Cette image prise après qu'il a posé pour moi.
"Mais prends aussi les assiettes!
- Bien sure."`
Nous avons même trouvé des très bon Bourger Vegetarienne, au dire de mon petit (grand) fils.
Fin d'année. Bientôt commence la nouvelle.
Expérimenter, communiquer, tâcher de vivre pleinement. Prouver a soi et aux autres, depuis dix ans déjà
soudain, une place disponible pour la semaine prochaine, pour un discours, pour moi, dans le club
de quoi je vais parler?
d'habitude, je prépare longtemps en avance, mais là, l'occasion arrive d'un coup
il faudrait avoir toujours quelques discours dans sa poche, tout prête
je vais raconter des bilans de l'année, qui peut mener à des résolutions, de nettoyage autour menant à retrouver des vieilles cahier et donner des nouvelles élans, trop, pas assez
je dois m'y mettre sérieusement maintenant
Ce matin, j'ai retrouvé (en fait c'était sur un petit table) le premier cahier rempli de mes essais d'apprendre la comédie.
Cahier commencé en février 2011 et finissant en Juin de même année, contenant non seulement ce qui j'ai écrite pendant mes premiers ateliers de standup comédie, mais aussi des choses des premiers livres lus sur le sujet.
Je ne suis arrivée qu'à la page 4, mais déjà c'est très intéressante pour moi, au moins bien sure. Je recopie tout sur l'ordinateur et en même temps je réfléchis non seulement sur ce que j'avais écrit alors mais aussi du distance parcouru.
En effent, il y a deux ans je suis partie à la découverte de "comique" en moi et avec l'intention d'élargir ma "zone de confort".
Dès le début, souvenir de papa, qui sur son lit d'hôpital, près de mourir, m'a dit: "prends moins sérieux la vie, Julie".
Ensuite, citer (pour me donner courage ou l'utiliser) ce que ma fille m'a dit une fois, dans la voiture me conduisant a l'aéroport. Je lui avais dit que je m'inquiète comment mon front est pleine des traces de brulures médicales, et j'ai reçu comme réponse: "Ne t'inquiète pas, maman. Personne ne te regarde, vraiment. Tous trop préoccupés comment ils paraissaient, eux."
A cela, j'ai ajouté, il y a deux ans: depuis je ne me regards pratiquement plus dans le miroir non plus. Et, quand je m'aperçois j'ai un choc.
Est-ce moi?
Comment c'est possible quelqu'un si jeune au coeur, esprit, âme paraissent ainsi?
Puis, j'avais ajoutée: peut être on voit l'enfant de cinq ans à travers mes yeux, malgré tout.
Je n'ai pas utilisé ceci depuis que maladroitement j'ai essayé d'expliquer à mon premier atelier au jeunes qui étaient mes collègues et qu'il m'ont laissé mourir avec ceci. Me regardant comme un animal étrange.
Oui, c'est vrai, c'était la première et dernière fois que je suis "morte" sur stage de comédie.
Pourtant, il s'agit seulement de trouver "comment" la tourner, est je pourrait la réutiliser.
Et ceci n'est que sur les premières pages!
Pleine de matériel non encore utilisé git dans ce cahier et attend que je les reprend, utilise, tourne d'une façon à faire rire.
Hier, nous avons passé un jour très agréable avec mon petit fils.
J'ai réussi a lui offrir à manger ce qu'il aimait, il a réussi a m'entrener visiter le Greenwich Park. Ensemble, séparés chacun se trouve bien, je crois, avec l'autre.
Il aime lire et écrire, autant que moi.
C'est un vrai plaisir, la première journée !
Le reste, on va se découvrir lentement.
Nous avons même trouvée une heure sans pluie pour notre promenade et admirée le soleil inonder lentement un part de colline avec l'herbe vert. Un arbre brillant de plus en plus. Et des arbres séculaires ainsi que des écureuils venant demander de la nourriture.
Pas de caméra avec nous. Cette "photo par Julie Kertesz London" est une ancienne que j'utilise comme fond d'écran d'ailleurs.
Ma cheville est le seule qui proteste de promenade. Hélas, en mauvais état. Pourtant aujourd'hui je dois trouver un moyen le faire fonctionner, nous voulons aller centre Londres.
En France, boulengeries ouverts
Non seulement ouverts, mais préparant, très tôt le matin, les baguettes, croissants chauds et mettant les dernier décorations sur les Bûche de Noël.
En Angleterre, c'est surtout la journée 'sans' où tout va être probablement fermée.
Journée tranquille en perspective.
Ici des images de matin de Noël, il y a six ans. Ma famille de Londres, sont ce matin la, nous sommes ici.
Alors, c'était brouillard, ici a Londres il pleut. Seulement en quelques lieux est le jour de Noël enneigée.
J'ai des baguettes ce matin, mais datant de trois jours. En tout cas, mon petit fils préfère des céréales pour matin.
Deux heures pour aller a l'aéroport avec bus et deux métros (et corridors entre eux).
L'avion est arrivée en avance donc je suis arrivée juste avant qu'il sort.
Bien retour a la maison maintenant.
Paisible Noël en perspective: aucun bus ne fonctionne pas demain. Mais après demain, pour changer c'est grève des bus et métros.
Dans exactement une semaine, mon 2 minutes filmés seront sur le web, j'attends avec impatience.
Grande joie d'avoir "lui" déjà 19 ans! ici.
Je ne serais pas seule cette fin d'année !
Bientôt, je pourrais embrasser mon petit fils.
On ira se promener ensemble, tant que mes pieds ou jambes et genoux voudrions bien coopérer.
Belle fêtes a vous aussi!
Bon fin d'année.
Longtemps, je vécus a l'intérieur de moi.
Marchant, pensant, réfléchissant. Sans regarder autour.
Oui, je regardais mes enfants et je prenais une joie énorme a leur développement, jour a jour. Même ceux avec qui je travaillais, un certain temps. Et, ah bien, je fermer mes yeux pour mieux ressentir quand mon mari...
Mais je ne regardais vraiment ce qui était autour.
D'abord, j'ai commençais a voir les autres, après mon divorce. En Amérique. connecter, aller vers ceux, encore plus seuls.
Puis, après mon deuxième divorce, j'ai apprise à cause de la photographie de regarder vraiment ce qui se passe autour.
D'un coup, j'ai observée la beauté des nuages, le tremblement de la saule au bord du parking de supermarché, les cristaux de neige brillant sous soleil.
La nature qui offre tellement des joies gratuit. Quand on prend le temps a regarder autour.
Ils m'ont apporté beaucoup. Ils ont embellis mes jours, m'ont offert des moments magnifiques.
Bien sûr!
peut être, un tout petit pour trois sous, peut être un petit enfant venant en visite de loin, peut être un étranger qui vous surprend par son acte de gentillesse
Souvent, les conducteurs de bus m'ont énervée, ne s'arrêtant pas, ne m'attendant pas, ne me laissant entrer 'déjà on est trop' etc Mais il y a une semaine, il pleuvait et le bus est passé devant mon nez quand j'étais encore relativement loin de la station.
J'ai fait un geste dépité, surtout pour moi même, cela je ne pourrais la prendre, et je devrais attendre encore dix minute dans le froid et pluie.
Je le voyais devant moi, arrivé a la station. Attendant. Attendant. Attendant.
C'est seulement alors que je me suis mise a aller plus rapidement, toujours pourtant sachant que le bus partira avant mon arrivée.
J'allais de plus en plus vite, sans courir pourtant, je ne voulais pas glisser sur la route humide.
Et le conducteur de bus m'a attendu! Il avait toujours la porte ouverte et n'est reparti que quand je suis entrée!
Faites ces dernières jours de l'année un gentillesse inattendu envers un inconnu. Cela va rester inoubliable, tout sa vie.
Il y a six ans, magazine Le Printemps fin Décembre. J'y suis allée avec mon petit fils pour regarder les vitrines.
J'ai surtout photographiée des gens, et ma "photo by Julie Kertesz 2012 London" préférée de ce jour est le visage d'un gosse regardant absolument enchantée des poupées virevoltant, dans une autre vitrine.
Cette photographie s'était perdue, parmi tant que j'avais prise ce jour-lá.
En le redécouvrant ce matin, j'ai eu de la joie, rêve aussi. Mais la plus grande découverte ce matin était un paysagiste Suisse que j'ai découverte en me promenant dans les groupes de Flickr, par hasard. Féerique paysages de Suisse française et de France!
Tant des choses a admirer, a apprendre, a étudier a travers le web!
Hélas, je ne peux pas le montrer, ici, mais un peu plus tard je mettrais un lien pour ceux qui en Décembre auron le temps et envie de se laisser enchanter par des paysages féeriques.
Je ne souris tout le temps, même si l'année dernière j'ai appris à regarder la vie davantage avec les yeux de comédienne.
http://www.4thought.tv/
A partir de 31 Décembre apres midi, il y aura un vidéo de deux minutes, en anglais, dans laquelle je parle de ces changes. Diffusées, 6 jours plus tard, dimanche, sur le télé 4 du BBC.
Je suis curieuse et aussi un peu inquiète ce puisqu'ils ont condensé presque une heure de interview en deux minutes, ce qui reste je n'ai aucune idée comment il sortira.
En tout cas, j'attends avec impatience la fin d'année pour regarder sur le web avec mon petit fils ensemble. En optimiste, je me dis "cela ne peut pas être horrible".
Et je souris.
Pas comme dans la photographie ci dessus, quand je pensais - j'ai aussi des moments comme cela - je suis en train de disparaître.
Peut être, pas encore!
Je suis arrivée a mon appartement récent il y a 44 mois. Après avoir parcouru le long de canal pour des heures, vers la sortie, j'étais appelée : votre vérification financier est passée et vous pouvez entrer dans l'appartement.
En fait, ils ont vérifié mon fils, qui était mon garant que je payerai le loyer régulièrement.
Pendant cette promenade, avant de déménager ou dirais-je aménager ici, j'ai prise pleine des photos numériques que je revois avec plaisir.
Des fois, cela me parait comme si c'était aujourd'hui ou hier.
Hélas, c'est aussi le cas avec des souvenirs tristes, difficiles, voire affreux.
"combien de temps faudrait-il ?" Demandait a la télévision, au sujet des parents, des survivants de la tragédie de l'école en USA.
Il y a des choses qui font mal a jamais.
Mon arrière grand mère a 93 ans, avait des larmes aux yeux parlant de sa fille, Sophie, morte a 2 ans. Elle avait du être moins de 30 alors. Elle avait une autres fille et cinq autres fils, mais elle n'avait jamais oubliée la douleur d'avoir perdu Sophie.
Je ne me suis jamais complètement débarrassé de ma culpabilité d'avoir survécu ma cousine, comptant toujours les années, et pendant longtemps me culpabilisant de chaque fois (pas souvent) quand je n'étais pas assez 'bien' envers elle ou sa famille. Jusqu'au jour où soudain je me suis souvenue des actes de amitié et aimants que j'avais eu envers elle. Je n'avais aucune faute a sa morte, emportée par les nazis et gazée, mais le sentiment reste néanmoins 'et moi.survécue'.
Je ne pourrais jamais oublier non plus le nuit où j'attendais mon mari volage revenir, ni la douleur, ni le sentiment de être incapablement perdu et sans pouvoir en fait d'agir, avec tous mes rêves et espoirs marches dessus. En préparant mes récits, j'ai réussi a comprendre, mais seulement avec ma tête, non le cœur.
Nous pouvons ne pas penser tous le temps, mais pas oublier, des choses fantastique, joyeux, pleine de bonheur, rire des enfants regardés ensemble, faire l'amour en trois minutes avant l'arrivée du bus, le nuit quand on s'embrassait des heures sans rien d'autre, avant, quand j'étais encore jeune fille et mon pull montant. Il l'a remontée, pour ma modestie.
Mais des choses peuvent se cacher, sans qu'on y pense, revenir soudain, ils peuvent nous permettre quand même de vivre et aller en avant. Ce qui nous touche fort, nous fait aussi vivre pleinement.
Fin d'année, préparations des festivités.
Pour moi, depuis que je m'en souviens, vers six ans ou sept, c'était le neige, la luge, et l'arbre de Noël.
Plaisirs, qui dans mon enfance allaient ensemble. La neige, tombait vers début Novembre ou même avant et restait dans ma ville, au milieu de Transylvanie, jusque fin Février ou début Mars.
Plus tard, a Bucarest, il n'étais pas si long, mais mon enfance était déjà passée, j'avais 15 ans.
La luge et, jusque 9 ans les skis, (après la facture de mon tibia, mon père avait interdit) était des joies liées aussi à Noël.
Maman m'envoyais avec amies ou cousins vers la colonne tout près, avec une luge, pour me surprendre à retour avec l'arbre de Noël tout belle et tout décorée, apporte par... Père Noël.
J'avais envie d'y croire, même quand je savais que c'étaient mes parents, et après que j'aide déjà a confectionnée des décorations ou choisir des bonbons doux spéciales Noël.
Nous avons,fêtée Noël même pendant la guerre, réfugies a Budapest, et plus tard, avec ma petite famille, pour ma fille, nous avons trouvée une branche de Noël même en Israël. nous avons fêtée Noël, avant et après la séparation avec la père de mes enfants, ensemble, et ensuite j'ai tachée a conserver cela après le départ de mes enfants.
Et même comme on vois ici, sur la fenêtre au moins, pour mes petits enfants.
Rare c'étaient les Noël tristes, sans aucune signe ou festivités. Cette année, la Noël spécial m'apportera un magnifique cadeau, mon petit fils en visite. Je vais sortir bientôt, pour acheter les premiers choses : pattes et céréales qu'il demande. Mais aussi quelque chose pour rendre mon appartement plus festive.
Noël n'était jamais religieux chez nous, mais la réunion et joie des familles.
Dans mon enfance, toutes mes cousines et copines, n'ayant pas Noël chez eux, le bonbon des matins suivants fondant sous ma langue, l'odeur de vrai sapin dans ma chambre.
Mon première journal, reçu a dix ans était aussi un cadeau de Noël et la première entre description des cadeau de de l'atmosphère et de ma joie.
Cela commence ainsi: c'est la guerre, mais je suis heureuse, nous avons fêtées hier Noël.
J'étais tellement jeune et mince il y a trios ans! Tant pis, on ne peut pas tout avoir!
Depuis, j'ai fait tellement des choses me faisant plaisir, rester maigre n'est pas entre elles. Raconter de mes histoires et ma vie, faire rire, aider mieux dire en public des autres. Plus, qu'alors.
Je suis en train de faire un 'set' album des images avec des places a visiter a Londres, en préparation de l'arrivée de mon petit enfant le plus âge, 19 ans. Je parcours des lieux que j'aime visiter et montrer.
Pas spécialement les lieux les plus connus, mais ceux que j'ai aimé et aime revoir.
Autour de la Tamise au centre, longeant le canal, au cartier colorée de Camden, des marchés préférées et des salles d'antan.
L'été, l'hiver, soleil ou pluie, j'aime parcourir Londres. Je ne sais pas pourquoi j'hésite ces jours a sortir!
Que sont vos lieux préférés a aller, a vous balader?
20 enfants, 5 adultes (je ne compte pas le tueur qui a tuée aussi son propre mère avant d'aller a l'école dans laquelle elle enseignait, tuant des gosses de classe de sa mère.
Une horrible catastrophe, me touchant autant plus que ma fille enseigne aussi dans une classe similaire, des petits enfants, en Amérique.
En quelques minutes, tantes des vies disparus, détruits, a cause d'un jeune dérangé, enragé, mais aussi des armes, qu'il parait étaient légalement acheté par cette mère enseignant!
J'ai écouté Obama ce matin, pleurant en parlant, lisant avec difficulté son texte. Je m'imagine aussi, comme il disait, l'innocence perdu d'une certain façon, non seulement des enfants de cette école, a Conneticut, dans une petite ville tranquille, mais tous les autres auxquelles les parents et enseignants vont devoir en parler. Expliquer, quoie?
Oui, j'avais aussi perdu mon 'innocence' vers 11 ans, en écoutant des atrocités des champs de concentration et des enfants massacrées, même si c'était loin de moi. Ma cousine était entre eux et je n'étais plus enfant comme avant. D'une certain façon, j'avais perdu l'insouciance.
Depuis une heure, je ressemble les photographies avec des gouttes de pluie.
La plupart, sur les feuilles vertes de mon ancienne jardin d'Argenteuil. Quelques gouttes sur des fleurs.
En cherchant par mot clé je suis tombée sur celle-ci, dans laquelle on ne voit pas en fait les gouttes, seulement les remous qu'elles provoquent.
Chaque goutte compte. Chaque goutte provoque quelque chose d'important qui se propage autour d'elle. Chaque chose que nous faisons, disons, peut rayonner ainsi et provoquer un remous, un changement, un bouleversement.
Dans notre vie aussi.
Cela parait disparaître, mais en fait des traces restent et peuvent aller loin, peuvent avoir des influences profondes.
Il y a des années, me promenant au bord du canal, j'étais fascinée par ces arbres: tellement penchées, prêtes a tomber.
Mais toujours lá, vivants, fleurissant, pleine des nouveau branches.
Oui, souvent ce qui m'attire vers une photographie n'est pas seulement visuelle, mais ce qu'elle évoque en moi.
Ce matin, je vais pour 'tourner, 20' il parait dont ils vont couper pour y faire deux minutes.
En général, je préfère raconter devant une audience, mais je me souviens, je n'étais pas si mal a être interviewé par une jejune fille sympa! Je dois regarder un ou,deux présents, le ou la plus sympathique, et rayonner de l'intérieur. Comme je peux faire des fois même en me regardant seulement dans le miroir.
Un rayonnement intérieur nous change de tout en tout! Je n'ai qu'à trouver une chose m'amusant, un secret, quelque chose mettant un éclat amusée dans mes yeux.
Alors, la corpulence, l'âge, les imperfections seront oubliés et un connivence prendra la place. J'espère, pouvoir oublier le caméra devant mon nez, les lumières sur moi, l'appareil son quelque part.
Et espérons aussi, ils ne prendrons pas les pires deux minutes du vingt.
C'est un livre excellent, en anglais.
Explique pourquoi raconter sur soi même. Sa force, son importance.
Ensuite, comment trouver des expérience à raconter de sa vie. Une puis sans fin mais faut apprendre comment y plonger. Et, bien sûre, s'habituer à regarder autour.
Il y a des 'petit récits' et il y en a ceux d'une importance vitale pour nous. On peut aussi les combiner.
Ensuite, il y a des chapitres expliquant comment créer une histoire a partir d'une - ou plusieurs- expériences. Une histoire qui touche, avec suspenses, une histoire qui satisfait ceux qui écoutent, regards.
Une merveilleux chapitre aide a apprendre, non pas par cœur mais en construisant des lieux, scènes, par ou on passe et reste plus ou moins, selon l'audience, notre propre sentiments ce soir-lá, et le temps disponible.
Comme si on passait a travers une rivière, sur des grands pierres. Chaque fois, recréant le moment, s'y sentant de nouveau.
Pas mal des autres chapitres suivent, mais cela sont les plus importants.
L'auteur explique aussi que raconter une histoire personnelle n'est pas une confession ou témoignage devant les jurés, on peut couper, y ajouter, imaginer une dialogue oubliée et changer des noms. L'histoire se crée a partir de la vérité personnelle et émotion dont on se souvienne, sans pour autant adhérer à l'expérience, qui de tout façon à change en nous et selon nos perceptions.
Il était une fois, même si cela devient 'une fois, quand j'ai ouverte la porte mon regard a porté sur une lettre reposant sur le télévision'
Combien on s'ouvre et on raconte dépends ne nous et ce qu'on veut exprimer, ce soir-lá par le récit. Il existe différents messages dans chaque expérience. On y sort le plus important à la fois, s'y concentrant.
On coupe ce qui n'appartient pas a ce récit, cette message, ce soir. Ceci,, j'ai appris d'un autre livre. C'est aussi la force de récit racontée - en plus de langage du corps et force des divers voix - il n'est pas écrit et peut changer, c'est flexible.
J'adore raconter!
Créer, modifier, jouer, puis le lien avec ceux présents. Je dois bientôt a m'y remettre.
Une amie d'enfance m'a raconté et fait réfléchir la première fois:
Si on mettait nos problèmes, vies et joies sur le fil avec la possibilité de choisir les avantages mais en même temps aussi les problèmes d'un autre, voudrions nous l'échanger avec lui ou elle?
J'avais 14 ans a peine.
Je n'ai pas changé de réponse depuis!
Non.
Bien sûre il m'est arrivée de souhaiter les avantages d'une amie "elle apprends plus rapidement que moi" ou d'un homme "il parle avec meilleur accent et fluidité" etc. Mais en regardant ses problèmes en même temps "elle a une maladie de cœur" ou "il n'arrive pas a se faire des amis" etc. Non! Je ne veux pas échanger de vie!
Chacun a ses problèmes qu'il crois énormes. Il y a toujours ceux qui on davantage des ennuies ou maladies ou malheurs: non, je ne voudrais pas échanger les leurs avec les miens.
En plus, étant optimiste, je me dis : ce n'est que passagère.
Le nez va s'arrêter a couler, le plaie sur le dos va se fermer. Et si le orateur programmée pour demain ne vient pas je vais le remplacer et enseigner à sa place.
Non, on ne me paie pas pour apprendre aux autres a mieux dire des récits - mais quel joie! Je sens que je vie, je sens que je sers à quelque chose, je voie certains fleurir, se développer, gagner confidence! Cela vaut tellement plus que des sous!
Oui, j'y serai la demain soir.
Je suis allée très tôt le matin, il y a deux ou trois ans au marché de poisson, pour prendre des images de l'activité et poissonniers.
Ces jours, je lisais l'autobiographie de Michael Caine.
J'avais cru qu'il était d'origine aristocratique: pas du tout. Son père un porteur au marche Billingsgate. Sa mère nettoyant par terre pour d'autres, puis cuisinière.
Il était très talentueux Maurice, son nom d'origine, avant le transformer a Michael pour des films. Caine, n'est pas non plus son nom d'origine. Je me demande quel nom sa famille utilise. Probable, le nom de cinéma.
Deux livres autobiographiques très bons: il est un excellent raconteur!
Une image parle.
Plusieurs images ensemble disent la même chose différemment, ou quelque chose en plus.
Bien sûre, c'est aussi des fois juste un jouet.
Je ne joue pas a l'ordinateur avec 'jeux' mais j'adore à jouer avec les images que j'ai prise.
Il y a des plus en plus,des façons et app's la faire!
Et voilà une autre aussi misé ensemble hier.
J'ai toujours aimée cette couple, prise il y a dix ans près de Notre Dame. Une des choses qui m'a fascinée est ses chaussures simples. Et l'âge, moyen. Et l'abandon, la tendresse.
À côté d'eux les signes des divers temps.
Est-ce cela parle tel que je la crois?
Mon dos a un infection m'a dit le docteur et m'a prescrit une sorte d'antibiotiques a prendre pour une semaine.
Il m'a aussi, subtilement déconseillée à retourner à l'infirmerie, m'a prescrit des pansements guérissants que la pharmacie va me donner bientôt.
C'est une grande joie d'apprendre que ce "n'est qu'une infection du dos" et pas des plaie de cancer sur dos! Curieux, la vie! Des choses pour lesquelles on peut se réjouir!
Je dois prendre les médicaments, me reposer et croire dans le vieux docteur qu'il sait ce qu'il dit... Et dans quelques jour tout ira mieux.
D'où est arrivée l'infection, pas important maintenant, la guérir et aller plus loin.
Ce lit est la place où je lis et travaille pour le moment, même si depuis cette photographie j'ai acheté un nouveau matelas plus dure que j'aime mieux.
Et maintenant, encore un peu de patience, mon dos ira bien et, avec le pénicilline probablement mon gorge guérira en même temps. Je sera de nouveau pleine d'énergie.