samedi 31 janvier 2009

Bientôt St. Valentine

Près de Royal Festival hall, une boutique des cadeaux et Chris, qui a organisé la rencontre, hélas raté, de jeudi, y entre pour trouver quelque chose à offrir.

J'entre avec lui, pour voir.

Pleines des bric-en-brac chers, dans ce lieux, mais mon regard est rapidement attiré à un objet qui n'est sûrement pas là pour offrir à un amoureux, amoureuse, mais qui sait....

Voyez par vous même, très discrètement, j'ai réussi à en prendre une photo.
Strange gift!
Brrr! Il me fait peur même à le regarder.

Drôle de cadeau! Ou alors, on se l'offre à soi même pour penser à ses ennemis? Ou même à un amoureux qui vous a trompé? L'offrir ou y penser?

Plus on aime quelqu'un, plus être trahi par elle ou lui fait mal. Donner confiance, s'ouvrir, espérer - ensuite se rendre compte qu'on n'aurait pas dû. Sauf que, je dois admettre que je ne regrette pas avoir fait confiance, avoir aimé. Tant que j'ai cru, espéré, rêvé, c'était merveilleux à chaque fois. Même si cela n'a pas duré.

Sept ans, une nuit, qu'importe! La joie était en moi. La joie et son souvenir reste.

A partir de maintenant je vais réfléchir, à qui je voudrais penser en ayant un objet comme cela ou à qui j'aurais encore envie de l'offrir. Au moins, théoriquement si pas vraiment.

Demain, on fête la nouvelle année chinoise à Londres, j'y vais, mais je n'apporterai sûrement pas des couteaux ou des objets en revenant, peut-être, quelques images dans l'appareil photo, et beaucoup plus dans ma mémoire.

3 commentaires:

  1. C'est affreux comme porte couteau.

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  2. Pas très bien inspiré le designer du porte-couteaux....

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  3. T u as raison , il ne faut jamais regretter d'avoir aimé et d'avoir fait confiance...
    Et je n'aimerais pas avoir chez moi et encore moins offrir ce bonhomme percé de couteaux

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