oui, il y a de la vie après 70 ans et pour certains, même une vie de couple).
Pendant ce temps, je me suis installé sur le fauteuils devant les lilas en fleurs et l'herbe que j'avais laissé exprès dans un carré.
Le vent soufflait, tiède, de temps en temps: c'était merveilleux!
J'ai lu un peu, mais surtout, pris pleines des images et même, des vidéos courtes. Rentrant chez moi, je me suis rendu compte que je dois encore apprendre beaucoup en vidéo! Pas aller trop près, pas bouger trop, ainsi de suite.
La photo du fauteuil m'es venu d'une autre similaire du 2002, dans laquelle j'exprimais mon plaisir de jardin et solitude tranquille dans le jardin.
Pendant ce temps la vie tourbillon autour de moi, mon fils m'a appelé quatre fois de Londres pour demander des adresses d'écoles à visiter. A travers sa voix venant de là, je m'y suis déjà sentis un peu moi aussi là-bas. Et bien sûr, le Web m'a permis lui répondre rapidement.
Par la suite, pleine des lectures de blog, j'ai beaucoup à dire, mais ce matin, je m'arrête ici.
La solitude peut être sérine et agréable: hier je me suis senti très bien dans ma peau et j'ai eu une grande joie humer l'odeur suave des lilas en fleurs et de traquer le vent souffler dans l'herbe sauvage.
dimanche 27 avril 2008
Une bombe
Décoration maintenant, dans le jardin de mes voisins de l'autre côté de rue, ce fragment de bombe était tombé dans les années 1941. Mon voisin, habitant dans la rue depuis son enfance, l'a trouvé en travaillant dans son jardin.
A chaque fois que je passe, je le vois travaillant, bricolant, il ne s'arrête jamais.
Repeint les fenêtres de leur maison, jardine, il y a toujours quelque chose en plus de faire.
- Regardez, en fait c'est deux fragments qui étaient l'un à côté de l'autre.
Puis, il se remet à travailler.
Mme Laurant m'avait fait signe quand je revenais de la piscine :
- Avez-vous votre appareil photo avec vous?
- Bien sûr! Toujours. Je ne sors pas sans.
- Voulez-vous faire une photo de notre Iris avant qu'on le coupe?
- Avec plaisir.
- C'est la première année qu'elle fleurit.
- Elle est très belle!
Je prends ensuite les fleurs de magnolia.
- Un peu passé maintenant, me dit-elle.
- Encore magnifiques, regardez, il y a même des boutons encore.
A la fin, je prends une ultime image, des fleurs avec pétales faciles a photographier.
- Celle-ci, sont artificielles, me dit-elle.
- Ah! je ne m'étais pas rendu compte.
- C'est pour quand il n'y a pas d'autres, s'excuse-t-elle;
Hiver, printemps, été, automne, leur jardin est toujours beau à voir. Que d'amour, que de travail dépensé pour l'entretenir! Je me sens tout petit dans mes souliers quand je les regards travailler sans arrêt pour embellir leur demeure.
Ces jours-ci, moi je suis aussi plein de travail: je trie mes livres. Au lieu de se trouver sur les étagères, ils sont descendus, triés en oui, non, peut être. Ensuite je lis les peut être. Jette par terre le plus souvent entre "a offrir". Hier, je suis allée chercher des cartons et j'ai mis une partie dedans.
Mais je n'y suis même pas au moitié!
Tout chez moi est encore sens dessus sens dessous.
En plus, je ne suis restée nul part longtemps. Que des différences entre mes voisins et moi!
- Ah oui, je leur dis, à peine je me sens vraiment bien entre mes voisins et je devrais repartir encore une fois. Ce n'est jamais facile de partir, n'importe combien de fois on l'a déjà fait.
- Je comprend, me répondent-ils.
La famille de mon fils est à Londres depuis hier, découvrir la ville, mais aussi se décider par où ils vont vivre. Plus tard ou plus tôt, je vais les suivre. Partir de nouveau ailleurs.
Mais la vraie bombe hier était me rendre compte que je me suis trompée d'un mois mois entier: j'avais créé le groupe Afterclass fin mai, pas fin avril!
A chaque fois que je passe, je le vois travaillant, bricolant, il ne s'arrête jamais.
Repeint les fenêtres de leur maison, jardine, il y a toujours quelque chose en plus de faire.
- Regardez, en fait c'est deux fragments qui étaient l'un à côté de l'autre.
Puis, il se remet à travailler.
Mme Laurant m'avait fait signe quand je revenais de la piscine :
- Avez-vous votre appareil photo avec vous?
- Bien sûr! Toujours. Je ne sors pas sans.
- Voulez-vous faire une photo de notre Iris avant qu'on le coupe?
- Avec plaisir.
- C'est la première année qu'elle fleurit.
- Elle est très belle!
Je prends ensuite les fleurs de magnolia.
- Un peu passé maintenant, me dit-elle.
- Encore magnifiques, regardez, il y a même des boutons encore.
A la fin, je prends une ultime image, des fleurs avec pétales faciles a photographier.
- Celle-ci, sont artificielles, me dit-elle.
- Ah! je ne m'étais pas rendu compte.
- C'est pour quand il n'y a pas d'autres, s'excuse-t-elle;
Hiver, printemps, été, automne, leur jardin est toujours beau à voir. Que d'amour, que de travail dépensé pour l'entretenir! Je me sens tout petit dans mes souliers quand je les regards travailler sans arrêt pour embellir leur demeure.
Ces jours-ci, moi je suis aussi plein de travail: je trie mes livres. Au lieu de se trouver sur les étagères, ils sont descendus, triés en oui, non, peut être. Ensuite je lis les peut être. Jette par terre le plus souvent entre "a offrir". Hier, je suis allée chercher des cartons et j'ai mis une partie dedans.
Mais je n'y suis même pas au moitié!
Tout chez moi est encore sens dessus sens dessous.
En plus, je ne suis restée nul part longtemps. Que des différences entre mes voisins et moi!
- Ah oui, je leur dis, à peine je me sens vraiment bien entre mes voisins et je devrais repartir encore une fois. Ce n'est jamais facile de partir, n'importe combien de fois on l'a déjà fait.
- Je comprend, me répondent-ils.
La famille de mon fils est à Londres depuis hier, découvrir la ville, mais aussi se décider par où ils vont vivre. Plus tard ou plus tôt, je vais les suivre. Partir de nouveau ailleurs.
Mais la vraie bombe hier était me rendre compte que je me suis trompée d'un mois mois entier: j'avais créé le groupe Afterclass fin mai, pas fin avril!
samedi 26 avril 2008
Emotions
J'avais très peur d'arriver à 70, mais ici c'est le bruit soudain des oiseaux qui m'avait effrayé tant que cela, et j'ai pris l'expression avec mon appareil sur l'instant.
Personne que moi n'aime pas cette image, mais il reste très expressive pour moi, relevant une facette de moi pas souvent vu par personne (même pas moi).
Le mois prochaine, très bientôt, nous allons parler dans AfterClass des Emotions. Vous pouvez regarder des images qu'on y a ajouté là.
C'était une des première trois images que j'avais publié dans le groupe afterclass dont je fête aujourd'hui l'anniversaire. Je l'ai créé a 26 mai 2006, il y a juste trois ans.
Que de chemin parcouru depuis!
Chaque mois, un autre thème, un autre "professeur" qui s'est dédié, 24 déjà (même si certains sont revenus) jour à jour à animer et enseigner sur le sujet choisi. Certains, ont été efforts d'une groupe entière, autres ont préféré de le faire seuls.
De cette image-là, jusque celle prise hier, j'ai aussi parcouru un long chemin. J'ai tant appris sur la photographie!
Mois après mois, je n'étais pas seulement l'administrateur, directeur, trouvant d'avance des personnes voulant bien se dédier volontairement pour un mois entier, revenir souvent, préparer, puis discuter les images des autres, mais j'ai aussi étais élève: tâchant à suivre les instructions et indications des un des autres, et collègue, en commentant autant que possible les images que les uns et les autre y ont ajouté.
J'avais commencé avec une discussion sur les photos en clair obscure (lowkey)suivi aussitôt du mois sur la photographie de Vie des gens. Une fil merveilleux montre des Mains (Hands en anglais) par exemple. Le deuxième mois commençait par une discussion sur le mouvements, suivis d'une merveilleuse classe sur la Nature vue différemment.
Hélas, les discussions sont en anglais, mais les images présentées viennent de partout le globe terrestre. La diversité tant des enseignants que des participants a donné lieu à une grande richesse. Ainsi dès la première classe, je montrais des images de la région parisienne, et babasteve par exemple de marchés de l'Inde, algo des mains de l'Angleterre, et ce mois-ci, le 24e, notre enseignant nous anime de l'Australie sur les photographie des oiseaux.
Entre Vie des Gens et leur interactions et le fil sur le vol des Oiseaux, 22 autres thèmes très divers les uns des autres, dont de temps en temps je vous parle aux débuts des mois. Couleurs, Saisons, Temps, Fêtes, Enfants, Fleurs, tellement des sujets traités, tellement des idées reçus!
Nous allons parler en mai des émotions, Monster revenu d'une voyage long en Egypte, le tiendra de Londres. C'est approprié, ce sujet, j'entre dans notre troisième année avec beaucoup d'émotion.
Personne que moi n'aime pas cette image, mais il reste très expressive pour moi, relevant une facette de moi pas souvent vu par personne (même pas moi).
Le mois prochaine, très bientôt, nous allons parler dans AfterClass des Emotions. Vous pouvez regarder des images qu'on y a ajouté là.
C'était une des première trois images que j'avais publié dans le groupe afterclass dont je fête aujourd'hui l'anniversaire. Je l'ai créé a 26 mai 2006, il y a juste trois ans.
Que de chemin parcouru depuis!
Chaque mois, un autre thème, un autre "professeur" qui s'est dédié, 24 déjà (même si certains sont revenus) jour à jour à animer et enseigner sur le sujet choisi. Certains, ont été efforts d'une groupe entière, autres ont préféré de le faire seuls.
De cette image-là, jusque celle prise hier, j'ai aussi parcouru un long chemin. J'ai tant appris sur la photographie!
Mois après mois, je n'étais pas seulement l'administrateur, directeur, trouvant d'avance des personnes voulant bien se dédier volontairement pour un mois entier, revenir souvent, préparer, puis discuter les images des autres, mais j'ai aussi étais élève: tâchant à suivre les instructions et indications des un des autres, et collègue, en commentant autant que possible les images que les uns et les autre y ont ajouté.
J'avais commencé avec une discussion sur les photos en clair obscure (lowkey)suivi aussitôt du mois sur la photographie de Vie des gens. Une fil merveilleux montre des Mains (Hands en anglais) par exemple. Le deuxième mois commençait par une discussion sur le mouvements, suivis d'une merveilleuse classe sur la Nature vue différemment.
Hélas, les discussions sont en anglais, mais les images présentées viennent de partout le globe terrestre. La diversité tant des enseignants que des participants a donné lieu à une grande richesse. Ainsi dès la première classe, je montrais des images de la région parisienne, et babasteve par exemple de marchés de l'Inde, algo des mains de l'Angleterre, et ce mois-ci, le 24e, notre enseignant nous anime de l'Australie sur les photographie des oiseaux.
Entre Vie des Gens et leur interactions et le fil sur le vol des Oiseaux, 22 autres thèmes très divers les uns des autres, dont de temps en temps je vous parle aux débuts des mois. Couleurs, Saisons, Temps, Fêtes, Enfants, Fleurs, tellement des sujets traités, tellement des idées reçus!
Nous allons parler en mai des émotions, Monster revenu d'une voyage long en Egypte, le tiendra de Londres. C'est approprié, ce sujet, j'entre dans notre troisième année avec beaucoup d'émotion.
vendredi 25 avril 2008
C'est important pour qui?
J'avais réussi à nager 3000 mètres dans moins d'une semaine, et arriver vers 80 kilos (seulement? ah oui) et j'étais très fière.
Je vais les raconter à mon fils, dans un costume pantalon, chemisette et pull beige claire coordonnés (cela m'arrive rarement).
— Ah? C'est bien, dit-il, très préoccupé de son travail.
Bon, je me dis, tant pis de cet accueil tiède, les femmes et l'animatrice de la réunion de Weight Watchers, vont être ébahies, elles.
Depuis septembre à chaque fois qu'on me le demande si j'ai commencé à faire un sport, je réponds que je n'ai pas encore commencé, "mais je me promène."
Depuis des mois, je le remettais toujours à demain ou la semaine prochaine. Vous connaissez, n'est pas? On arrête de fumer, lundi prochaine. On ne bois plus, on va s'y mettre au gym - demain.
Hier matin, je vais toute fière leur raconter que je suis allée, jour à jour nager la semaine dernière, et j'ai déjà accumulé un total de 3 kilomètres nagés depuis qu'on s'est vus la dernière fois.
— Ah? bien, me répondent-elles, dans un ton encore moins enthousiaste.
Depuis une semaine, mètres après mètres, pendant que je nageais, depuis une semaine, je pensais à combien vont-elles m'admirer, apprécier. L'animatrice nous disait, réunion après réunion combien c'était important de faire de sport et maintenant que je m'y suis mise enfin, elle était tout préoccupé d'autre chose.
J'étais très déçue hier matin.
Pas trop longtemps. Presque aussitôt, comme tout bonne écrivain, je me suis dit: c'est une grande thème à raconter! Et, à la sortie de réunion, je suis allée nager encore 500 mètres.*
Mais, à quoi cela sert, je me disais cette fois tout en s'essoufflant pour finir mon demi heure quotidien, à quoi sert tout cet effort si personne ne s'en soucie? Cela ne parait important pour personne.
Si, je me dis, tout en m'encourageant à continuer: c'est important pour moi!
Non seulement pour ma santé, mes os, mes muscles, mais aussi pour l'estime de moi. Je me suis proposé à faire quelque chose, je me suis lancé un défi, et je le réalise.
Tout en continuant à nager, j'ai regretté néanmoins que mon amie Anna n'est plus de ce monde. Comme elle m'avait dit un jour, nous deux formions un club de personnes admirant l'un l'autre. J'ai estimé énormément ce qu'elle avait réussi d'accomplir, et elle de même devant mes réalisations.
C''est agréable d'avoir quelqu'un appréciant nos réussites, petites ou grandes, comme de compatir quand nous avons des problèmes. C'est très agréable même, mais pas essentielle. Sauf quand on est tout petit enfant, mais moi, j'ai déjà presque 74 ans!
Je me suis souvenue, tout en continuant à nager, combien elle était fière, quand à 11 ans, j'ai nagé la première fois 500 mètres sans m'arrêter. Quelquefois, a la fin de chaque l'année surtout, je raconte encore mes réussites à ma mère, dans ma tête mais aussi dans mon journal intime (maintenant publié presque entier sur le web dans Journal de Jeunesse et ensuite Retroblog). Je sais, maman aurait apprécié ce que j'ai réussi à faire de ma vie!
Mais finalement, je me disait, tout en nageant mes dernières mètres hier, le plus important, qu'il s'agit d'une note de classe, un travail bien bouclé, ou avoir été jour à jour depuis une semaine nager, l'importante c'est qu'on soit contente de soi même et que cela nous donne du courage. Nous l'avons accompli ce qui nous nous sommes proposés à faire. Je continuerai à nager.
Ce matin, avant finir ce note commencé hier soir, je tombe, à travers une commentaire suivie jusque son blog, sur un jeune parisien: Eddy nage par jour vigoureusement autant que j'ai fait doucement pendant tout la semaine!
Mais à chacun ses propres forces et ses réalisations.
Je ne pourrais pas nager jour à jour trois kilomètres à la fois, 1 mile (1700 m était ce que j'avais fait le plus long dans ma vie) mais il n'a pas publié des notes dans son blog depuis trois ans jour à jour, ni écrit de journal depuis 64 ans!
L'important qu'on se compare à ce qu'on avait fait auparavant soi même, qu'on puisse trouver un petit progresse relative à soi.
Pour moi, continuer à me prouver, à moi même, qu'il y a de la vie après 70 ans, et faire des efforts pour me la prouver.
Je vais les raconter à mon fils, dans un costume pantalon, chemisette et pull beige claire coordonnés (cela m'arrive rarement).
— Ah? C'est bien, dit-il, très préoccupé de son travail.
Bon, je me dis, tant pis de cet accueil tiède, les femmes et l'animatrice de la réunion de Weight Watchers, vont être ébahies, elles.
Depuis septembre à chaque fois qu'on me le demande si j'ai commencé à faire un sport, je réponds que je n'ai pas encore commencé, "mais je me promène."
Depuis des mois, je le remettais toujours à demain ou la semaine prochaine. Vous connaissez, n'est pas? On arrête de fumer, lundi prochaine. On ne bois plus, on va s'y mettre au gym - demain.
Hier matin, je vais toute fière leur raconter que je suis allée, jour à jour nager la semaine dernière, et j'ai déjà accumulé un total de 3 kilomètres nagés depuis qu'on s'est vus la dernière fois.
— Ah? bien, me répondent-elles, dans un ton encore moins enthousiaste.
Depuis une semaine, mètres après mètres, pendant que je nageais, depuis une semaine, je pensais à combien vont-elles m'admirer, apprécier. L'animatrice nous disait, réunion après réunion combien c'était important de faire de sport et maintenant que je m'y suis mise enfin, elle était tout préoccupé d'autre chose.
J'étais très déçue hier matin.
Pas trop longtemps. Presque aussitôt, comme tout bonne écrivain, je me suis dit: c'est une grande thème à raconter! Et, à la sortie de réunion, je suis allée nager encore 500 mètres.*
Mais, à quoi cela sert, je me disais cette fois tout en s'essoufflant pour finir mon demi heure quotidien, à quoi sert tout cet effort si personne ne s'en soucie? Cela ne parait important pour personne.
Si, je me dis, tout en m'encourageant à continuer: c'est important pour moi!
Non seulement pour ma santé, mes os, mes muscles, mais aussi pour l'estime de moi. Je me suis proposé à faire quelque chose, je me suis lancé un défi, et je le réalise.
Tout en continuant à nager, j'ai regretté néanmoins que mon amie Anna n'est plus de ce monde. Comme elle m'avait dit un jour, nous deux formions un club de personnes admirant l'un l'autre. J'ai estimé énormément ce qu'elle avait réussi d'accomplir, et elle de même devant mes réalisations.
C''est agréable d'avoir quelqu'un appréciant nos réussites, petites ou grandes, comme de compatir quand nous avons des problèmes. C'est très agréable même, mais pas essentielle. Sauf quand on est tout petit enfant, mais moi, j'ai déjà presque 74 ans!
Je me suis souvenue, tout en continuant à nager, combien elle était fière, quand à 11 ans, j'ai nagé la première fois 500 mètres sans m'arrêter. Quelquefois, a la fin de chaque l'année surtout, je raconte encore mes réussites à ma mère, dans ma tête mais aussi dans mon journal intime (maintenant publié presque entier sur le web dans Journal de Jeunesse et ensuite Retroblog). Je sais, maman aurait apprécié ce que j'ai réussi à faire de ma vie!
Mais finalement, je me disait, tout en nageant mes dernières mètres hier, le plus important, qu'il s'agit d'une note de classe, un travail bien bouclé, ou avoir été jour à jour depuis une semaine nager, l'importante c'est qu'on soit contente de soi même et que cela nous donne du courage. Nous l'avons accompli ce qui nous nous sommes proposés à faire. Je continuerai à nager.
C'est très important... pour moi.
__________Ce matin, avant finir ce note commencé hier soir, je tombe, à travers une commentaire suivie jusque son blog, sur un jeune parisien: Eddy nage par jour vigoureusement autant que j'ai fait doucement pendant tout la semaine!
Mais à chacun ses propres forces et ses réalisations.
Je ne pourrais pas nager jour à jour trois kilomètres à la fois, 1 mile (1700 m était ce que j'avais fait le plus long dans ma vie) mais il n'a pas publié des notes dans son blog depuis trois ans jour à jour, ni écrit de journal depuis 64 ans!
L'important qu'on se compare à ce qu'on avait fait auparavant soi même, qu'on puisse trouver un petit progresse relative à soi.
Pour moi, continuer à me prouver, à moi même, qu'il y a de la vie après 70 ans, et faire des efforts pour me la prouver.
jeudi 24 avril 2008
Une rose rose pour Rozalia
Rozalia, ma voisine, est venu m'avertir que ma voiture avait une fenêtre ouverte. Elle a tâché la fermer, mais cette fenêtre, trop moderne, ne se ferme pas qu'avec le clé dans la serrure, le courant marchant: automatiquement avec un bouton.
Ah, la modernisation!
Toute fois, Rozalia s'est déplacée, jusque chez moi, au fond de lu cour, pour me dire que la fenêtre est grande ouverte, côté trottoir: dangereuse. Je luis offre, pour la remercier cette rose et cette titre. J'espère qu'elle lira cette message.
Hier, j'ai accompagné mes "petit" enfants a British Council pour qu'ils prennent leur leçon d'anglais. Ils m'ont dit qu'ils préfèrent le train à la voiture. Le train et le métro, tellement plus intéressant!
A leur âge, bien sûr, je n'avais pas encore voyagé en voiture, mais eux ils en ont ras bol.
Ils m'ont guidée tout au long.
- Il faudra prendre le métro n° 13, mamie.
- La sortie est par là.
- Regards, c'est ce corridor, ces marches ici.
En sortant du station Invalides, c'est encore eux qui m'ont montré par où aller. Pas si petits, ces enfants-là! En plus, ils goutent chaque nouveau mots anglais appris.
J'ai eu trois heures, pour les attendre, mais il pleuvotait doucement et j'étais un peu lasse comme la nuit dernière je me suis réveillé à trois heures pour faire ma note de blog qui me laissait pas dormir tranquillement. Je me suis assis dans un restaurant, près d'un plat de fromage blanc avec coulis des fruits rouges, près de l'Assemblée Nationale, et j'ai lu.
J'ai quand même pris quelques photographies, même quand je n'ai pas envie, je ne peux m'abstenir tout à fait.
A deux heure, des couples officiers et leur épouses, sortaient probablement d'un repas festif. Il y avait plus que sur cette photo, mais groupe après groupe, et c'est seulement eux que j'ai réussi net.
Pour moi, ils représentaient le quartier où je me trouvais. On ne voit pas ça à Argenteuil!
Avant cinq heures j'ai passé par une salle d'exposition et j'ai été attirée dedans a la vue d'un mur d'énormes tournes soleil. La dame m'a permis de faire des photos, mais c'est celle-ci, de près que j'aime le mieux. Peint par Claire Basier, visible jusque fin juin.
Avec le guide de mes petits-enfants (ils ont même demandé un petit plan de métro chacun a la caissière), a six heures nous étions déjà de retour.
Petit déplacement pour moi hier, pourtant je suis arrivée chez moi fatigée.
Des plus grandes, voyages, je l'avais fait hier, virtuellement. J'ai trouvé un billet pour aller a Malte, mais ensuite je vois dans le métro que Go voyage l'offre moins cher. J'ai trouvé une vol plus directe pour aller à Seattle ou Denver, à l'Ouest Nord des Etats Unis, mais quand de là, je voulu ajouter aussi une route à Missoula, ma vrai destination de Montana, non seulement le prix grimpe aussitôt à trois fois (pourtant c'est juste une heure et demi de route en plus) mais le temps de vol s'allonge sans commun mesure.
Mais dans ma tête, j'avais pris la longue route, je suis arrivée crevée.
Heureusement, que ce n'était que dans mon imagination! Je me demandais aussi "est-ce que l'invitation de ma copine web tient toujours, après tous mes hésitations"? Une semaine chez elle pendant sa semaine libre, pour qu'elle puisse me montrer les environs?
Ce matin, j'ouvre mon ordinateur (vers 5 heures comme souvent) et qu'est-ce que je trouve? Un couriel d'elle me demandant si je peux venir "dans n'importe quel de mes semaines, et si tu viens l'autre semaine, je peux quand même être avec toi, moitié de journée!"
Je résiste de moins en moins à cette invitation de découvrir une tout autre Amérique, pas celui des grattes ciel, ni celui de centre politique, ou des déserts, que j'avais déjà parcouru aussi, mais d'une ville au milieux des montagne. Tellement loin, que peu des avions y atterrissent.
Au dessous on peut lire: l'oiseau attend le printemps arriver sur mon balcon, pendant que je prends le petit déjeuner.
Non, ce n'est pas Colorado. Montana, le pays des montagnes. Ils ont encore de neige là-bas, au moins, ils avaient la dernière fois que j'ai regardé les images. Une très longue hiver, des feux de forêt deux à trois mois pendant l'été. Elle est infirmière, allant avec sa voiture dans les endroits isolés et lointaines. Courageuse femme!
Je voyage beaucoup dans ma tête, vais-je prendre l'envol à un moment donné, vraiment?
Ah, la modernisation!
Toute fois, Rozalia s'est déplacée, jusque chez moi, au fond de lu cour, pour me dire que la fenêtre est grande ouverte, côté trottoir: dangereuse. Je luis offre, pour la remercier cette rose et cette titre. J'espère qu'elle lira cette message.
Hier, j'ai accompagné mes "petit" enfants a British Council pour qu'ils prennent leur leçon d'anglais. Ils m'ont dit qu'ils préfèrent le train à la voiture. Le train et le métro, tellement plus intéressant!
A leur âge, bien sûr, je n'avais pas encore voyagé en voiture, mais eux ils en ont ras bol.
Ils m'ont guidée tout au long.
- Il faudra prendre le métro n° 13, mamie.
- La sortie est par là.
- Regards, c'est ce corridor, ces marches ici.
En sortant du station Invalides, c'est encore eux qui m'ont montré par où aller. Pas si petits, ces enfants-là! En plus, ils goutent chaque nouveau mots anglais appris.
J'ai eu trois heures, pour les attendre, mais il pleuvotait doucement et j'étais un peu lasse comme la nuit dernière je me suis réveillé à trois heures pour faire ma note de blog qui me laissait pas dormir tranquillement. Je me suis assis dans un restaurant, près d'un plat de fromage blanc avec coulis des fruits rouges, près de l'Assemblée Nationale, et j'ai lu.
J'ai quand même pris quelques photographies, même quand je n'ai pas envie, je ne peux m'abstenir tout à fait.
A deux heure, des couples officiers et leur épouses, sortaient probablement d'un repas festif. Il y avait plus que sur cette photo, mais groupe après groupe, et c'est seulement eux que j'ai réussi net.
Pour moi, ils représentaient le quartier où je me trouvais. On ne voit pas ça à Argenteuil!
Avant cinq heures j'ai passé par une salle d'exposition et j'ai été attirée dedans a la vue d'un mur d'énormes tournes soleil. La dame m'a permis de faire des photos, mais c'est celle-ci, de près que j'aime le mieux. Peint par Claire Basier, visible jusque fin juin.
Avec le guide de mes petits-enfants (ils ont même demandé un petit plan de métro chacun a la caissière), a six heures nous étions déjà de retour.
Petit déplacement pour moi hier, pourtant je suis arrivée chez moi fatigée.
Des plus grandes, voyages, je l'avais fait hier, virtuellement. J'ai trouvé un billet pour aller a Malte, mais ensuite je vois dans le métro que Go voyage l'offre moins cher. J'ai trouvé une vol plus directe pour aller à Seattle ou Denver, à l'Ouest Nord des Etats Unis, mais quand de là, je voulu ajouter aussi une route à Missoula, ma vrai destination de Montana, non seulement le prix grimpe aussitôt à trois fois (pourtant c'est juste une heure et demi de route en plus) mais le temps de vol s'allonge sans commun mesure.
Mais dans ma tête, j'avais pris la longue route, je suis arrivée crevée.
Heureusement, que ce n'était que dans mon imagination! Je me demandais aussi "est-ce que l'invitation de ma copine web tient toujours, après tous mes hésitations"? Une semaine chez elle pendant sa semaine libre, pour qu'elle puisse me montrer les environs?
Ce matin, j'ouvre mon ordinateur (vers 5 heures comme souvent) et qu'est-ce que je trouve? Un couriel d'elle me demandant si je peux venir "dans n'importe quel de mes semaines, et si tu viens l'autre semaine, je peux quand même être avec toi, moitié de journée!"
Je résiste de moins en moins à cette invitation de découvrir une tout autre Amérique, pas celui des grattes ciel, ni celui de centre politique, ou des déserts, que j'avais déjà parcouru aussi, mais d'une ville au milieux des montagne. Tellement loin, que peu des avions y atterrissent.
Au dessous on peut lire: l'oiseau attend le printemps arriver sur mon balcon, pendant que je prends le petit déjeuner.
Non, ce n'est pas Colorado. Montana, le pays des montagnes. Ils ont encore de neige là-bas, au moins, ils avaient la dernière fois que j'ai regardé les images. Une très longue hiver, des feux de forêt deux à trois mois pendant l'été. Elle est infirmière, allant avec sa voiture dans les endroits isolés et lointaines. Courageuse femme!
Je voyage beaucoup dans ma tête, vais-je prendre l'envol à un moment donné, vraiment?
mercredi 23 avril 2008
Les hommes aussi
Il ne faut croire que c'est seulement les femmes qui s'ouvrent, se confient, racontent. Comme d'ailleurs, heureusement, entre mes lecteurs et mes lectures, il n'y a pas que des femmes.
Cette photographie est par Fabrice, venu spécialement de Belgique pour assister à notre rencontre bloggeurs et écouter Gelzy et Peire chanter et jouer à l'orgue de barbarie.
Fabrice divorcé, s'occupe souvent de ses deux fils, une semaine sur deux ils vivent avec lui, et nous les montre dans leurs activités, comme il montre, dans son blog et site photo flickr aussi ses autoportraits, parlant de ce qu'il ressent.
Non seulement, Fabrice aime ses fils, mais il ose l'exprimer, montrer, nous faire comprendre. Par ses photos et par ses blogs.
Que dire de toi, Fabrice, je lui avait demandé en même temps que le droit d'utiliser ici ses images.
Depuis que je lis des blogs, femmes et hommes, vieux et jeunes, j'ai mieux entré dans la façon de penser des hommes et mieux compris aussi leur difficultés a eux. Par exemple, la difficulté d'être loin de ses enfants, souvent comme le cas de Pierre (même si depuis un temps il parle surtout des nouveaux appareils qui le fascinent) n'étant pas avec eux que pendant les vacances scolaires. En 2005, il écrivit beaucoup aussi de sa vie sentimental, et je suivais fascinée ses notes, jour à jour.
Chacun parle de soi, de ce qui l'entoure, ce qui le préoccupe, différemment et le blogosphère m'a permis de mieux connaitre ceux que je n'aurais jamais si bien compris, ou pas compris du tout, avant.
Oui, une mamie âgée, n'est pas tout à fait même qu'un jeune homme avec deux enfants, qu'une homme ayant vécu la guerre d'Algérie, vivant dans le campagne, comme Aben (dont j'ai déjà écrit plusieurs notes), ou Berlioz avec ses convictions politiques différents mais la même passion pour la photographie que moi (et pleine d'autre choses), se promenant souvent à Paris, comme... Nous avons tous aussi des points communs dans lesquels nous pouvons nous reconnaitre, nous comprendre. Nous estimer. Apprendre l'un de l'autre.
J'ai beaucoup compris sur les hommes, à travers le Web. C'est une telle joie, jeune et vieux, hommes et femmes, se comprendre et se suivre dans la vie qui nous entoure et lire ce qui nous préoccupe. Trouver des échos, les uns dans les autres, tout en apprenant de nos différences.
Cette photographie est par Fabrice, venu spécialement de Belgique pour assister à notre rencontre bloggeurs et écouter Gelzy et Peire chanter et jouer à l'orgue de barbarie.
Fabrice divorcé, s'occupe souvent de ses deux fils, une semaine sur deux ils vivent avec lui, et nous les montre dans leurs activités, comme il montre, dans son blog et site photo flickr aussi ses autoportraits, parlant de ce qu'il ressent.
Non seulement, Fabrice aime ses fils, mais il ose l'exprimer, montrer, nous faire comprendre. Par ses photos et par ses blogs.
Le plus petit de ses fils, quand il était tout petit, en 2001
Que dire de toi, Fabrice, je lui avait demandé en même temps que le droit d'utiliser ici ses images.
"tu peux dire ceci : il y a très souvent un moyen de trouver une issue positive à une période difficile, que la vie est trop courte pour la galvauder et que chaque petits moments peuvent être de beaux moments ... que pour moi, les gens sont devenus le plus importants ... ;)"Et une photo récent de l'autre fils avec une amie. Regards!
* que j'aime mes fils et que je rêve d'en faire des hommes ;) ... *
Mais ce n'est pas seulement à travers ses photographies que Fabrice se confie, il a aussi publié d'autres écrits et blogs, racontant ce qu'il a ressenti lors une rencontre, amours, séparation. Tout un roman à travers des fragments se suivant.
"Il faut mieux vivre seul que non harmonieusement accompagné" disait-il avant passer par Paris.Oui, cela j'ai vécu et ressentis moi aussi.
Depuis que je lis des blogs, femmes et hommes, vieux et jeunes, j'ai mieux entré dans la façon de penser des hommes et mieux compris aussi leur difficultés a eux. Par exemple, la difficulté d'être loin de ses enfants, souvent comme le cas de Pierre (même si depuis un temps il parle surtout des nouveaux appareils qui le fascinent) n'étant pas avec eux que pendant les vacances scolaires. En 2005, il écrivit beaucoup aussi de sa vie sentimental, et je suivais fascinée ses notes, jour à jour.
Chacun parle de soi, de ce qui l'entoure, ce qui le préoccupe, différemment et le blogosphère m'a permis de mieux connaitre ceux que je n'aurais jamais si bien compris, ou pas compris du tout, avant.
Oui, une mamie âgée, n'est pas tout à fait même qu'un jeune homme avec deux enfants, qu'une homme ayant vécu la guerre d'Algérie, vivant dans le campagne, comme Aben (dont j'ai déjà écrit plusieurs notes), ou Berlioz avec ses convictions politiques différents mais la même passion pour la photographie que moi (et pleine d'autre choses), se promenant souvent à Paris, comme... Nous avons tous aussi des points communs dans lesquels nous pouvons nous reconnaitre, nous comprendre. Nous estimer. Apprendre l'un de l'autre.
J'ai beaucoup compris sur les hommes, à travers le Web. C'est une telle joie, jeune et vieux, hommes et femmes, se comprendre et se suivre dans la vie qui nous entoure et lire ce qui nous préoccupe. Trouver des échos, les uns dans les autres, tout en apprenant de nos différences.
mardi 22 avril 2008
Pas prévu
Ce matin, j'ai le choix: ne pas écrire de ce que j'avais prévu ou ne pas publier le matin. La site flickr d'où je devais prendre des images pour la note que je pensais publier, sur d'autres copains flickr et blog, n'est pas disponible: surchargé me dit-on.
Alors, il cela restera pour demain.
La site dailymotion marche bien ainsi que le blogger, et je viens aussi de découvrir ce matin un blog marrant que je vous recommande. Au lieu des images, voilà donc une vidéo courte de Pascale avec sa guitare, chantant le 12 au Village Michel, du 18e à Paris. Elle a chanté plusieurs chansons, je ne sais pas si de son invention ou non, mais dont j'ai vraiment bien aimé les paroles.
Et puis, je peux aussi quand même vous dire combien je suis contente de moi même!
Savez-vous que Prima, parait 20 jours d'avance pour chaque mois. Celui-ci est son numéro de mai, en vente depuis le 10 avril. Entre autre 'sources d'inspiration' son sous-titre, ce mois il explique un peu plus sur comment perdre du poids en publiant trois témoignages des femmes avec leur portrait et tout.
Non, non: ce n'est pas de moi que parle Prima de ce mois-ci, et bien sûr je ne serais jamais sur la première page d'un magazine, sauf si je me fabrique une couverture, avec les image après piscine.
Après la première journée de natation, chez moi, et après la troisième journée consécutive de 500 mètres par jour, en sortant de la piscine. Le vent soufflait dans le cour, mais justement, si mon sourire y est un peu forcé au moins mes cheveux au vent me paraissent marrants.
Ce matin, va être la quatrième journée. Maintenant que je peux faire 500 mètres à moins de demi heure, il s'agit de nager un peu plus. Chaque jour, un tout petit plus, j'espère. Quand j'ai habité aux États Unis, d'accord, c'était il y a longtemps, je n'avais même pas 50 ans alors, j'étais arrivée à 1500 mètres en trois quart d'heures, d'une seule fois et non pas en trois jours.
Mais c'était une piscine presque vide à trois heures de l'après-midi, j'y allais de mon travail en y retournant après. C'était aussi une période de Weight Watchers, tout comme maintenant, mais alors, j'étais partie de moins des kilos et arrivée à 56. Cette fois-ci, si j'arrivais à 73, je serais déjà heureuse. Oh, j'ai encore une longue route pour y arriver!
En tout cas, nager devient plus agréable de jour en jour.
La première fois j'avais mal au épaule, rudement mal aussi au dos, pendant que je nageais et ensuite pour un temps. La deuxième fois j'ai fait gaffe et forcé moins le bras gauche en question, mais hier j'ai presque pas eu mal et j'ai pu aussi faire mes bras avec plus d'énergie.
Ce matin, je pourrais faire quelques mètres de plus dans la demi heure, non seulement les 500 des premières journées. Surtout que j'ai l'impression que pendant les vacances scolaires il n'y a pas de la foule, sauf des clubs qui sont arrivés hier vers la fin. Il s'agit de voir quand c'est plus calme. C'est tellement plus agréable alors!
Il suffit de peu qu'on soit bien dans sa peau et contente de soi même: on se lance un défi qu'on peut l'accomplir soi même, qui ne dépende de quelqu'un d'autre. Et, si la première fois cela ne réussit pas, (depuis six mois chez moi) on essaye la deuxième fois. Vous connaissez la chanson?
Les lilas sont de mon jardin, les tulipes dans la cour de la piscine.
Il n'y a personne pour vous offrir des fleurs? Qu'à cela ne tienne: offrez-les à vous même.
Vous pouvez aussi vous servir des fleurs que je vous offre ici!
Alors, il cela restera pour demain.
La site dailymotion marche bien ainsi que le blogger, et je viens aussi de découvrir ce matin un blog marrant que je vous recommande. Au lieu des images, voilà donc une vidéo courte de Pascale avec sa guitare, chantant le 12 au Village Michel, du 18e à Paris. Elle a chanté plusieurs chansons, je ne sais pas si de son invention ou non, mais dont j'ai vraiment bien aimé les paroles.
Et puis, je peux aussi quand même vous dire combien je suis contente de moi même!
Savez-vous que Prima, parait 20 jours d'avance pour chaque mois. Celui-ci est son numéro de mai, en vente depuis le 10 avril. Entre autre 'sources d'inspiration' son sous-titre, ce mois il explique un peu plus sur comment perdre du poids en publiant trois témoignages des femmes avec leur portrait et tout.
Non, non: ce n'est pas de moi que parle Prima de ce mois-ci, et bien sûr je ne serais jamais sur la première page d'un magazine, sauf si je me fabrique une couverture, avec les image après piscine.
Après la première journée de natation, chez moi, et après la troisième journée consécutive de 500 mètres par jour, en sortant de la piscine. Le vent soufflait dans le cour, mais justement, si mon sourire y est un peu forcé au moins mes cheveux au vent me paraissent marrants.
Ce matin, va être la quatrième journée. Maintenant que je peux faire 500 mètres à moins de demi heure, il s'agit de nager un peu plus. Chaque jour, un tout petit plus, j'espère. Quand j'ai habité aux États Unis, d'accord, c'était il y a longtemps, je n'avais même pas 50 ans alors, j'étais arrivée à 1500 mètres en trois quart d'heures, d'une seule fois et non pas en trois jours.
Mais c'était une piscine presque vide à trois heures de l'après-midi, j'y allais de mon travail en y retournant après. C'était aussi une période de Weight Watchers, tout comme maintenant, mais alors, j'étais partie de moins des kilos et arrivée à 56. Cette fois-ci, si j'arrivais à 73, je serais déjà heureuse. Oh, j'ai encore une longue route pour y arriver!
En tout cas, nager devient plus agréable de jour en jour.
La première fois j'avais mal au épaule, rudement mal aussi au dos, pendant que je nageais et ensuite pour un temps. La deuxième fois j'ai fait gaffe et forcé moins le bras gauche en question, mais hier j'ai presque pas eu mal et j'ai pu aussi faire mes bras avec plus d'énergie.
Ce matin, je pourrais faire quelques mètres de plus dans la demi heure, non seulement les 500 des premières journées. Surtout que j'ai l'impression que pendant les vacances scolaires il n'y a pas de la foule, sauf des clubs qui sont arrivés hier vers la fin. Il s'agit de voir quand c'est plus calme. C'est tellement plus agréable alors!
Il suffit de peu qu'on soit bien dans sa peau et contente de soi même: on se lance un défi qu'on peut l'accomplir soi même, qui ne dépende de quelqu'un d'autre. Et, si la première fois cela ne réussit pas, (depuis six mois chez moi) on essaye la deuxième fois. Vous connaissez la chanson?
Les lilas sont de mon jardin, les tulipes dans la cour de la piscine.
Il n'y a personne pour vous offrir des fleurs? Qu'à cela ne tienne: offrez-les à vous même.
Vous pouvez aussi vous servir des fleurs que je vous offre ici!
lundi 21 avril 2008
Pendant que mes lilas
Pendant que lilas dans mon jardin commencent à s'ouvrir, et pour la première fois j'y vais assez près pour observer les bourgeons près des fleurs ouvertes, de prendre pleine des images et d'experimenter,
Au Quebec, Canada, le neige n'a pas encore fondu, Etolane qui blogue depuis 2003 ou même avant, montre sa petite fille grandissant, faisant un bonhomme de neige et dans un note de son blog, elle parle comme d'habitude avec une ouverture et même temps pudeur, cette fois-ci, des difficultés de dormir (sans se réveiller) près de son mari chéri, qui l'a suivi à travers l'Océan, lui a sauvé la vie et l'aime tendrement.
Aux iles lointaines de Polinésie, Bora-Bora, c'est déjà l'été et sur les images que Annie nous montre, des chaise longues près du plage. Annie, je l'ai connu à travers mon blog sur la Roumanie, allée la voir a Douadenais près d'Amiens (elle s'y trouve maintenant pour deux semaines). Annie a suivie son mari partie dans les iles pour ouvrir un cabinet vétérinaire. Enfin, reprendre le cabinet de quelqu'un qui s'en allait.
Annie a quitté sa famille, sa ville et pays de naissance et suivie son bien aimé, presque au bout du monde. Annie courageuse, travailleur sans relache à mille idées pour l'école et ses élèves, Annie qui refait maintenant une vie ailleurs.
En Autralie, c'est l'automne comme vous voyez ci-dessous.
Que des exemples merveilleuses, des femmes fantastiques n'ai-je rencontré à travers les blogs. Pas "virtuelles" du tout. Des femmes en chair et os, souffrant et rebondissant, osant aimer et osant le dire. Osant se pleindre, mais aussi montrant tout leur amour, non seulement par des mots d'ailleurs mais par des faits.
Je n'ai rencontré personnellement, entre celles que je parle aujourd'hui, seulement Annie, qui m'a acceuillie deux fois chez elle, avant qu'elle part loin, mais je sens que je les connais toutes si bien!
En quelques heures, nous avons ouvert notre coeur, parlant aussitôt comme des anciennes amies l'une à l'autre.
Que j'ai vécu a côté d'elles depuis trois ans, ou trois mois, l'Internet m'a permis suivre leur vie. Admirer leur courage. Leur persévérances, leur luttes et peines exprimés ouvertement, donnant courage aux autres de continuer.
Qu'il soit printemps, été, hiver ou automne, là où elles vivent maintenant, ce sont toutes les femmes qui courbent, luttes à reprendre l'air et rebondissent.
Au Quebec, Canada, le neige n'a pas encore fondu, Etolane qui blogue depuis 2003 ou même avant, montre sa petite fille grandissant, faisant un bonhomme de neige et dans un note de son blog, elle parle comme d'habitude avec une ouverture et même temps pudeur, cette fois-ci, des difficultés de dormir (sans se réveiller) près de son mari chéri, qui l'a suivi à travers l'Océan, lui a sauvé la vie et l'aime tendrement.
Quelle femme courageuse, Etolane, quelle profondeur et ouverture dans ses textes. J'ai vécu trois années déjà avec elle, en l'accompagnant à travers grossesse et difficultés autour de naissance de Lily-le-Soleil, faillant lui coûter la vie. Heureusement, son mari était là. Heureusement, elle a lutté pour survivre. Maintenant, qu'elle reprenne des pouvoir, se cherche non seulement comme maman, mais reprendre un peu, petit à petit aussi de son ancien soi.
Aux iles lointaines de Polinésie, Bora-Bora, c'est déjà l'été et sur les images que Annie nous montre, des chaise longues près du plage. Annie, je l'ai connu à travers mon blog sur la Roumanie, allée la voir a Douadenais près d'Amiens (elle s'y trouve maintenant pour deux semaines). Annie a suivie son mari partie dans les iles pour ouvrir un cabinet vétérinaire. Enfin, reprendre le cabinet de quelqu'un qui s'en allait.
Annie a quitté sa famille, sa ville et pays de naissance et suivie son bien aimé, presque au bout du monde. Annie courageuse, travailleur sans relache à mille idées pour l'école et ses élèves, Annie qui refait maintenant une vie ailleurs.
En Autralie, c'est l'automne comme vous voyez ci-dessous.
Anaya,celui de son petit enfant qu'elle élève seule maintenant, elle la grand mère ayant survécu un cancer de sein, elle publie des textes dans son LifeJournal pseudo ZebraArtiste, parlant de sa nuit agité, elle non pas à cause des ronflements de son mari, mais des pleurs de son petit fils, et des difficultés a lui apprendre de la laisser dormir une seule nuit. Enfin, il s'est endormi de nouveau, je peux maintenant aller de nouveau dans mon lit, dit cette grand mère courageuse, dans son blog journal. Nous montrons nos diverses facettes dans nos messages, pas seulement une perpétuelle sourire polie.
Que des exemples merveilleuses, des femmes fantastiques n'ai-je rencontré à travers les blogs. Pas "virtuelles" du tout. Des femmes en chair et os, souffrant et rebondissant, osant aimer et osant le dire. Osant se pleindre, mais aussi montrant tout leur amour, non seulement par des mots d'ailleurs mais par des faits.
Je n'ai rencontré personnellement, entre celles que je parle aujourd'hui, seulement Annie, qui m'a acceuillie deux fois chez elle, avant qu'elle part loin, mais je sens que je les connais toutes si bien!
En quelques heures, nous avons ouvert notre coeur, parlant aussitôt comme des anciennes amies l'une à l'autre.
Que j'ai vécu a côté d'elles depuis trois ans, ou trois mois, l'Internet m'a permis suivre leur vie. Admirer leur courage. Leur persévérances, leur luttes et peines exprimés ouvertement, donnant courage aux autres de continuer.
Qu'il soit printemps, été, hiver ou automne, là où elles vivent maintenant, ce sont toutes les femmes qui courbent, luttes à reprendre l'air et rebondissent.
dimanche 20 avril 2008
Main dans la main
Quoi de plus beau? soustitrait cette image, mis en ligne en septembre 2006 par Françoise68, pseudo sur flickr de Marie_l de nos blogs.
J'avais décidé d'écrire quelque chose tout différente, mais en tombant sur cette image, je me suis arrêté et je n'arrive pas aller plus loin.
Tenir la main de l'autre.
Avoir quelqu'un qui vous tient la main ainsi.
Cela m'était arrivé à moi aussi, de temps en temps, même si la plupart de temps j'en rêvé seulement, même si cela n'a pas duré tant que j'avais espéré, même si la main n'était pas de quelqu'un comme jadis mon père.
A dix ans, moi, je n'étais plus insouciante, l'âge n'avait rien à y voir: la guerre avait intervenu dans ma vie. M'avait chassé pour survivre de chez nous, loin, puis au retour, une année plus tard, je ne retrouve rien plus comme avant. J'ai vite grandi, vite perdu l'insouciance, alors.
Mais très profondément en moi, reste encore cette envie de quelqu'un me tenant la main, quelqu'un sur qui je pourrais compter, quelqu'un pour qui je compterai.
Pas beaucoup des hommes pour tenir ma main dans ma vie, comme dans cette image par Marie_l, venant presque du ciel, où elle doit se trouver si je croyais en cela, sinon, elle reste dans notre coeur et âme. Je n'écrirai pas ce matin, une autre fois, ni du blog du Rom, est son poème La maison Rose qui m'a d'abord si profondément touché, ni le dernier: allez le lire de vous même!
Je n'écrirai pas non plus de Marie_l, amie fidèle, venant nous commenter souvent et publiant jusque à la fin, allez de vous même dans son blog, voir ses images aussi sur flickr. Une autre fois, je pourrais peut être recopier ici quelques poémes qui m'ont touchés, elle m'avait souvent donné déjà la permission, et Rom me l'a donné aussi pour son poème La maison Rose.
Et non, il ne s'agit pas de la même maison que celle qu'on préfère tant parmi mes images, il ne parle pas de la maison qu'Utrillo a peint il y a environ cent ans.
La maison dont Rom écrit le poème est beaucoup plus près de lui, la maison où "elle m'attendait vêtu de tendresse".
Oh, peut être j'ai cité à travers, mais c'est ainsi que je me rappelle. En notre tête n'est pas toujours ce qui existe autour de nous réellement, mais tel que nous le percevons.
Main dans la main, quoi de plus beau? disait sous l'image Marie_l.
Dans cette monde de Toile, qui est moins virtuelle qu'on le croit, nous nous tenons aussi la main les uns les autres. Un plus long ou un plus court moment. Mais à chaque fois, cela compte.
Ce matin, Sandy, une canadienne, venant de prendre sa retraite, a noté sous un message de moi dans le blog anglais Julie70 a Londres: tu m'as donné l'espoir au long des années à travers tes images et maintenant, avec ton blog. Elle part en Indes, découvrir, voyager, bientôt. Ce matin, c'est elle qui m'a tendu la main. Mais aussi Mariel_l, mais aussi Rom avec ses vers.
Aussi forts que nous soyons, de temps en temps, tous avons besoin ou envie qu'on nous tient la main, qu'on nous rassure. Avoir quelqu'un sur qui compter.
Au moins, autant que cela dure.
Bien sûr, finalement, nous apprenons de ne compter que sur nous mêmes, que on peut y compter sur soi, qu'on est fort, plus qu'on le croit. Ce souvenir profond du père nous tenant la main reste en nous néanmoins et laisse des traces profonds. Des désirs forts. Qu'on y soit conscient ou non.
J'avais décidé d'écrire quelque chose tout différente, mais en tombant sur cette image, je me suis arrêté et je n'arrive pas aller plus loin.
Tenir la main de l'autre.
Avoir quelqu'un qui vous tient la main ainsi.
Cela m'était arrivé à moi aussi, de temps en temps, même si la plupart de temps j'en rêvé seulement, même si cela n'a pas duré tant que j'avais espéré, même si la main n'était pas de quelqu'un comme jadis mon père.
Un de mes premiers souvenirs: mon père me tient la main et nous nous promenons dans la forêt, en haut des Carpates, pas loin du petit maison de mes grand parents paternels. L'odeur du sapin, le goût des minuscules fraises sauvages, le bruissement des feuilles.
L'insouciance dont parle Rom dans son blog dans un merveilleux poème que j'ai lu ce matin: il n'avait "que dix ans", dit-il.
L'insouciance dont parle Rom dans son blog dans un merveilleux poème que j'ai lu ce matin: il n'avait "que dix ans", dit-il.
A dix ans, moi, je n'étais plus insouciante, l'âge n'avait rien à y voir: la guerre avait intervenu dans ma vie. M'avait chassé pour survivre de chez nous, loin, puis au retour, une année plus tard, je ne retrouve rien plus comme avant. J'ai vite grandi, vite perdu l'insouciance, alors.
Mais très profondément en moi, reste encore cette envie de quelqu'un me tenant la main, quelqu'un sur qui je pourrais compter, quelqu'un pour qui je compterai.
Pas beaucoup des hommes pour tenir ma main dans ma vie, comme dans cette image par Marie_l, venant presque du ciel, où elle doit se trouver si je croyais en cela, sinon, elle reste dans notre coeur et âme. Je n'écrirai pas ce matin, une autre fois, ni du blog du Rom, est son poème La maison Rose qui m'a d'abord si profondément touché, ni le dernier: allez le lire de vous même!
Je n'écrirai pas non plus de Marie_l, amie fidèle, venant nous commenter souvent et publiant jusque à la fin, allez de vous même dans son blog, voir ses images aussi sur flickr. Une autre fois, je pourrais peut être recopier ici quelques poémes qui m'ont touchés, elle m'avait souvent donné déjà la permission, et Rom me l'a donné aussi pour son poème La maison Rose.
Et non, il ne s'agit pas de la même maison que celle qu'on préfère tant parmi mes images, il ne parle pas de la maison qu'Utrillo a peint il y a environ cent ans.
La maison dont Rom écrit le poème est beaucoup plus près de lui, la maison où "elle m'attendait vêtu de tendresse".
Oh, peut être j'ai cité à travers, mais c'est ainsi que je me rappelle. En notre tête n'est pas toujours ce qui existe autour de nous réellement, mais tel que nous le percevons.
Main dans la main, quoi de plus beau? disait sous l'image Marie_l.
Dans cette monde de Toile, qui est moins virtuelle qu'on le croit, nous nous tenons aussi la main les uns les autres. Un plus long ou un plus court moment. Mais à chaque fois, cela compte.
Ce matin, Sandy, une canadienne, venant de prendre sa retraite, a noté sous un message de moi dans le blog anglais Julie70 a Londres: tu m'as donné l'espoir au long des années à travers tes images et maintenant, avec ton blog. Elle part en Indes, découvrir, voyager, bientôt. Ce matin, c'est elle qui m'a tendu la main. Mais aussi Mariel_l, mais aussi Rom avec ses vers.
Aussi forts que nous soyons, de temps en temps, tous avons besoin ou envie qu'on nous tient la main, qu'on nous rassure. Avoir quelqu'un sur qui compter.
Au moins, autant que cela dure.
Bien sûr, finalement, nous apprenons de ne compter que sur nous mêmes, que on peut y compter sur soi, qu'on est fort, plus qu'on le croit. Ce souvenir profond du père nous tenant la main reste en nous néanmoins et laisse des traces profonds. Des désirs forts. Qu'on y soit conscient ou non.
samedi 19 avril 2008
Chacun la sienne
"Sous un grand ciel gris, dans une grande plaine poudreuse, sans chemins, sans gazon, sans un chardon, sans une ortie, je rencontrai plusieurs hommes qui marchaient courbés.
Chacun d'eux, portait sur son dos une énorme chimère, aussi lourde qu'un sac de farine ou de charbon, ou le fourniment d'un fantassin romain.
Mais la monstrueuse bête n'était pas un poids inerte; au contraire, elle enveloppait et opprimait l'homme"
C'est en triant mes livres que je tombe sur les "Petits poèmes en prose" de Baudelaire, d'où je viens de recopier cet extrait. Que des choses je ne découvre à cette occasion!
Je voulais justement parler ce matin de ce qui nous pèsent, chacun de nous, quelque chose d'autre contre quoi ensuite nous devons lutter toute notre vie.
Ce n'est pas suffisant de s'arrêter à boire, fumer ou trop manger, etc., il faut y veiller à notre tendance jour à jour, mois par mois, année par année. Continuer de rester vigilante.
Nous nous amusons bien à nos réunions Weight Watchers, mais notre animatrice nous apprend aussi pas mal des choses à chaque fois. Le fait que ce n'est pas que nous, mais elle aussi doit lutter à ne pas regagner et des fois même à reperdre du poids, ajoute encore a ce qu'elle dit. Elle comprend si bien les tentations et elle nous a avertit que toute notre vie nous allons devoir continuer à faire gaffe.
Jeudi dernière, j'étais la pire entre toutes présentes à la réunion: tandis que certains ont perdu plus d'une kilo et demi, dans un seul semaine, d'autres les 500 grammes moyens, et quelques uns seulement 100 grammes, moi, j'ai gagné plus d'un kilos dans une seule semaine!
Quelque chose avait resté sur mon estomac.
Mais blague à part, en fait je sais bien tout les petits riens qui ont fait, qu'au lieu de peser moins de 80, - ma balance avait un jour même montré 79.8! - je suis regrimpé a plus que 81.
D'accord, la crêpe de samedi dernière n'était qu'un point, mais la crème des marrons dedans, bien sucré, et en plus, ils ne nous ont donné un seul crêpe mais deux. Délicieux, d'ailleurs.
Pour couronner le tout, Rosie, (la barman du pub Village Michel, arrivée à Paris de Bulgarie), m'avait offerte deux petit chocolats pour me remercier des photos que je lui avais apporté. Après avoir voulu le passer à quelqu'un d'autre, malgré sa protestation "c'est pour VOUS!" sans succès, je me suis dit, bien je goute l'un. Finalement, les deux sont passés, disparus dans ma bouche.
Lundi, la balance allait encore.
Une contrariété a suffit comme prétexte à manger plus de pain que d'habitude. D'ailleurs, comme notre animatrice disait, tout est bon comme prétexte pour nous à déraper. Grignoter, en fait sans avoir faim. "Encore un peu".
Jeudi soir, je me suis juré de perdre rapidement tout ce que j'ai gagné et j'ai tenu ma parole donné à moi même, jusque... vendredi soir. Hier après-midi, j'ai pris encore un fruit. C'est zero, non? Juste une orange! Puis un demi banane: ce n'est même pas un demi points! Ensuite, une crème de café: cela doit être environ un point. Ou deux? Je vais regarder.
Encore heureux que je n'ai pas ni des gâteaux ni de chocolat à la maison, qu'aurait-il arrivé alors?
Tout cela pourquoi?
Quand nous sommes stressés, nous mangeons trop, ou mal. Quand nous sommes fatigués aussi. Mais même en étant heureux! Des habitudes à changer. Si seulement c'était si facile!
En tout cas, au lieu de dire: "je serai plus sage lundi, je serai plus sage demain" je vous jure: je vais compter mes points (en tout 21 pour la journée) et je ne les dépasserai pas aujourd'hui!
Vite, Julie, cherche le petit carnet, c'est combien des points la petite suisse que tu as mis sur le pain de seigle ce matin?
Chacun d'eux, portait sur son dos une énorme chimère, aussi lourde qu'un sac de farine ou de charbon, ou le fourniment d'un fantassin romain.
Mais la monstrueuse bête n'était pas un poids inerte; au contraire, elle enveloppait et opprimait l'homme"
C'est en triant mes livres que je tombe sur les "Petits poèmes en prose" de Baudelaire, d'où je viens de recopier cet extrait. Que des choses je ne découvre à cette occasion!
Je voulais justement parler ce matin de ce qui nous pèsent, chacun de nous, quelque chose d'autre contre quoi ensuite nous devons lutter toute notre vie.
Ce n'est pas suffisant de s'arrêter à boire, fumer ou trop manger, etc., il faut y veiller à notre tendance jour à jour, mois par mois, année par année. Continuer de rester vigilante.
Nous nous amusons bien à nos réunions Weight Watchers, mais notre animatrice nous apprend aussi pas mal des choses à chaque fois. Le fait que ce n'est pas que nous, mais elle aussi doit lutter à ne pas regagner et des fois même à reperdre du poids, ajoute encore a ce qu'elle dit. Elle comprend si bien les tentations et elle nous a avertit que toute notre vie nous allons devoir continuer à faire gaffe.
Jeudi dernière, j'étais la pire entre toutes présentes à la réunion: tandis que certains ont perdu plus d'une kilo et demi, dans un seul semaine, d'autres les 500 grammes moyens, et quelques uns seulement 100 grammes, moi, j'ai gagné plus d'un kilos dans une seule semaine!
Quelque chose avait resté sur mon estomac.
Mais blague à part, en fait je sais bien tout les petits riens qui ont fait, qu'au lieu de peser moins de 80, - ma balance avait un jour même montré 79.8! - je suis regrimpé a plus que 81.
D'accord, la crêpe de samedi dernière n'était qu'un point, mais la crème des marrons dedans, bien sucré, et en plus, ils ne nous ont donné un seul crêpe mais deux. Délicieux, d'ailleurs.
Pour couronner le tout, Rosie, (la barman du pub Village Michel, arrivée à Paris de Bulgarie), m'avait offerte deux petit chocolats pour me remercier des photos que je lui avais apporté. Après avoir voulu le passer à quelqu'un d'autre, malgré sa protestation "c'est pour VOUS!" sans succès, je me suis dit, bien je goute l'un. Finalement, les deux sont passés, disparus dans ma bouche.
Lundi, la balance allait encore.
Une contrariété a suffit comme prétexte à manger plus de pain que d'habitude. D'ailleurs, comme notre animatrice disait, tout est bon comme prétexte pour nous à déraper. Grignoter, en fait sans avoir faim. "Encore un peu".
Jeudi soir, je me suis juré de perdre rapidement tout ce que j'ai gagné et j'ai tenu ma parole donné à moi même, jusque... vendredi soir. Hier après-midi, j'ai pris encore un fruit. C'est zero, non? Juste une orange! Puis un demi banane: ce n'est même pas un demi points! Ensuite, une crème de café: cela doit être environ un point. Ou deux? Je vais regarder.
Encore heureux que je n'ai pas ni des gâteaux ni de chocolat à la maison, qu'aurait-il arrivé alors?
Tout cela pourquoi?
Quand nous sommes stressés, nous mangeons trop, ou mal. Quand nous sommes fatigués aussi. Mais même en étant heureux! Des habitudes à changer. Si seulement c'était si facile!
En tout cas, au lieu de dire: "je serai plus sage lundi, je serai plus sage demain" je vous jure: je vais compter mes points (en tout 21 pour la journée) et je ne les dépasserai pas aujourd'hui!
Vite, Julie, cherche le petit carnet, c'est combien des points la petite suisse que tu as mis sur le pain de seigle ce matin?
vendredi 18 avril 2008
Encore sur la journée ensemble
Je suis restée, probablement à cause des images, toujours à mardi.
La journée passée avec ma petite fille.
Nous avons commencé le matin, en regardant la dictionnaire d'images ANGLAIS FRANCAIS, Larousse. Comme j'avais oublié (le hasard fait bien les choses) mes lunettes à la maison, c'est elle qui a dû me lire les inscriptions sous les images en deux langues.
Faut-il dire, que son accent est déjà tellement mieux que la mienne? En plus elle était toute heureuse de pouvoir les lire, au moins pour les mots qu'elle avait déjà appris, en deux langues!
Ensuite, elle voulait me montrer les images des costumes anciens, nous ne l'avons pas trouvé dans ce livre, mais elle a appris à chercher dans l'index à cette occasion, puis nous l'avons trouvé dans le grand Larousse en français, acheté en même temps probablement. Cette fois, c'est elle qui est allée directement à l'index.
Chez moi, nous avons déjeuné, puis allées a la piscine, trop tard: c'est fermé après 1:30 pour le publique normal, ouverte seulement pour les écoles. Sans trop de regret, nous sommes parties vers la Seine et prendre des images des oiseaux.
A un carrefour de Carrières sur Seine nous avons été arrêté par ça.
En commun accord, nous avons décidé de s'arrêter, y aller prendre des images, chacun avec notre caméra.
J'avais lui avais offerte une fin septembre, mais c'est seulement depuis quelques semaines que sa maman lui avait ajouté une carte mémoire suffisante qu'elle l'utilise davantage.
S'approchant des fleurs, nous étions à un carrefour: des voitures passant même si pas souvent. Heureusement, un petit rebord, nous permettait de prendre des images en tout quiétude.
Elle a pris aussi les voitures qui passaient, que les fleurs de loin et ensuite tout près.
Experimentant, une avec ses doigts fermés, l'autre ouverte, l'une jaune, l'autre bleu. Et la troisième une parterre des bleu près d'une autre image des mêmes en jaune - comme il y a une touche permettant de les mettre l'un à côté de l'autre sur son appareil.
Comme je lui avais appris, elle n'a pas pris qu'une seule des penchés trouvées "cela sent si bien, vienne la sentir, mamie!"
Au bord de la Seine, nous avons offerte un peu de pain, espérant que les canards arrivent. En attendant, elle a découverte des coquillages.
Presque toutes les images (sauf celle d'elle) sont par ma petite fille qui aura bientôt 9 ans, mais pas l'image suivante, quoique même celle-ci c'est elle qui a demandé: "prends ceci, ainsi, mamie!".
Les canards sont arrivés, mais envolés ou nagé plus loin rapidement: elle était tout près du bord, pour les observer vivre.
Revenant chez moi, nous avons mis toutes les images sur l'ordinateur et ensuite, commencé à jouer avec, rectifier ou leur faire de bord, appliquer des effets spéciaux.
A partir de cette image, pris par moi, après qu'elle m'avait dit: "regard la maman et ses petits!"
dont nous avons choisi juste cette partie puis appliqué un filtre contour, nous sommes partie vers une autre programme dont elle se souvenait d'une autre fois, Digimax offre des cadres spéciaux. Elle en a choisi d'abord celui-ci, en lui changant ensuite les nuances aussi.
Ensuite, finir avec cette cadre, qui finira aussi mon message de ce matin, avant de la déposer à son danse moderne.
"Annyira jo" c'est mon passé, arrivant avec un peu de nostalgie, ma petite fille est le future, l'espoir qui se réalise déjà a travers elle et les autres garçons frère ou cousins.
Bien sûr, cette note, est dédié à elle, ma petite fille, qui aura 9 ans dans un mois.
La journée passée avec ma petite fille.
Nous avons commencé le matin, en regardant la dictionnaire d'images ANGLAIS FRANCAIS, Larousse. Comme j'avais oublié (le hasard fait bien les choses) mes lunettes à la maison, c'est elle qui a dû me lire les inscriptions sous les images en deux langues.
Faut-il dire, que son accent est déjà tellement mieux que la mienne? En plus elle était toute heureuse de pouvoir les lire, au moins pour les mots qu'elle avait déjà appris, en deux langues!
Ensuite, elle voulait me montrer les images des costumes anciens, nous ne l'avons pas trouvé dans ce livre, mais elle a appris à chercher dans l'index à cette occasion, puis nous l'avons trouvé dans le grand Larousse en français, acheté en même temps probablement. Cette fois, c'est elle qui est allée directement à l'index.
Chez moi, nous avons déjeuné, puis allées a la piscine, trop tard: c'est fermé après 1:30 pour le publique normal, ouverte seulement pour les écoles. Sans trop de regret, nous sommes parties vers la Seine et prendre des images des oiseaux.
A un carrefour de Carrières sur Seine nous avons été arrêté par ça.
En commun accord, nous avons décidé de s'arrêter, y aller prendre des images, chacun avec notre caméra.
J'avais lui avais offerte une fin septembre, mais c'est seulement depuis quelques semaines que sa maman lui avait ajouté une carte mémoire suffisante qu'elle l'utilise davantage.
S'approchant des fleurs, nous étions à un carrefour: des voitures passant même si pas souvent. Heureusement, un petit rebord, nous permettait de prendre des images en tout quiétude.
Elle a pris aussi les voitures qui passaient, que les fleurs de loin et ensuite tout près.
Experimentant, une avec ses doigts fermés, l'autre ouverte, l'une jaune, l'autre bleu. Et la troisième une parterre des bleu près d'une autre image des mêmes en jaune - comme il y a une touche permettant de les mettre l'un à côté de l'autre sur son appareil.
Comme je lui avais appris, elle n'a pas pris qu'une seule des penchés trouvées "cela sent si bien, vienne la sentir, mamie!"
Au bord de la Seine, nous avons offerte un peu de pain, espérant que les canards arrivent. En attendant, elle a découverte des coquillages.
Presque toutes les images (sauf celle d'elle) sont par ma petite fille qui aura bientôt 9 ans, mais pas l'image suivante, quoique même celle-ci c'est elle qui a demandé: "prends ceci, ainsi, mamie!".
Les canards sont arrivés, mais envolés ou nagé plus loin rapidement: elle était tout près du bord, pour les observer vivre.
Revenant chez moi, nous avons mis toutes les images sur l'ordinateur et ensuite, commencé à jouer avec, rectifier ou leur faire de bord, appliquer des effets spéciaux.
A partir de cette image, pris par moi, après qu'elle m'avait dit: "regard la maman et ses petits!"
dont nous avons choisi juste cette partie puis appliqué un filtre contour, nous sommes partie vers une autre programme dont elle se souvenait d'une autre fois, Digimax offre des cadres spéciaux. Elle en a choisi d'abord celui-ci, en lui changant ensuite les nuances aussi.
Ensuite, finir avec cette cadre, qui finira aussi mon message de ce matin, avant de la déposer à son danse moderne.
"Annyira jo" c'est mon passé, arrivant avec un peu de nostalgie, ma petite fille est le future, l'espoir qui se réalise déjà a travers elle et les autres garçons frère ou cousins.
Bien sûr, cette note, est dédié à elle, ma petite fille, qui aura 9 ans dans un mois.
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