Expérimenter, communiquer, tâcher de vivre pleinement. Prouver a soi et aux autres, depuis dix ans déjà
dimanche 31 mars 2013
Dimanche de pâques, ici
Fête de printemps.
Il parait qu'elle date de plus de 3000 ans. Quand on croyait encore aux idoles ou plusieurs dieux. On espérait le printemps, le renouveau, la renaissance arriver.
Dehors, il gèle ce matin: givre sur le toit des voitures au dessous ma fenêtre.
Joie dans mon cœur : mon petit fils va passer la soirée nuit et matin avec moi!
samedi 30 mars 2013
Une œuf
Œuf cassée dans un plat.
Un de mes premières photos 2004 après que la fièvre de la photographie m'a prise.
Simple. L'image me parle. Me dit même davantage qu'un plat entier des œuf durs colorées.
En plus, la période des Pâques était toujours nostalgique pour moi. J'avais presque 25 ans, Samedi de Pâques ma dernière journée de jeune fille. Dimanche soir, après marchée, forêt et un détour dans la petit chambre de meilleur ami de 'lui' (avec qui j'ai vécu finalement 15 ans), je suis revenue chez moi et mes parents en regardant dans le miroir: non, je n'ai pas changée!
Je suis devenue jeune femme.
Je me souviens que j'avais prise avec moi le poème de R. Tagore en français et je lui avais lu 'je me suis arrêtée sur mon chemin t'attendre' et plus loin, j'ai enlevée toutes mes voiles'. Cela montre, que j'étais en fait décidée avant partir en picknick dans le forêt. Il espérait aussi, comme il avait pris les clés de chambre de son copain.
C'était il y a 54 ans et pourtant, a chaque Pâques me parait encore comme aujourd'hui avec tant des détails inscrite dans ma mémoire!
Le goût des tomates mûrs et vrais, de 'telemea' fromage fraie roumain ou grec salée, du pain paysan fraîche croquant et noir, encore sous mon langue. Ainsi que l'odeur de forêt ou nous nous sommes baladés avant d'aller finalement se 'reposer' un peu.
Jeunesse.
Aujourd'hui, commencer a 25 ans parait curieux, incroyable. Je vivais encore avec mes parents, j'étais pas mariée : cela n'avait rien de spécial alors.
Je me souviens, aussi deux semaine plus tard, un rendez-vous spéciale, peut être la seule fois, dans un hôtel en tout cas la première nuit entier passée ensemble. En fait, pas de souvenir du tout de la nuit, mais le matin très tôt (il allait travailler tôt) sortie sur la rue encore tranquille je me souviens des arroseurs et l'odeur fraîche et de sentiment de secret que je portais en moi qui m'enchantait.
J'avais été jetée de mon travail, interdit de finir mes études, mise dehors de l'organisation de jeunesse, déclarée 'ennemi du peuple'. Et j'étais heureuse: je suis devenue femme! Cette bonheur a envoyée loin tout mon amertume, tristesse et désespérance.
Oui! J'étais de nouveau en 'haut' de ma vie.
vendredi 29 mars 2013
Une porte se ferme, un fenêtre s'ouvre
Cette phrase parle, mais si on y pense, ne dit rien. Ce n'est pas une fenêtre qui s'ouvre mais des autres portes ou chemins a suivre.
Ici, une site de construction. Je me demande a quoi sert la fenêtre mise.
Mais en principe, le métaphore dit ce que disait mon arrière grand mère : du mauvais quelque chose bon sortira.
En Écosse j'ai commencé avec la phrase du titre ici, puis racontant une histoire qui c'était passée juste la veille pour la prouver vraie. Et d'autres et d'autres histoires personnelles pour montrer comment quand une porte s'est définitivement fermé dans mon dos, quelque chose intéressant est devenu possible.
Bien sûre, il faut saisir et en profiter. En plus, être flexible pour dévier quand nécessaire.
Bonnes fêtes des Pâques!
jeudi 28 mars 2013
Dehors, givre
Dehors, givre.
Il ne s'en fait pas.
Il n'a pas froid. Veste même dans le main!
Bien sûre, il n'est que peinture sur le mur, peut pas trembler de froid comme moi, quand je suis passée par la Lundi matin avant de reprendre le train Glasgow - Londres. Il reste la, sans même bouger dans la pluie.
Il y a soleil dehors ce matin, mais encore soleil avec dents. Je n'ai pas sortie depuis que je suis retournée, mais ce soir j'irai a une réunion dans laquelle j'ai un rôle et dois aider. Si j'ai le courage, j'irai bientôt faire quelques courses. Ce matin, j'ai retrouvée deux tranches de pain secs et j'ai fait de pain perdu, utilisant de l'eau (pas lait a la maison) et un œuf: pas mal!
Et hier, j'ai ouvert un thon en conserve et j'ai préparée une soupe des patates: Miam!
Je pourrais encore subsister sans courses, avec macaroni sec, avec couscous que je dois apprendre encore a utiliser, et j'ai même encore une œuf qui me reste! Pas de beurre ou margarine, mais un peu de huile d'olives, oui.
Il y eu un temps, où je n'avais vraiment aucune provisions d'avance. C'est loin derrière moi. Heureusement.
Après mes photo de Ayr et Glasgow, j'ai eu d'un coup 3000 visites sur ma site flickr! Merveilleux site vivant, dur a imaginer tous qui viennent voir d'un coup (d'habitude mille). C'est un lieux d'expo formidable pour montrer nos images et ce qu'on a vu et observée!
mercredi 27 mars 2013
Attitude
Je suis de plus en plus convaincue!
Quelle différence, n'est pas?
On ne réagit pas de la même façon!
Dans les trois cas, les dents de devant manquaient: et alors?
Je les ai maintenant, mais après ces photos je me rends compte que même sans, la vie est belle!
Finalement, la comédie c'est de faire voir et rire de la tragédie,
ou au moins des choses qu'on pourrait aussi voir tragiquement.
mardi 26 mars 2013
Traversant Glasgow
Il faisait froid.
Si j'aurais été mieux habillée une température au dessus de zéro n'aurait pas comptée bien sûre, rien comme a New Yorkshire un jour où mon nez est devenue glace...
Je me suis dit, je ne peux pas être a Glasgow sans voir un minimum: j'étais récompensée.
Descendant jusque la rivière, j'ai découverte un pont moderne très élégante. Et, près de la gare des murs couvert de l'art amusant.
Et aussi:
Puis ici, certain est un homme réellement, mais d'autres, non.
Et ceci est tout sur le mur. Voir les autres sur flickr.
A demain.
lundi 25 mars 2013
Il faisait froid
Au lieu du printemps, un vent d'hiver soufflait.
Personne avec qui me promener. J'ai décidée de passer la journée de dimanche plutôt a Glasgow, une grand ville de scotlande, avant de prendre le train lundi midi pour retourner.
J'ai même demandée si je pourrais changer mon ticket de train: non, trop cher.
La proprio de l'hôtel après le petit dej, m'a accompagnée dans sa voiture a la station de train en Ayr et après avoir gelée vingt minutes dans le hall, me voilà enfin dans le train vers Glasgow. Compartiment froid, aussi.
Une station, un autre passent.
Soudain, mon petit téléphone mobile sonne. Rosie, m'appelle.
- Je suis la raconteur des histoires. J'aurais deux heures libres a passer ensemble...
- Je suis déjà dans le train!
Le troisième station venait de passer.
- Où? Je viens vous chercher!
A la quatrième station, je descends du train. J'attends, dans une place fermée, où le chauffage démarre doucement. A la demande.
A ma surprise, Rosie arrive rapidement.
Déjà, son sourire me réchauffe.
- Quoi vous montrer?
Je pense a la mer, a la nature.
- Allons d'abord chez moi, buvons un thé chaud, puis on verra de la.
Finalement, elle m'offre un cafe que je préfère, et non, ce n'est pas de l'eau a laver vaisselle ! On commence a bavarder, a échanger.
Soudain, c'est midi!
- Déjà ?
Rosie prépare, m'offre des œuf de leurs jardin. On n'arrête pas a échanger.
Je pars avec regrets, j'aurais eu quoi écouter et dire jusque lendemain!
Elle me fait le tour des lieux où a vécu Burns le fameux poète écossais. Paysage féerique avec les arbres nus d'hiver. Le printemps arrivera plus tard ici.
En fait, en plus qu'elle me raconte, guide personnelle sachant tous les détails, on continue encore aussi sur ce qui arrive quand, on se trouve devant une audience, ce qui arrive après. Ce qu'on fait ou fera dans les mois a venir.
Rosie me dépose a la garre allant de nouveau vers Glasgow, sept heures après que j'y suis descendue.
Qu'elle journée passionnante!
Dehors, toujours froid, mais chaud brûlant dans nos âmes.
dimanche 24 mars 2013
Movements de l'atelier de danse
il a fallu changer, trotter a pied vers une autre station dans une petite ville sous le froid glassant, puis attendre le bon train.
Entre temps, nous avons bavardé. j'ai appris que le lendemain sa mère de 80 ans va danser avec le troupe de danse apres le déjeuner.
J'ai incorporée l'incident, comme une chance - d'avoir appris et me décidant d'aller moi même a l'atelier de danse de matin. Avec cela, j'ai mise l'audience a ma côté. Plus tard, essayée bouger avec les autres, comme dans cette photo.
J'ai réussi mon discours au delà de mes espérances. Non seulement les 'pro' l'ont aimé, 'très inspirationelle' mais beaucoup m'ont parle après montrant qu'ils en ont trouvée quelque chose dans leurs propre vie avec laquelle ont fait lien. Un écho ou qqch similaire. Ou une aspiration pas encore réalisée.
J'ai eu vraiment peur de ne pas réussir parler si longtemps ou détendre l'atmosphère ou ennuier. Je suis rassurée: fantastique! Je pourrais donner des discours plus longues a divers endroits, rencontrer encore d'autres ailleurs.
Il fait toujours froid dehors, juste au dessus de zéro et avec vent froid. Mais mon cœur chante.
samedi 23 mars 2013
Un fenêtre s'ouvre
J'ai peur.
Moto: quand un porte se ferme, un fenêtre s'ouvre. Le dit-on en français ou seulement en anglais?
Mieux serait dit "quand une porte se ferme derrière vous, d'autres portent s'ouvriront.
La porte de la jeunesse, la porte même de la vie adulte s'est fermée deffinitivement derrière moi, derrière ceux à qui je vais m'addresser aussi.
Quoi, maintenant?
Oui, il y a de la vie après 70 ans.
Ou 60 ou même, j'espère bien, 80. Mais bien sure la question est "quelle vie"?
Pleine des problèmes de santé dans mon cas. En même temps, de plus en plus une vie créative et intéressante. Non seulement j'arrive a m'exprimer en publique, mais de plus en plus me considérent leur mentor, leur guide, leur exemple.
Oui, des nouvelles avenuent (que je creuse) s'ouvrent devant moi pour l'année à venir, l'année commencant en Juillet. En meme temps, je ne vais pas abandonner tout à fait ceux qui sont autour et ont besoin encore d'être conseillés.
vendredi 22 mars 2013
jeudi 21 mars 2013
Bus de Londres
Alas, ils prédissent de la neige abondante.
Vers la fin du Mars!
On verra.
Ce matin, j'ai fini une nouvelle version de mon récit discours, puis j'ai récupérée mes dents. Maintenant 4 sur le dentier.
J'ai prise des photos des fleurs. Que feront-ils sous la neige. Les fleurs sont forgent. Moi, je fonderai pas non plus. C'est quand même dommage partir en mauvais temps!
mercredi 20 mars 2013
Brouillard, se dissipera
Le mauvais temps apportent quelque chose.
Dans la nature, le brouillard épais m'a apporté cette image, prise au bout de ma rue, quand une jeune femme passait près de la près.
Dans la vie, il se dissipera, et je verrai plus de douceur de printemps de nouveau. Hélas, certains jours (gens aussi) paraissent grisés et pas très claires. Mais oui, c'est passagère!
Le brouillard a Londres ne vient que rarement, depuis que on ne chauffe pas tout a charbon et les fabriques n'émanent pas une fumée continuellement. Ils l'ont arrêtée il y a longtemps déjà.
Dans ma vie, cela vient et part.
Il y en a nettement plus des gens sympa et des occasions plaisants. Ça ira, ça ira, ça ira!
mardi 19 mars 2013
On peut sourire...
De nouveau, pas en faire une tragédie!
Ce matin, j'étais épouvantée d'aller au dentiste comme je savais que prendre des empreintes sera pas facile. J'aurais envié de vomir.
C'était plus facile que je le craignais: j'ai appris a relaxer, a aller avec et pas contre ce qui arrive. Fini.
Maintenant, deux jours et demi sans mon dentier. Sans mes trois dents de devant. D'autres survivent, s'habituent, vivent et souris avec beaucoup moins des dents.
Si tout va bien, jeudi je les aurais de retour, sinon, peut être je devrais partir en Écosse sans ou en retard. Pourquoi ne pas espérer le mieux a la place de craindre le pire?
Faut-il imaginer le 'pire' et se dire que ce n'est pas la fin du monde? Elle me souriais toute heureuse, sans se soucier de l'absence de ses dents!
Pourtant, je me fait toute une problème de tout. Trop. Je me dis: pense a la vase: elle n'est pas si grande que sa projection!
Je me dis aussi, "j'ai le droits d'avoir un peu de pitié de moi même, tant que cela ne dure pas trop longtemps."
lundi 18 mars 2013
Printemps avec dents
Bien sûre, dans la pluie, le givre fondrait.
En tout cas, le printemps que j'avais imaginée a mon autre bout du tunnel tard a arriver.
Le pire est que mon discours de Écosse qui me paraissait si loin s'approche trop rapidement, et je ne l'ai pas encore. Je me sens affreux et je n'ai pas beaucoup dormis pleine des idées et récits et matériel qui ne gèlent pas, ne me donne quelque chose concrète que j'aimerai dire.
L'événement est pour samedi!
Vendredi, je vais voyager presque toute la journée. Il faut l'avoir, l'apprendre, le raffiner.
Hier matin j'ai écrit une deuxième texte, pas bonne. Hier soir, j'ai écoutée divers 'keynotes' de web, pour inspirée. Le meilleur était celui de Bill Cosby aux étudiants. Un récit personnelle de sa jeunesse avec beaucoup des détails, racontant comment il a réussi a perdre son confiance en soi et donner un mauvais spectacle, pour le regagner a la prochaine et en donner un excellent.
Le récit ne nécessitant presque pas de conclusion. Aie confidence en toi: ne laisse pas la doute te détruire.
Et pourtant, c'est cela qui m'arrive...
dimanche 17 mars 2013
Au bord de la fenêtre, dans une arrosoir
Des lilas de mon jardin, á Argenteuil, devant la fenêtre de ma chambre dans une arrosoir.
Hier, cette photo était choisie comme favorie la 11 fois, vue presque 600 fois, commentée par 11 déjà. Pas si mal.
Avec cette occasion me revient la tiédeur de la brise, les odeurs zouaves des lilas qui se sont multipliées, belles mais pas durables. Rapidement, les fleurs sèchent et deviennent rougeâtres.
Mais quand c'est leurs temps, quel joie!
Une simple photographie et idée comment arranger les fleurs provoquant de plaisir a plusieurs les ayant regardée. Maintenant, en place avec les autres photos de l'album Recently Favorited. J'y mets des anciennes images découvertes, redécouvertes.
Ce matin, j'ai enfin écrit la première jet de mon discours. A changer, a ajouter, mais au moins c'est mieux que celle écrite hier.
samedi 16 mars 2013
Il y a un mois, seulement?
A époque, le temps paraissait s'arrêter, tout passait trop lentement.
De jour en jour, de l'heure en heure, même de minute en minute, je luttais.
J'avais découverte, qu'en relaxant mon visage, surtout les muscles de mon front, je ressens moins la brûlure et cela me démange aussi moins en certains places.
Relaxer!
J'ai aussi appris a me distraire. Quand l'attention était ailleurs, pour des minutes, plus tard même heures, j'oubliais mon front brullant.
Il y a seulement un mois?
Même pas, juste quatre semaines!
Trois semaine après, voilà :
Bien différent.
Cela explique, probablement l'avalanche des autoportraits prise depuis fin janvier, quand j'ai commencé mon traitement pour prévenir le cancer de peau sur mon front. Les traitements que je trouve toujours brutaux, au moins cela est bien derrière moi maintenant.
- Et sur mon dos? J'ai demande le docteur.
- On ne l'utilise passur le dos, elle a répondue.
Il a fallu de septembre a mars, que le traitement nettoyage de mon dos, sur une place se ferme, ne me heurt plus.
C'est la vie.
Malgre tout, j'ai réussi tellement des choses. Moins que j'aurais voulu, peut être. Mais l'atelier de raconter, aider d'autres clubs, raconter quelques récits.
Un jour, je vais réussir a faire rire de mon front rouge ou raconter ce que j'ai appris sur la relaxation, en public. Pas encore. Mais cela viendra.
Je prépare mon discours pour l'écosse. Pendant les jours noirs avoir quelque chose a l'autre côté du tunnel m'a aidée même si je n'étais pas assez forte a me concentrer et le préparer. Ce matin, écoutant des anciens discours, de 2008, j'étais enfin inspirée et commence a l'écrire.
vendredi 15 mars 2013
Des choses
Comme cette photographie, découverte ce matin prise hier par une femme, loin et que je n'ai jamais vue. Encore.
Simple. N'est-ce pas?
Pourtant, il m'a frappée. Comme si ce bol des œufs sera devant moi, tout en trois dimensions. Non seulement a cause des ombres et détails de surface, mais aussi les œuf des deux couleurs différents.
J'ai prise aussi, le même jour des objets dans ma cuisine et salon.
Le matin, préparant le café.
Le rest du petit dej de hier, avec la porte ouverte vers le salon.
Un des deux sofas du salon, de près
Ou alors, juste une fraise rouge de tout près
J'en ai prise d'autres aussi, mais aucune ne va même pas loin de la simplicité et élégance de bol avec les œufs de ma copine joolieboolie!
J'apprends tellement chaque jour!
jeudi 14 mars 2013
Soudain, de loin...
Hier, un dent est sorti de son pivot: restée encore sans un, de plus! Je me suis sentie à terre.
Ce matin, après un autoportrait 'sans' j'ai commencée me promener avec mon iPad dans la maison, salon, cuisine, prendre des photos.
Soudain, je vois une ombre énorme projetée par une vase svelte.
Illumination: mes ennuis ne sont plus grandes grosses que la vase, c'est moi qui les rendent dans mon esprit, des fois, plus gros plus noirs.
Cela a du vous arriver a vous aussi!
Il a fallu prendre plus de 36 photos des divers choses chez moi, pour arriver a 'voir' ce qui était la, causée par le soleil entrant par la fenêtre.
Et voilà ce que j'ai finalement fait, avec une image prise de plus près.
Oui, le dentiste va me remettre le dent, mais ce matin je viens de comprendre davantage.
mercredi 13 mars 2013
Têtu, entêtée et persistants
obstiné
opiniâtre
entêté
buté
persistant
acharné
C'est les fleurs de printemps, résistant aux froid, et même a la neige tombée un matin.
Résistant, buté et persistants malgré les difficultés qu'elles ont trouvés en sortant leur nez de la chaleur de sol.
Un petit peu de soleil et elles s'ouvrent et sourient. Se délectent de ce qu'elles trouve, bien. Résistent au crois, se fermant pour un coût moment.
Reconnaissez-vous? C'est moi. C'est vous.
têtu, obstiné, entêté, buté
et y allant continuant, quand on nous dit: pas possible.
On y va. On attend notre heure. On ne se donne pas vaincu facilement.
mardi 12 mars 2013
Soudain
Ombres des arbres encore d'hiver.
Printemps et hiver (et soleil et ombres) se rencontrent.
Sortir vaut la peine
Après que la neige s'est arrêtée, un vent encore plus froid entrant sous le manteau, frigorifiant les os.
Je ne vais pas sortir ce soir!
Aller au bus? Brrr. Du bus en métro ok, mais après chercher le train et de la station le cinéma où l'événement aura lieu? Brr.
J'ai écrit un email: j'ai tombé, j'ai mal. A la dernière minute, j'ai ajoutée: si quelqu'un viendrait me chercher chez moi...
Katy, qui était prête hier soir de raconter une histoire a Hackney Attic, 5e étage au dessus de cinéma du nord est Londres, m'appelle: si tu veux venir, je viens te chercher.
Bien. Je m'habille, deux heures plus tard, elle est la. La voiture chaude, la route en voiture plus rapide que je le croyais. Ascenseur. Chaleureuse bienvenue.
Une stage bien illuminée avec un bon microphone, et chaud dedans. Audience sympa, presque moitié ont participé et racontée une histoire personnelle de cinq minutes. Katy, vers le milieux.
Très heureuse que j'y étais !
Nous allons y retourner avec d'autres, nous avons décidés pendant qu'elle me reconduisait a la maison.
Leçon appris. Je peux demander qu'on vienne me chercher. Le fait que c'est mieux de sortir que rester au douillet, j'avais déjà appris quand j'étais jeune fille...
lundi 11 mars 2013
Il neige dehors
11 mars, printemps dans ma tête, mon visage retournée après six semaines (3 traitement et 3 après pour se guérirent du traitement) au normal. Non, pas de visage ou fron lisse comme du bébé mais couleur comme le reste.
Les traces des anciens traitements devenus blancs, etc. Mais le temps est arrivée d'oublier mon visage.
Lutter avec l'hiver revenu, le neige qui tombe ce matin et la rhume depuis deux jours.
Malgre tout, bientôt le printemps arrivera.
dimanche 10 mars 2013
Que va-t-il arriver?
Le froid est revenu.
Au dessous zéro et probablement même un peu de neige. Pour sûre froid.
Comment vont les fleurs de printemps survivre? Que leur arrivera?
Hier, en essayant de fermer le rideau, j'ai tombée par terre. Il m'a fallu du temps á me relever.
Par terre, je me suis demandée: que va-t-il arriver, si un jour je n'arrive pas a me relever, n'arrive pas arriver au téléphone?
Combien des heures, des jours je serais impuissante et seule?
Il faudra prendre des mesures pour que chaque jour quelqu'un vient me voir, ne serait que quelques minutes. Il faudra mettre en œuvre un téléphone ou alarme que je puisse utiliser de loin.
Vivre seule, vivre loin des autres, devient plus dangereuse vers 80 ans.
Même si j'ai encore 18 mois a arriver lá, bientôt. En plus, il faut absolument refermer mes muscles, pour éviter a tomber facilement, pour apprendre aussi a me relever plus facilement.
Tout peut arriver si vite!
samedi 9 mars 2013
Couleurs de Londres la nuit
En arrivant a Londres, j'ai passée semaine après semaine a travers ce pont, allant a ma rencontre La voie d'artiste. Pendant six mois.
J'y ai appris plus que je le croyais.
Mercredi j'ai passée de nouveau, admirant de nouveau les lumières colorées et leur reflet sur la Tamise.
Les reflects de la lumiere tremble not sons us la brise: comment la faire ressentir? Passer ce qu'on ressent?
Je me suis aussi rendu compte que la photographie ressemble a la création des récits devant une audience.
Il faut apprendre son 'instrument' et savoir l'adapter en suivant la circonstance.
Pour reproduire le mouvement des vagues, il a fallu mettre mon appareil a 'rapide' sans pointer comme pour les portraits ou fleurs.
Pour faire rire des adolescents il faut parler leur langage, language dont ils ne s'attendent pas d'une vieille 'dame'. Une autre audience agira autrement, faut adapter, glisser, modifier.
Hier, j'ai fait - presque - rien. Repos après et aussi avant préparation de mon 'grande' discours. J'ai réussis a même ne plus y penser. A la place, j'ai jouée avec les images, lis un romance, écoutée les histoires que mes copains ont racontée lundi soir.
J'ai fait une découverte.
Raconter une histoire importante: c'est intéressante mais pas passionnante si on n'en ajoute une pincée de humour, de poésie et auto dérision. Raconter une anecdote de la vie, peut amuser et dévoiler des choses profondes.
Bien sûre, quand on combine les deux, l'histoire reste et nous touche davantage. Il y a a chaque fois tant a apprendre!
vendredi 8 mars 2013
Je le prenais sérieusement
Elle me rappelle le sérieux que j'ai pris chaque nouvelle projet de mieux apprendre a parler en public.
Ici, répétions devant ma petite fille dans leurs jardin d'alors. Projet était 'expression corporelle'.
Ces jours, je ne pense plus a ce que mon corps et visage fait pendant que je parle en public: il vient pratiquement tout seule comme nager ou conduire un voiture. Seulement un spécial mouvement, ici ou la ajoutée de temps en temps. Le reste, viennent.
J'oublie presque tout l'effort que j'y est mise pour arriver ici, où je suis maintenant. Arrivée a un autre niveau, c'est plus intéressant á se concentrer sur la futur challenge, défi devant moi.
Les trois parutions fort différent delà dernière semaine, bien derrière moi, pas mal en tout, je me concentre maintenant sur mon. discours que je vais donner en deux semaines en Écosse. Invitée comme orateur principale: qu'elle responsabilité!
En regardant cette image, je rends hommage a tout le travail derrière et patience de ma famille de m'écouter, m'encourager, m'accompagner surale chemin.
jeudi 7 mars 2013
Encore heureuse
Membres des 4 de 'mes' 5 clubs - dont je suis 'gouverneur' sont venus pour raconter dans un théâtre, sur scène, les lumières sur eux et prises en vidéo aussi, leurs histoires personnelle: qu'elle difficulté est soudain tombé sur eux et...
Non seulement, ils sont tous venus, même celle qui a cassée sa pied un jour avant - parlant assise, mais aussi celui m'ayant dit le matin encore "j'ai un rhume de cerveau" et celle qui me disait n'avoir pas du temps et... Oui, c'est moi qui a incitée, organisée et tous les sept étaient lá.
Tous les sept ont raconte des récit prenant le cœur et dont on s'en souviendra.
L'un, croyant que le balbutiement l'empêchait a vivre, l'autre sortant de placard et disant a son père que dorénavant elle vivra avec son amie, le troisième nous a raconte la surprise quand d'un coup son mari de seulement deux semaine lui a donne un coup sur le visage et comment elle s'en ai débarrassée après deux ans. J'ai raconté mes difficultés quand je voulais rester vivre en Amérique et encore un autre que s'est passée pour enfin ne plus travailler avec son père et s'y mettre a sa propre entreprise.
Les deux autres, une de difficultés de comprendre grec... Et le l'un des policiers qui étaient soudain lá... Il avait bu, un peu plus et il conduisait... Avec détails, cela a devenu aussi une histoire passionnant que tous ont suivie se disant: et maintenant?
Tout ne réussi pas comment on se l'imagine, comment je croyais en Septembre, mais lundi soir était une réussite! Même si un peu différente que je l'avais imaginée: tous ne sont pas venus mois après mois a l'atelier des raconteurs. Et alors? Ils sont tous partis avec plus de confidence et heureux.
mercredi 6 mars 2013
Standup en français
Auteur et interprète: Mohamed Mouctari Moustapha dit Mamane.
cliquer sur la langue française pour l'écouter et voir: qu'elle énergie et jeunesse aussi!
Amusez-vous!
Je me prépare pour demain, en anglais.. Je ne suis q'une débutant en le regardant. Quel présence! Que des observations et aisance!
Enfin, chacun a son niveau.
Je me suis regardée hier en vidéo, racontant une histoire et j'ai amèrement regrettée d'avoir coupée mes cheveux. D'avoir mange tellement du chocolat et gâteaux ces dernières semaines. D'avoir mis les même habits que j'utilisais il y a un an a peine ou deux: j'ai prise du poids. Aussi de la poise, mais pas tant que ça.
Un jour, peut être, je tacherais aussi un Standup en français: pourquoi on ne lui avait trouvée un nom français? En fait, cela veut dire seulement, se lever et dire devant d'autres ce qu'on avait écrit - en général - soi-même et ce qui nous pèse, avec un microphone dans le main ou sur le col.
C'est la première fois que je suis vraiment anxieuse avant un 'gig' comment cela s'appelle et je n'ai même pas de la traduction pour ce mot-lá, puisque c'est un de mes profs de comédie que je respecte qui l'organise. Je voudrais lui monter que je suis 'au niveau' pas trop mal.
Au travail, alors!
mardi 5 mars 2013
Après le spectacle
J'étais ravie de l'organization que j'ai réussi à faire et, à la fin aussi du courage qu'apparaitre sur stage à donné à tous.
Entre nous, ce n'était que Chris et moi qui étions habitués à paraitre, et même lui, pas pour raconter des histoires mais fait rire.
Nous avons eu des histoires émouvants, diverses et bien racontés en plus, mais le plus important reste le courage que cela a donné, non seulement à tous qui ont paru sur la stage, la plupart la première fois, mais aussi à l'audience.
Nous avons raconté les soudain défis rencontrés et comment nous avons réagis.
Ensuite, épuisée, je suis revenue en métro, qui par erreur - quelle chance - m'a déposée sur Trafalgar Square non loin de la Gallérie Nationale. Quelle plaisir, la fontaine verte pendant la nuit! Mais la plus, j'ai aimé la photo d'un taxi passant que j'ai suivie avec mon caméra.
De plus en plus, les taxi mettent de publicité et ne sont plus noirs et ancien mode comme avant.
Vive la diversité de Londres!
lundi 4 mars 2013
Printemps arrive malgré tout
Il fait froid, juste au dessus de zéro.
Je reviens frissonnant de la répétition.
Une gloire: six collègues racontant des histoires au théâtre, ce soir va être le spectacle. Ils le feront pareillement a cause de mon aide et encouragement.
Un échec: mon histoire a moi était pas seulement trop long et un peu confus, trop touffu mais l'un a dit "c'était trois récits", l'autre "commencez plus tard" la troisième pire: "je me suis arrêtée écouter vers le milieux..." Revenue, juste entendre la fin, que je la dois a mon fils.
Cela est une bonne leçon pour moi.
Ce n'est pas facile à tenir attention longtemps! Je vais devoir bien faire gaffe en préparant mon discours de 20' pour Écosse ! Et bien sur, couper, réparer tant que possible pour ce soir.
En même temps, je me console: les autres et en générale le spectacle organisée grâce a mon énergie vont être un succès.
Le succès a divers facettes.
dimanche 3 mars 2013
Blackfriers station & St. Paul cathedral
Partie en bus, d'oú cette photo de station de train et cathédrale prise en passant, je suis revenue dans la voiture de mon fils.
J'ai racontée mon récit des 24 heures pendant la deuxième guerre mondiale 'comme un pro' a dit mon fils.
J'ai rencontré des gens pleine de talent et sympa et, en revenant, mon fils m'a offert la fin du récit que je prépare pour demain.
Personne n'a observée que mon front est légèrement plus rouge (rose) : j'avais mise de rose sur mes joues pour que la différence parait moindre, et j'avais réussi oublier tout a fait le front et mes dernières semaines.
Sortie, vraiment sortie du tunnel!
J'avais si bien fait de programmer des spectacles dans lesquelles je dois paraître 'après'!
Et voilà une créateur de chansons, chanteuse, qui a aussi paru, juste après moi.
Elle, et d'autres, j'espère les rencontrer encore. La route continue.