Près de Royal Festival hall, une boutique des cadeaux et Chris, qui a organisé la rencontre, hélas raté, de jeudi, y entre pour trouver quelque chose à offrir.
J'entre avec lui, pour voir.
Pleines des bric-en-brac chers, dans ce lieux, mais mon regard est rapidement attiré à un objet qui n'est sûrement pas là pour offrir à un amoureux, amoureuse, mais qui sait....
Voyez par vous même, très discrètement, j'ai réussi à en prendre une photo.
Brrr! Il me fait peur même à le regarder.
Drôle de cadeau! Ou alors, on se l'offre à soi même pour penser à ses ennemis? Ou même à un amoureux qui vous a trompé? L'offrir ou y penser?
Plus on aime quelqu'un, plus être trahi par elle ou lui fait mal. Donner confiance, s'ouvrir, espérer - ensuite se rendre compte qu'on n'aurait pas dû. Sauf que, je dois admettre que je ne regrette pas avoir fait confiance, avoir aimé. Tant que j'ai cru, espéré, rêvé, c'était merveilleux à chaque fois. Même si cela n'a pas duré.
Sept ans, une nuit, qu'importe! La joie était en moi. La joie et son souvenir reste.
A partir de maintenant je vais réfléchir, à qui je voudrais penser en ayant un objet comme cela ou à qui j'aurais encore envie de l'offrir. Au moins, théoriquement si pas vraiment.
Demain, on fête la nouvelle année chinoise à Londres, j'y vais, mais je n'apporterai sûrement pas des couteaux ou des objets en revenant, peut-être, quelques images dans l'appareil photo, et beaucoup plus dans ma mémoire.
Expérimenter, communiquer, tâcher de vivre pleinement. Prouver a soi et aux autres, depuis dix ans déjà
samedi 31 janvier 2009
Note de journal: j'ai 70 ans
12 juillet 2004
OK. Depuis ce matin, les sept décennies se sont passées, derrière moi, et je suis dès l'aube devenue jeune: une jeune septuagénaire. Je n'ai qu'un jour, la première de mes 70 ans.
Nous avons passé la journée de hier à Disneyland, mes photos, dont je doutais à cause de l'écran mal éclairé ont réussi magnifiquement. Le soir, les regarder sur l'écran de mon propre PC c'était une joie.
Aujourd'hui j'écrirai en différentes langues (ce paragraphe était en hongrois), comment il arrive. Hélas, il n'arrive plus naturellement en hongrois.
Je me suis acheté hier des abricots, me rappelant des premières abricots primeurs que maman mettait près de mon lit pendant que je dormais pendant mon adolescence, la joie de les trouver là, avec le cadeau à mon réveil à chaque anniversaire. J'ai mangé ce matin, il est 5h et demi, mais je me suis rendu compte que je n'ai pas besoin. Des anciennes traditions. Avec mes 70, je peux commencer des nouvelles. Comme écrire, dès l'aube, dans mon journal, discuter avec toi, mettre noir sur blanc (cassé) mes réflexions ou pensés, tel qu'ils arrivent.
Et en français, quoique maladroitement, ils arrivent plus fluides qu'en hongrois.
Je peux écrire aussi en roumain (paragraphe écrit en roumain), mais pourquoi? Je dois penser davantage ainsi que dire ou comment, pas moins.
Et si j'écrirais en anglais? (j'écris dans ce langue) Les mots arrivent, mais j'en connais moins, pour écrire, même si je lis plus en anglais qu'en n'importe quelle langue.
Non! Décidément, ça restera en français. Mon français.
OK. Depuis ce matin, les sept décennies se sont passées, derrière moi, et je suis dès l'aube devenue jeune: une jeune septuagénaire. Je n'ai qu'un jour, la première de mes 70 ans.
Nous avons passé la journée de hier à Disneyland, mes photos, dont je doutais à cause de l'écran mal éclairé ont réussi magnifiquement. Le soir, les regarder sur l'écran de mon propre PC c'était une joie.
Aujourd'hui j'écrirai en différentes langues (ce paragraphe était en hongrois), comment il arrive. Hélas, il n'arrive plus naturellement en hongrois.
Je me suis acheté hier des abricots, me rappelant des premières abricots primeurs que maman mettait près de mon lit pendant que je dormais pendant mon adolescence, la joie de les trouver là, avec le cadeau à mon réveil à chaque anniversaire. J'ai mangé ce matin, il est 5h et demi, mais je me suis rendu compte que je n'ai pas besoin. Des anciennes traditions. Avec mes 70, je peux commencer des nouvelles. Comme écrire, dès l'aube, dans mon journal, discuter avec toi, mettre noir sur blanc (cassé) mes réflexions ou pensés, tel qu'ils arrivent.
Et en français, quoique maladroitement, ils arrivent plus fluides qu'en hongrois.
Je peux écrire aussi en roumain (paragraphe écrit en roumain), mais pourquoi? Je dois penser davantage ainsi que dire ou comment, pas moins.
Et si j'écrirais en anglais? (j'écris dans ce langue) Les mots arrivent, mais j'en connais moins, pour écrire, même si je lis plus en anglais qu'en n'importe quelle langue.
Non! Décidément, ça restera en français. Mon français.
vendredi 30 janvier 2009
Raté
Rien n'est tout à fait raté dans la vie, la plupart de temps on en tire quelque chose. Un petit déjeuner, seule et pas festive, d'accord, mais rendez-vous pour midi!
A midi, des bonnes pattes, bonnes discussions, et la plaisir que ma belle-fille, comprenant tout à fait mes désirs, disons encore davantage, mes besoins, cache le gâteaux rapidement du table.
Il n'y reste plus qu'un fourchette.
Il n'est qu'une heure de l'après-midi, mais le soleil pénètre très obliquement par la fenêtre de la cuisine du mi-sous-sol. En parlant, d'un coup, j'aperçois cette magnifique ombre.
Connaissez-vous André Kertesz? Sa photo simple, mais parlant, d'un fourchette sur une assiette est célèbre, ses magnifiques images des paysans de Savoie un peu moins, mais toutes ses photos sont bien gravés dans ma tête.
Tiens, il y a encore ma verre de vin rouge aussi sur la table, je viens de trinquer avec un tout petit peu du très bon vin avec Lili. Quand c'est tellement bon, un Savignon venant de Australie! cela vaut la peine.
Je prends un autre image, en déplaçant légèrement la verre, la mettant plus près de la fourchette.
Que des miracles la vie nous offre! Faut-il encore les observer, les apprécier!
Le soir, une rencontre raté: le musée que nous étions censé de visiter est fermé le soir depuis deux semaines. Nous allons au pub, mais pas très intéressante, j'ai pris quand même deux portraits pas si mal, intéressantes en tout cas. L'un d'un barman tout percé le pauvre partout avec des annaux sur la figure, l'autre d'une jeune fille à côté de lui, le visage impeccable. Comme je n'ai jamais eu.
En retournant, cherchant par où venir, la lumière bleu fluorescente du Théâtre National m'attire et je passe par un pont où je n'ai pas l'habitude.
Oh, les magiques lumières de la Tamise, tout à fait différentes, d'ici, que de pont piétonnière. Peut-être pas "tout à fait" mais différentes en tout cas, m'offrant une autre point de vue sur presque la même place et choses. Environ cent images.
Le Royal Festival hall à gauche avec l'embarcadère, la grande roue et le pont piéton, au milieux au loin le parlement, Westminster, et même le Big Ben, tout y est! Même si je peux y travailler encore sur la clarté, cela vaut la peine d'être regardé en grande format.
Je ne peux plus dire que la rencontre, la sortie de hier soir était raté!
Je n'ai pas encore regardé tous hier soir, ni ce matin, mais j'ai sur quoi travailler! Et mon ordinateur qui c'est arrêté hier matin, (ayant trop abusé de lui et lui demandant trop à la fois) remarche de nouveau. Pleines des plaisirs que la vie m'a offerte dans une seule journée!
A midi, des bonnes pattes, bonnes discussions, et la plaisir que ma belle-fille, comprenant tout à fait mes désirs, disons encore davantage, mes besoins, cache le gâteaux rapidement du table.
Il n'y reste plus qu'un fourchette.
Il n'est qu'une heure de l'après-midi, mais le soleil pénètre très obliquement par la fenêtre de la cuisine du mi-sous-sol. En parlant, d'un coup, j'aperçois cette magnifique ombre.
Connaissez-vous André Kertesz? Sa photo simple, mais parlant, d'un fourchette sur une assiette est célèbre, ses magnifiques images des paysans de Savoie un peu moins, mais toutes ses photos sont bien gravés dans ma tête.
Tiens, il y a encore ma verre de vin rouge aussi sur la table, je viens de trinquer avec un tout petit peu du très bon vin avec Lili. Quand c'est tellement bon, un Savignon venant de Australie! cela vaut la peine.
Je prends un autre image, en déplaçant légèrement la verre, la mettant plus près de la fourchette.
Que des miracles la vie nous offre! Faut-il encore les observer, les apprécier!
Le soir, une rencontre raté: le musée que nous étions censé de visiter est fermé le soir depuis deux semaines. Nous allons au pub, mais pas très intéressante, j'ai pris quand même deux portraits pas si mal, intéressantes en tout cas. L'un d'un barman tout percé le pauvre partout avec des annaux sur la figure, l'autre d'une jeune fille à côté de lui, le visage impeccable. Comme je n'ai jamais eu.
En retournant, cherchant par où venir, la lumière bleu fluorescente du Théâtre National m'attire et je passe par un pont où je n'ai pas l'habitude.
Oh, les magiques lumières de la Tamise, tout à fait différentes, d'ici, que de pont piétonnière. Peut-être pas "tout à fait" mais différentes en tout cas, m'offrant une autre point de vue sur presque la même place et choses. Environ cent images.
Le Royal Festival hall à gauche avec l'embarcadère, la grande roue et le pont piéton, au milieux au loin le parlement, Westminster, et même le Big Ben, tout y est! Même si je peux y travailler encore sur la clarté, cela vaut la peine d'être regardé en grande format.
Je ne peux plus dire que la rencontre, la sortie de hier soir était raté!
Je n'ai pas encore regardé tous hier soir, ni ce matin, mais j'ai sur quoi travailler! Et mon ordinateur qui c'est arrêté hier matin, (ayant trop abusé de lui et lui demandant trop à la fois) remarche de nouveau. Pleines des plaisirs que la vie m'a offerte dans une seule journée!
jeudi 29 janvier 2009
Au Royaume des Fruits
Ma belle-fille, a pris cette image qui me plait beaucoup.
Elle avait aussi acheté exprès une gâteau à la boulangerie française, patte d'amande pour que je goûte moi aussi, fantastique! J'ai vraiment apprécié l'attention. Cette fête n'existe pas en Angleterre.
Hélas, un petit peu ici, un petit peu là, je viens d'avoir plus d'un kilos de plus! Faut dire, que j'ai aussi goutté l'un des petits gâteaux apportés lundi à Artist's Way, et mangé quelque part un bout de chocolat, etc... Tant pis pour moi: je vais faire plus d'attention dorénavant. Et surtout, ne plus manger autant des céréales en regardant le télé. En fait, pourquoi regarder le télé?
Lili m'a donnée l'adresse d'une femme de ménage et hier elle est venu à ma rescousse, m'apportant des produits d'entretiens juste à temps.
Après six mois, seule, j'ai eu hier matin pour deux heures une femmes de ménage pour nettoyer à fond cuisine, salle de bain. Une jeune femme mince et adroite arrivée du Brésil. Rapide et efficace, elle eu même le temps de s'occuper du salon, dépoussiérer derrière les divans et passer l'aspirateur des la chambre! Tout brille dorénavant ici de nouveau, comme au début de mon arrivé.
En fait, si deux heures on suffit, cela dit aussi quelque chose d'autre, j'ai quand même eu le soin à ne pas trop salir, n'est-ce pas? Sa venue m'a obligé aussi vite de ranger, curieux comment tout les livres par terre, des vêtements pas rangés depuis jours ont pu disparaître en moins de deux heures avant sa venue! Et oui, j'aime bien ainsi finalement!
Une seule problème, j'avais laissé un stylo bille sur le sofa et il a fuit. Comment sortir une tâche d'encre?
Bien sûr, le jour que nous avons tiré la fève, le Roi était mon fils, aujourd'hui d'ailleurs c'est son anniversaire, et sa Reine bien sûr, Lili. Vive le Roi, vive la Reine! Beaucoup de bonheur et longue vie à tous les deux.
On savait fêter dans les temps aussi, non seulement aujourd'hui!
Kermis au jour St George par David Teniers le Jeune peinture fait vers 1660 et que j'ai trouvé à la Gallérie de la Reine samedi, j'étais ahuri par tout ce qui se passe, et j'avais voulu la partager.
J'ai beaucoup de chance d'avoir tous les quatre, mon fils, ma belle fille, ma petite fille et mon petit fils, chacun d'eux m'apporte beaucoup! Aussi de les avoir pas loin. Ce matin, d'ailleurs, je ne suis réveillé avec une grande envie de pouvoir parler de nouvau, en direct, avec mes petit fils qui sont loin.
De ces fruits, miam - le plateau sera sûrement encore là - je vais en goûter ce matin, au petit déjeuner de fête d'anniversaire!
mercredi 28 janvier 2009
A la une!
J'avais rencontré Sana Sbouai le 10 janvier (voir dans le billet que j'avais écrit alors;). L'article très sympa qu'elle a écrit de l'interview lors notre rencontre près de Waterloo station à Londres.
vient de paraître à la une de l'édition du lepetitjournal.com du 28-1-2009, très sympa l'article et en plus, elle a bien compris ce qui m'a poussé venir à Londres.
Bien sûr, c'est mieux d'y aller lire, alors je ne le recopie ici, pourtant... J'aime surtout ceci, dans le titre, avant les questions réponses (je le recopie juste ce petit peu):
vient de paraître à la une de l'édition du lepetitjournal.com du 28-1-2009, très sympa l'article et en plus, elle a bien compris ce qui m'a poussé venir à Londres.
Bien sûr, c'est mieux d'y aller lire, alors je ne le recopie ici, pourtant... J'aime surtout ceci, dans le titre, avant les questions réponses (je le recopie juste ce petit peu):
"A bientôt 75 ans, cette Française d'origine hongroise a décidé de s'installer à Londres pour changer d'air, le jour où elle a appris que son fils venait y vivre pour quelques années."Ceci est tellement bien exprimé! tout en disant comment c'était vraiment passé.
Rencontres
La rencontre la plus importante samedi, lors la visite à Buckingham Palace n'étaient pas les guardes de la Reine dans leur belles uniformes rouge et chapeaux hauts, mais celle avec cette femme policière au cheval.
Je lui ai dit combien je suis heureuse de la voir, une femme policière au cheval, elle a sourit heureuse et s'est arrêté le temps que je puisse prendre une image.
Nous sommes parties nous sentant mieux après notre rencontre, l'un et l'autre.
C'est vrai, qu'on peut ces jours-ci devenir conductrice de train, policière montée et pas mal d'autres choses, mais ce n'est pas facile jamais d'entrer dans un métier dominé en majorité par des hommes. Il faut alors y ajouter un chose en plus qu'eux le font. Elle, l'a fait. J'ai apprécié et nous sommes reparties toutes les deux plus fières.
Ce n'est pas la seule rencontre dont je voulais parler ce matin.
J'ai commandé et reçu un disque assez grande pour y mettre toutes mes images et à cette occasion, j'ai enfin ouverte le DVD sur lequel C. m'avait sauvegardé mes textes de mon ancien PC craché. Non seulement une rencontre avec une ancienne "moi", mais une appréciation de tout le travail, dorénavant pas perdu! que j'ai mise pour créer toutes ces textes.
Que de travail!
Dans ma mémoire, certaines époques de ma vie me paraissent vides, "pas grande chose s'y est passée" je me dis. Oh, que non! J'ai travaillé énormément!
Saisir tous les journaux, non seulement à moi mais celui de ma mère et grand-mère sur le Word pour les mettre dans un format accessible à l'ordinateur, traduire en français et certaines même en anglais. Faire une compilation de tout les livres sur l'écriture que je lisais et ensuite les arranger dans quatre volumes selon des critères pour préparer des livres qu'on ne trouve pas en France.
Extraire des mots incompris, des phrases à apprendre et mettre leur équivalents. Copier des extraits et poèmes, et même écrire deux petits romans fiction. Dizaines des récits. Faire une recueille des récits de ceux dans l'atelier d'écriture. Oui, je n'ai pas resté à "rien faire" même dans les périodes dont je ne me souvenais plus comment ils sont passées.
Mille merci à celui qui a réussi, lui aussi avec un travail de longue durée et beaucoup de savoir faire, récupérer mon travail ancien! Cela m'a donné de l'ailles et une autre perspective de cette "autre Julie" d'avant ses 70 ans! Aussi, du courage à reprendre à écrire, à part de journal et des blogs. Raconter des histoires.
J'ai déjà écrit hier la première.
Je lui ai dit combien je suis heureuse de la voir, une femme policière au cheval, elle a sourit heureuse et s'est arrêté le temps que je puisse prendre une image.
Nous sommes parties nous sentant mieux après notre rencontre, l'un et l'autre.
C'est vrai, qu'on peut ces jours-ci devenir conductrice de train, policière montée et pas mal d'autres choses, mais ce n'est pas facile jamais d'entrer dans un métier dominé en majorité par des hommes. Il faut alors y ajouter un chose en plus qu'eux le font. Elle, l'a fait. J'ai apprécié et nous sommes reparties toutes les deux plus fières.
Ce n'est pas la seule rencontre dont je voulais parler ce matin.
J'ai commandé et reçu un disque assez grande pour y mettre toutes mes images et à cette occasion, j'ai enfin ouverte le DVD sur lequel C. m'avait sauvegardé mes textes de mon ancien PC craché. Non seulement une rencontre avec une ancienne "moi", mais une appréciation de tout le travail, dorénavant pas perdu! que j'ai mise pour créer toutes ces textes.
Que de travail!
Dans ma mémoire, certaines époques de ma vie me paraissent vides, "pas grande chose s'y est passée" je me dis. Oh, que non! J'ai travaillé énormément!
Saisir tous les journaux, non seulement à moi mais celui de ma mère et grand-mère sur le Word pour les mettre dans un format accessible à l'ordinateur, traduire en français et certaines même en anglais. Faire une compilation de tout les livres sur l'écriture que je lisais et ensuite les arranger dans quatre volumes selon des critères pour préparer des livres qu'on ne trouve pas en France.
Extraire des mots incompris, des phrases à apprendre et mettre leur équivalents. Copier des extraits et poèmes, et même écrire deux petits romans fiction. Dizaines des récits. Faire une recueille des récits de ceux dans l'atelier d'écriture. Oui, je n'ai pas resté à "rien faire" même dans les périodes dont je ne me souvenais plus comment ils sont passées.
Mille merci à celui qui a réussi, lui aussi avec un travail de longue durée et beaucoup de savoir faire, récupérer mon travail ancien! Cela m'a donné de l'ailles et une autre perspective de cette "autre Julie" d'avant ses 70 ans! Aussi, du courage à reprendre à écrire, à part de journal et des blogs. Raconter des histoires.
J'ai déjà écrit hier la première.
mardi 27 janvier 2009
Derrière la salle des Fêtes Royale
Entre le Royal Festival Hall, donnant sur la rivière, et la Gare Waterloo, voilà entre autre ce qu'on trouve. Quelques énormes immeubles, une fontaine illuminée.
Mais aussi une tunnel pour passer vers la Gare, des petits maison diverses.
J'ai essayé de "attraper" sans succès le mouvement de la fontaine. Mais finalement, c'est l'image où les fenêtres illuminés montrent la vie qui me parlent davantage.
On ne sais jamais vraiment d'avance. Au moins, pas souvent.
Cette image me plait d'ailleurs davantage, l'angle et la porte dans le tunnel, me parlent.
J'ai recommencé à recopier de mon ancien journal écrit avant l'ouverture de ce blog.
La note du 11 juillet, une journée avant mon 70e anniversaire parle de mon ordinateur retrouvé après un mois d'absence et "enfin, lien Internet!" et surtout, avec cela mon bon humeur retrouvé.
Mon élan. Mon envie de faire et aller loin.
En le relisant, j'ai l'impression que c'était une signe, pointant vers tout ce qui s'était ensuivi. Ce n'est pas sans raison que j'ai appelé ce blog "il y a de la vie après soixante dix ans!"
C'est comme si une serrure, fermée, aurait été ouverte?
Avoir, de nouveau, mon lien Internet, mais aussi ensuite, mon voyage de six semaines à l'Amérique, m'a rendu courage, mais aussi à déclenché pas mal des choses dans ma vie.
C'est intéressant de relire des anciens journaux et y réfléchir. Aussi suivre cette femme qui ne pouvait deviner, même si elle ressentait certaines envies, ce qui va suivre dans sa vie.
Oui, ma vie a pas mal changé à 70 ans passés.
Mais aussi une tunnel pour passer vers la Gare, des petits maison diverses.
J'ai essayé de "attraper" sans succès le mouvement de la fontaine. Mais finalement, c'est l'image où les fenêtres illuminés montrent la vie qui me parlent davantage.
On ne sais jamais vraiment d'avance. Au moins, pas souvent.
Cette image me plait d'ailleurs davantage, l'angle et la porte dans le tunnel, me parlent.
J'ai recommencé à recopier de mon ancien journal écrit avant l'ouverture de ce blog.
La note du 11 juillet, une journée avant mon 70e anniversaire parle de mon ordinateur retrouvé après un mois d'absence et "enfin, lien Internet!" et surtout, avec cela mon bon humeur retrouvé.
Mon élan. Mon envie de faire et aller loin.
En le relisant, j'ai l'impression que c'était une signe, pointant vers tout ce qui s'était ensuivi. Ce n'est pas sans raison que j'ai appelé ce blog "il y a de la vie après soixante dix ans!"
C'est comme si une serrure, fermée, aurait été ouverte?
Avoir, de nouveau, mon lien Internet, mais aussi ensuite, mon voyage de six semaines à l'Amérique, m'a rendu courage, mais aussi à déclenché pas mal des choses dans ma vie.
C'est intéressant de relire des anciens journaux et y réfléchir. Aussi suivre cette femme qui ne pouvait deviner, même si elle ressentait certaines envies, ce qui va suivre dans sa vie.
Oui, ma vie a pas mal changé à 70 ans passés.
lundi 26 janvier 2009
Long attent, ensuite...
Nous avons attendu presque une heure jusque les Guards à Cheval sont passés, hélas, trop rapidement pour nous, devant et entrés dans le cour du Palais Royal à Buckingham Palace, demeure Londonien de la Reine.
J'avais même oublié que j'avais réussi à en prendre quand même en très courte laps de temps quelques images.
En vie aussi en fait, les plaisirs sont courtes les attentes longues, toute fois cela ne veut pas dire qu'elle ne vaillent pas la peine, loin de là. Et même si des fois la joie intense de quelque chose ne dure pas autant que nous voudrions, s'atténuant à la longue ou disparaissant, lentement ou brutalement: nous avons vécu! Et le souvenir reste pour longtemps, pour toujours en nous!
Bien sûr, je ne parle pas de la relevé de la Garde Royal, mais d'autres choses dans notre vie. Grandes ou petites d'ailleurs, mieux vaut "enjoy" avoir du plaisir de ce qui arrive, ce qui est autour, ce qui est possible des yeux ouvertes et sans (trop) de peur de l'après.
Ces jours-ci, je me délecte spécialement dans odeurs, l'air du matin en sortant, le saucisse sur le grille du marché, le café au Starbook, mais aussi des câlins que nous échangeons avec mon petit fils. Le toucher aussi est important et la chaleur que cela transmet.
Combien cela dure, n'a aucune importance relative à tout ce que reste en nous!
J'avais même oublié que j'avais réussi à en prendre quand même en très courte laps de temps quelques images.
En vie aussi en fait, les plaisirs sont courtes les attentes longues, toute fois cela ne veut pas dire qu'elle ne vaillent pas la peine, loin de là. Et même si des fois la joie intense de quelque chose ne dure pas autant que nous voudrions, s'atténuant à la longue ou disparaissant, lentement ou brutalement: nous avons vécu! Et le souvenir reste pour longtemps, pour toujours en nous!
Bien sûr, je ne parle pas de la relevé de la Garde Royal, mais d'autres choses dans notre vie. Grandes ou petites d'ailleurs, mieux vaut "enjoy" avoir du plaisir de ce qui arrive, ce qui est autour, ce qui est possible des yeux ouvertes et sans (trop) de peur de l'après.
Ces jours-ci, je me délecte spécialement dans odeurs, l'air du matin en sortant, le saucisse sur le grille du marché, le café au Starbook, mais aussi des câlins que nous échangeons avec mon petit fils. Le toucher aussi est important et la chaleur que cela transmet.
Combien cela dure, n'a aucune importance relative à tout ce que reste en nous!
dimanche 25 janvier 2009
Visit à Buckingham Palace
Bus direct, de tout près de chez moi jusque Whitehall Horse Guards; le lieux où la parade de Changement des Gardes de la Reine à cheval a lieux.
En attendant, ils servent à être photographiés, à mon avis, c'est une de leurs fonctions principales, les pauvres. A la fin, même moi, j'ai succombé!
Mais c'était encore plus amusant de prendre en photo les photographes et leurs modèles, les canards dans le Parc St James que j'ai dû traverser de là pour arriver à la Palace de la Reine (et Rois) où chaque jour à 11:30 on change solennellement la Guarde à pieds. Mais cela a lieu à l'intérieur.
Après attente et attente, espérant qu'ils vont sortir et entrer, j'ai décidé à partir, n'ayant pas réussi à voir ni attrapper beaucoup. Juste après le coin, me voilà près du côté: deux entre eux venant directement vers moi! Les voilà.
Je ne sais pas si la partie de la journée la plus merveilleuse été à l'intérieur du palais, j'avais réservé par Internet des billets à la Collection de la Reine, montrant des anciennes et merveilleuses peintures.
Quelques sculptures, anciens miroirs, chaises, couronnes et bibelots aussi, comme il sied à l'intérieur d'un palais habité par une famille royal en fonction.
Non, je n'ai pas pris le thé avec la Reine ou le Prince Charles et son épouse, mais j'ai finalement succombé à la fin et acheté des biscuits traditionnelles pour accompagner mon thé et une crème "royale" pour mes mains.
Difficile d'imaginer pour une française, que je suis devenue, tous les trésors accumulés au cours des années! De Brugel à Rubens, était le titre de cette expo-là, mais que des magnifiques peintures, sculptures et autres trésors venant de loin!
Je n'arrivais pas à partir, pourtant le tout était dans quelques pièces seulement, mais je suis allée visiter et révisiter les peintures qui m'ont le plus attirés.
Une fête paysanne, juste après la guerre fini, peint vers 1660! Une autoportrait de Rubens qu'il a offert au roi pour l'inciter à se faire peindre et un de lui par un peintre de l'époque, côte à côte.
Tellement des sensations, que je n'arrive pas à tout assimiler encore: je devrais y retourner. J'aurais pu d'ailleurs, si j'avais rempli le papier qu'on ma donné à l'entrée, que je n'ai regardé que trop tard.
Sur le chemin de retour, des joies de la nature, les premiers peirce neige, les canards et écureuils du parc, les gens prenant photo, cette fois-ci en leur donnant à manger. Il y a de plus en plus des petits appareils semblable au miens et le monde aura des billions des photos souvenirs! Chacun son angle, son point de vue, sa joie.
Quelques images que j'ai déjà mis sur ma site.
Au retour, une magnifique soleil illuminait le Big Ben, je n'ai pas eu mon métro, fermé encore une fois ce samedi, je n'ai pas trouvé la station de départ de bus non plus, très fatiguée, j'ai pris finalement le train pour revenir.
7 heures en tout, de départ à retour, le dos me faisait mal, heureusement pas les jambes! J'ai encore à passer des heures à regarder et retravailler tout ce que j'ai pris et me souvenir de tout ce que je n'ai pas pu, comme dans la musée on ne peux en prendre des images.
Toute fois, on peut non seulement voir les images dans une pièce à part, mais lire des explications, les agrandir, regarder des parties, et des explications dessus, ce que j'ai fait aussi, juste avant partir. Là, j'ai pu prendre quelques images de l'écran, mais cela ne donnant pas la magie de l'original.
Aujourd'hui, repos. Il pleut, heureusement hier il faisait beau!
En attendant, ils servent à être photographiés, à mon avis, c'est une de leurs fonctions principales, les pauvres. A la fin, même moi, j'ai succombé!
Mais c'était encore plus amusant de prendre en photo les photographes et leurs modèles, les canards dans le Parc St James que j'ai dû traverser de là pour arriver à la Palace de la Reine (et Rois) où chaque jour à 11:30 on change solennellement la Guarde à pieds. Mais cela a lieu à l'intérieur.
Après attente et attente, espérant qu'ils vont sortir et entrer, j'ai décidé à partir, n'ayant pas réussi à voir ni attrapper beaucoup. Juste après le coin, me voilà près du côté: deux entre eux venant directement vers moi! Les voilà.
Je ne sais pas si la partie de la journée la plus merveilleuse été à l'intérieur du palais, j'avais réservé par Internet des billets à la Collection de la Reine, montrant des anciennes et merveilleuses peintures.
Quelques sculptures, anciens miroirs, chaises, couronnes et bibelots aussi, comme il sied à l'intérieur d'un palais habité par une famille royal en fonction.
Non, je n'ai pas pris le thé avec la Reine ou le Prince Charles et son épouse, mais j'ai finalement succombé à la fin et acheté des biscuits traditionnelles pour accompagner mon thé et une crème "royale" pour mes mains.
Difficile d'imaginer pour une française, que je suis devenue, tous les trésors accumulés au cours des années! De Brugel à Rubens, était le titre de cette expo-là, mais que des magnifiques peintures, sculptures et autres trésors venant de loin!
Je n'arrivais pas à partir, pourtant le tout était dans quelques pièces seulement, mais je suis allée visiter et révisiter les peintures qui m'ont le plus attirés.
Une fête paysanne, juste après la guerre fini, peint vers 1660! Une autoportrait de Rubens qu'il a offert au roi pour l'inciter à se faire peindre et un de lui par un peintre de l'époque, côte à côte.
Tellement des sensations, que je n'arrive pas à tout assimiler encore: je devrais y retourner. J'aurais pu d'ailleurs, si j'avais rempli le papier qu'on ma donné à l'entrée, que je n'ai regardé que trop tard.
Sur le chemin de retour, des joies de la nature, les premiers peirce neige, les canards et écureuils du parc, les gens prenant photo, cette fois-ci en leur donnant à manger. Il y a de plus en plus des petits appareils semblable au miens et le monde aura des billions des photos souvenirs! Chacun son angle, son point de vue, sa joie.
Quelques images que j'ai déjà mis sur ma site.
Au retour, une magnifique soleil illuminait le Big Ben, je n'ai pas eu mon métro, fermé encore une fois ce samedi, je n'ai pas trouvé la station de départ de bus non plus, très fatiguée, j'ai pris finalement le train pour revenir.
7 heures en tout, de départ à retour, le dos me faisait mal, heureusement pas les jambes! J'ai encore à passer des heures à regarder et retravailler tout ce que j'ai pris et me souvenir de tout ce que je n'ai pas pu, comme dans la musée on ne peux en prendre des images.
Toute fois, on peut non seulement voir les images dans une pièce à part, mais lire des explications, les agrandir, regarder des parties, et des explications dessus, ce que j'ai fait aussi, juste avant partir. Là, j'ai pu prendre quelques images de l'écran, mais cela ne donnant pas la magie de l'original.
Aujourd'hui, repos. Il pleut, heureusement hier il faisait beau!
samedi 24 janvier 2009
Sortie à Sidcup
Hier, ma belle-fille me demande: "Veux-tu venir avec moi à Sidcup?"
Curieuse nom pour une ville, pas très loin de Londres, en direction de la France. J'avais l'impression de ne pas avoir envie de m'y arrêter: foncer directement à travers le Canal vers Paris.
Finalement, nous avons trouvé Sidcup, un nom dur à retenir pour moi, ensuite, après maintes recherches, trouvé un lieu à parquer: curieusement, c'était tout près de la rue principale.
Aie! Une boutique de coeur: avec des choses à vendre, entre autre, pleine des livres! Sentant que je vais m'y perdre, nous nous sommes données rendez-vous au MacDo tout à côté.
J'ai acheté, heureusement pas pour cher, des livres d'occasion, puis je me suis assise sur une énorme fauteuil, MacDo à la manière d'un pub Anglais. Magnifiques couleurs aussi, comme vous les voyez.
Ah bon, les fauteuils n'ont pas réussi a arriver encore, ce soir je les ajoutera, à cette placei.
Ensuite, nous avons déjeuné chinois. Personnellement, j'ai mal choisi mon repas, mais la lumière était 'juste so', exactement ce qu'il me fallait, pour, pendant que j'hésitais, je réussi à prendre cette image dont je suis très heureuse.
Bien sûr, elle est bougé, pas "tel quel" pas 'scientifique' mais justement, à cause de cela, je lui trouve un air de peinture.
Plus tard, les gosses sont sortis de l'école, il faisait froid dehors et j'ai resté dans la voiture. L'un d'eux a ouverte la porte et a commencé à bavarder "as-tu avec toi ton appareil photo?" et puis "Par ma fenêtre ouverte, moi j'ai pris l'hélicoptère qui était juste au-dessus!"
Ainsi à commencé une session des photos amusantes: prends-moi ainsi, avec ce mouvement, cette grimace! Et puis, bien sûr, d'autres ont voulu leur images aussi. Merci à leur mère, m'ayant donné la permission de les publier. Qu'ils sont mignons et intéressants!
J'ai aussi trouvé un autre photographe, de moins de 9 ans, qui comprenait ce que je voulais faire et proposait d'autres façons à faire. C'était fantastique! L'idée de prendre mon parapluie venait de lui! L'idée de le bouger pour montrer le mouvement de moi. Ainsi de suite.
Entre MacDo, photos de rue et de restaurant Chinois et celle d'école, j'ai eu une récolte riche, mais surtout, j'ai passé une magnifique journée! Peut-être, parce qu'au lieu de rester au lit à chaud, j'étais prête en cinq minutes d'aller à... Sidcup!
Curieuse nom pour une ville, pas très loin de Londres, en direction de la France. J'avais l'impression de ne pas avoir envie de m'y arrêter: foncer directement à travers le Canal vers Paris.
Finalement, nous avons trouvé Sidcup, un nom dur à retenir pour moi, ensuite, après maintes recherches, trouvé un lieu à parquer: curieusement, c'était tout près de la rue principale.
Aie! Une boutique de coeur: avec des choses à vendre, entre autre, pleine des livres! Sentant que je vais m'y perdre, nous nous sommes données rendez-vous au MacDo tout à côté.
J'ai acheté, heureusement pas pour cher, des livres d'occasion, puis je me suis assise sur une énorme fauteuil, MacDo à la manière d'un pub Anglais. Magnifiques couleurs aussi, comme vous les voyez.
Ah bon, les fauteuils n'ont pas réussi a arriver encore, ce soir je les ajoutera, à cette placei.
Ensuite, nous avons déjeuné chinois. Personnellement, j'ai mal choisi mon repas, mais la lumière était 'juste so', exactement ce qu'il me fallait, pour, pendant que j'hésitais, je réussi à prendre cette image dont je suis très heureuse.
Bien sûr, elle est bougé, pas "tel quel" pas 'scientifique' mais justement, à cause de cela, je lui trouve un air de peinture.
Plus tard, les gosses sont sortis de l'école, il faisait froid dehors et j'ai resté dans la voiture. L'un d'eux a ouverte la porte et a commencé à bavarder "as-tu avec toi ton appareil photo?" et puis "Par ma fenêtre ouverte, moi j'ai pris l'hélicoptère qui était juste au-dessus!"
Ainsi à commencé une session des photos amusantes: prends-moi ainsi, avec ce mouvement, cette grimace! Et puis, bien sûr, d'autres ont voulu leur images aussi. Merci à leur mère, m'ayant donné la permission de les publier. Qu'ils sont mignons et intéressants!
J'ai aussi trouvé un autre photographe, de moins de 9 ans, qui comprenait ce que je voulais faire et proposait d'autres façons à faire. C'était fantastique! L'idée de prendre mon parapluie venait de lui! L'idée de le bouger pour montrer le mouvement de moi. Ainsi de suite.
Entre MacDo, photos de rue et de restaurant Chinois et celle d'école, j'ai eu une récolte riche, mais surtout, j'ai passé une magnifique journée! Peut-être, parce qu'au lieu de rester au lit à chaud, j'étais prête en cinq minutes d'aller à... Sidcup!
vendredi 23 janvier 2009
La première journée du 5e année
Aujourd'hui, ce blog est entrée dans son 5e année de publication, hier, j'ai pris encore quelques images du cyclamen "du maman" acheté avant son anniversaire, mais qui perdure encore!
Chaque semaine, d'autres fleurs s'ouvrent, s'agrandissent. Ces deux, depuis le début, se sent bien ensemble, tout près l'un de l'autre. Une belle occasion pour moi de rêver. Je sais que cela existe, même si depuis fort longtemps pas pour moi. Pourtant....
Comme vous voyez, il pleuvait dehors, puis, le soleil est revenu. Je me suis sentie épuisée, voulant faire une sieste, mais vers deux heures de l'après-midi, j'ai sentie par la fenêtre un peu entrouverte un air superbe entrer, un air de début de printemps.
Je regard dehors: le ciel était tout gris, mais le soleil brillait. Un merveilleuse lumière et des contrastes si fortes! Je n'ai pas résisté et j'ai sortie dehors, avec mon chariot pour faire des courses, mais aussi, bien sûr, heureusement, mon camera.
"Je dois réussir à rendre ce lumière sublime" je me suis dit. J'ai pris photos après photos, vers en haut et vers en bas, des répétitions aussi "patterns" et finalement, j'arrive sur la rue principale.
Des corbeaux s'envolent au dessus ma tête. Trop vite. Je n'arrive pas à les attraper dans mon camera même s'ils restent, dans ma mémoire. En regardant en haut, vers la place centrale du Blackheath Standard, soudain, j'aperçois une merveilleuse arc-en-ciel!
J'ai tâché de prendre encore deux ou trois autres images, mais la pluie est arrivé, même si doucement, l'arc-en-ciel disparu.
J'étais là, avec mon camera, avec mes yeux, au bon moment!
Arc-en-ciel, signifie-t-il l'espoir? L'espoir de continuer bien cette année, la 5e année de ce blog qui me tient tellement au coeur? Je le prend comme un signe. Tout comme les cyclamens qui fleurissent dans ma fenêtre, s'ouvrant pour moi, des fois, même me rappelant des désirs autrement inavoués.
Que des plaisirs la nature peut apporter! Par beau temps aussi, mais par mauvais temps ou périodes de vie, encore davantage.
Chaque semaine, d'autres fleurs s'ouvrent, s'agrandissent. Ces deux, depuis le début, se sent bien ensemble, tout près l'un de l'autre. Une belle occasion pour moi de rêver. Je sais que cela existe, même si depuis fort longtemps pas pour moi. Pourtant....
Comme vous voyez, il pleuvait dehors, puis, le soleil est revenu. Je me suis sentie épuisée, voulant faire une sieste, mais vers deux heures de l'après-midi, j'ai sentie par la fenêtre un peu entrouverte un air superbe entrer, un air de début de printemps.
Je regard dehors: le ciel était tout gris, mais le soleil brillait. Un merveilleuse lumière et des contrastes si fortes! Je n'ai pas résisté et j'ai sortie dehors, avec mon chariot pour faire des courses, mais aussi, bien sûr, heureusement, mon camera.
"Je dois réussir à rendre ce lumière sublime" je me suis dit. J'ai pris photos après photos, vers en haut et vers en bas, des répétitions aussi "patterns" et finalement, j'arrive sur la rue principale.
Des corbeaux s'envolent au dessus ma tête. Trop vite. Je n'arrive pas à les attraper dans mon camera même s'ils restent, dans ma mémoire. En regardant en haut, vers la place centrale du Blackheath Standard, soudain, j'aperçois une merveilleuse arc-en-ciel!
J'ai tâché de prendre encore deux ou trois autres images, mais la pluie est arrivé, même si doucement, l'arc-en-ciel disparu.
J'étais là, avec mon camera, avec mes yeux, au bon moment!
Arc-en-ciel, signifie-t-il l'espoir? L'espoir de continuer bien cette année, la 5e année de ce blog qui me tient tellement au coeur? Je le prend comme un signe. Tout comme les cyclamens qui fleurissent dans ma fenêtre, s'ouvrant pour moi, des fois, même me rappelant des désirs autrement inavoués.
Que des plaisirs la nature peut apporter! Par beau temps aussi, mais par mauvais temps ou périodes de vie, encore davantage.
jeudi 22 janvier 2009
4 années de mon blog!
Les quatre années depuis que je blog, jour à jour, finissent aujourd'hui. Quatre années qui à la longue ont changé ma vie.
Bonne anniversaire!
Ces tulipes sont mon cadeau, depuis mes 42 ans je n'attends plus qu'un autre m'offre des fleurs quand je peux me les offrir moi même!
Les tulipes, ici, sont plus belles qu'elles étaient frais, ils sont d'ailleurs encore sur ma table, tout sec et disent: on ne doit pas être jeune pour rester intéressant. Tout dépend de la lumière, de l'angle, de l'approche.
Hier, j'ai donné un interview téléphonique à Cédric de Nous Deux, il m'a demandé "Quand votre vie a changé la dernière fois?" Aussitôt, la réponse est arrivée: avec l'ouverture de mon blog.
Le départ Paris - Londres, France vers Angleterre, était important, et peut être, à la longue va changer de nouveau ma vie, mais pour le moment je ressens que ma vie a changé davantage quand, la première fois j'ai pu m'ouvrir vraiment vers le monde.
Depuis que la première fois, l'eau ayant coulé, après une orage, dans mon salon, et que j'ai raconté mon chagrin et aussitôt, j'ai eu des commentaires sur mon blog, ressentant que je ne suis plus seule dans le monde, oui, ma vie a changé.
Je sais, que ce qui se passe avec moi importe pour quelqu'un, que ce que je dis peut encourager un autre, et mes notes, jour à jour, me donnent une tâche, quelque chose que je ressens important à faire. Mon message, Il y a de la vie après 70 ans, bientôt, en quelques mois d'ailleurs, il sera 75 , passe, non à travers le titre, mais ma présence persévérante.
Les blogs, la site photo (et vidéo), m'ont permis à me connecter aux êtres merveilleux et très divers partout, sans même mettre (trop) mes pieds dehors! Sans aller au Japon, Nouvelle Zealand, Californie, Chine ou Inde, (et même, maintenant, en France) je m'y suis trouvée et j'ai maintenant des copains avec qui parler, presque partout où je pourrais aller. Et eux, me trouvent à ma poste, jour à jour, depuis quatre ans.
Bonne anniversaire!
Bonne anniversaire!
Ces tulipes sont mon cadeau, depuis mes 42 ans je n'attends plus qu'un autre m'offre des fleurs quand je peux me les offrir moi même!
Les tulipes, ici, sont plus belles qu'elles étaient frais, ils sont d'ailleurs encore sur ma table, tout sec et disent: on ne doit pas être jeune pour rester intéressant. Tout dépend de la lumière, de l'angle, de l'approche.
Hier, j'ai donné un interview téléphonique à Cédric de Nous Deux, il m'a demandé "Quand votre vie a changé la dernière fois?" Aussitôt, la réponse est arrivée: avec l'ouverture de mon blog.
Le départ Paris - Londres, France vers Angleterre, était important, et peut être, à la longue va changer de nouveau ma vie, mais pour le moment je ressens que ma vie a changé davantage quand, la première fois j'ai pu m'ouvrir vraiment vers le monde.
Depuis que la première fois, l'eau ayant coulé, après une orage, dans mon salon, et que j'ai raconté mon chagrin et aussitôt, j'ai eu des commentaires sur mon blog, ressentant que je ne suis plus seule dans le monde, oui, ma vie a changé.
Je sais, que ce qui se passe avec moi importe pour quelqu'un, que ce que je dis peut encourager un autre, et mes notes, jour à jour, me donnent une tâche, quelque chose que je ressens important à faire. Mon message, Il y a de la vie après 70 ans, bientôt, en quelques mois d'ailleurs, il sera 75 , passe, non à travers le titre, mais ma présence persévérante.
Les blogs, la site photo (et vidéo), m'ont permis à me connecter aux êtres merveilleux et très divers partout, sans même mettre (trop) mes pieds dehors! Sans aller au Japon, Nouvelle Zealand, Californie, Chine ou Inde, (et même, maintenant, en France) je m'y suis trouvée et j'ai maintenant des copains avec qui parler, presque partout où je pourrais aller. Et eux, me trouvent à ma poste, jour à jour, depuis quatre ans.
Bonne anniversaire!
mercredi 21 janvier 2009
Lundi, mardi, mercredi
Lundi, c'était une très bonne réunion de Artist's Way, - le chemin de l'artiste ou, je dirais, de la créativité. Dorénavant, au début, nous parlons ensemble, puis une partie Walks, se promène et va un peu plus loin, pour parler de deuxième livre de Julia Cameron, "Walk in the World".
Chis, a repris le group en septembre, et lui a rendu vie, mais début janvier il a rendu le "bâton de général" à Paula.
Tous les deux conduisent très bien et prend la chose très au sérieux. Et comme Paula ne peut être à la fois en deux places, c'est moi qui m'occupe, plus au moins de l'ancien groupe. En fait, ce que je fais est de laisser les autres parler et avoir le maximum des initiatives. Ils en ont, des merveilleuses!
Paula s'est découverte ayant pleine des merveilleuses initiatives, elle aussi, chacun conduit à son style, en y ajoutant quelque chose.
Comme d'habitude, le soir, après la réunion, je traverse le pont piéton sur la Tamise.
Hier, c'était la grande journée de d'inauguration de Barack Obama. J'ai suivie tous les discours publiques en direct transmis par le BBC anglais. Heureusement, puisque les fragments ne lui rendent pas assez hommage.
En fait, il a démontré, depuis le début, qu'il entend à travailler vraiment en équipe. Ce qu'il voulait exprimer, était distribué entre lui et les autres, chacun y mettant un bric. J'ai aussi apprécié, même si les journalistes l'ont déploré, qu'il n'a pas inventé un nouveau phrase magique: il veut qu'on se souvient de lui de ce qu'il va faire, et probablement aussi simplement le fait qu'il est arrivé là où il est, non pas par une phrase; aussi fort qu'il soit.
Mardi encore, hier soir, je suis allée parler devant plusieurs dizaines des photographes indépendants de la région, je n'étais pas la seule, mais la dernière et la plus longue à parler.
Merci, je n'ai pas eu de problèmes à trouver mes mots, être compris en anglais, ni à suivre l'idée et le fil que je me suis proposé, ni d'accéder en direct à ma site flickr. Sauf, bien sûr, que j'ai changé un peu, me rendant compte que utiliser le souris et regarder les gens en face en même temps n'était pas évident, j'ai donc utilisé le souris moins préférant parler en regardant en face les autres.
Toutefois, j'ai montré trop d'images défilant trop vite, et celui qui m'a invité m'a finalement interrompu, avant que je peux tout montrer ou dire. La prochaine fois, si jamais on m'invite encore à parler, je dois écouter plus ce qu'on me demande à faire et aussi mieux chronométrer combien dure ma présentation. Aussi, apprendre, comment on parle et montre en même temps davantage.
Aujourd'hui, mercredi, j'aurai l'interview par téléphone de reporter de Nous Deux. Je serai ravie d'y figurer avec quelques lignes, fermant le cycle de ma vie du temps les plus sombres, quand moi même j'avais besoin de ce que j'y lisais.
En tout cas, comme tellement du monde partout, j'ai plus d'espoir dans l'avenir qu'avant. Non seulement la mien, mais celui des enfants des enfants, comme disait Obama. Quand les politiciens essayent de penser à plus loin, c'est en tout cas un très bonne signe.
Combien de temps vous allez rester à Londres? on me le demande souvent. Que dire?
A presque 75 ans, je ne fais pas des plans de très longue durée, mais je voudrais rester, autant que je peux, autant que la vie et le destin me le permet. Il y a tant à faire et à découvrir, même après 75 ans!
Chis, a repris le group en septembre, et lui a rendu vie, mais début janvier il a rendu le "bâton de général" à Paula.
Tous les deux conduisent très bien et prend la chose très au sérieux. Et comme Paula ne peut être à la fois en deux places, c'est moi qui m'occupe, plus au moins de l'ancien groupe. En fait, ce que je fais est de laisser les autres parler et avoir le maximum des initiatives. Ils en ont, des merveilleuses!
Paula s'est découverte ayant pleine des merveilleuses initiatives, elle aussi, chacun conduit à son style, en y ajoutant quelque chose.
Comme d'habitude, le soir, après la réunion, je traverse le pont piéton sur la Tamise.
Hier, c'était la grande journée de d'inauguration de Barack Obama. J'ai suivie tous les discours publiques en direct transmis par le BBC anglais. Heureusement, puisque les fragments ne lui rendent pas assez hommage.
En fait, il a démontré, depuis le début, qu'il entend à travailler vraiment en équipe. Ce qu'il voulait exprimer, était distribué entre lui et les autres, chacun y mettant un bric. J'ai aussi apprécié, même si les journalistes l'ont déploré, qu'il n'a pas inventé un nouveau phrase magique: il veut qu'on se souvient de lui de ce qu'il va faire, et probablement aussi simplement le fait qu'il est arrivé là où il est, non pas par une phrase; aussi fort qu'il soit.
Mardi encore, hier soir, je suis allée parler devant plusieurs dizaines des photographes indépendants de la région, je n'étais pas la seule, mais la dernière et la plus longue à parler.
Merci, je n'ai pas eu de problèmes à trouver mes mots, être compris en anglais, ni à suivre l'idée et le fil que je me suis proposé, ni d'accéder en direct à ma site flickr. Sauf, bien sûr, que j'ai changé un peu, me rendant compte que utiliser le souris et regarder les gens en face en même temps n'était pas évident, j'ai donc utilisé le souris moins préférant parler en regardant en face les autres.
Toutefois, j'ai montré trop d'images défilant trop vite, et celui qui m'a invité m'a finalement interrompu, avant que je peux tout montrer ou dire. La prochaine fois, si jamais on m'invite encore à parler, je dois écouter plus ce qu'on me demande à faire et aussi mieux chronométrer combien dure ma présentation. Aussi, apprendre, comment on parle et montre en même temps davantage.
Aujourd'hui, mercredi, j'aurai l'interview par téléphone de reporter de Nous Deux. Je serai ravie d'y figurer avec quelques lignes, fermant le cycle de ma vie du temps les plus sombres, quand moi même j'avais besoin de ce que j'y lisais.
En tout cas, comme tellement du monde partout, j'ai plus d'espoir dans l'avenir qu'avant. Non seulement la mien, mais celui des enfants des enfants, comme disait Obama. Quand les politiciens essayent de penser à plus loin, c'est en tout cas un très bonne signe.
Combien de temps vous allez rester à Londres? on me le demande souvent. Que dire?
A presque 75 ans, je ne fais pas des plans de très longue durée, mais je voudrais rester, autant que je peux, autant que la vie et le destin me le permet. Il y a tant à faire et à découvrir, même après 75 ans!
mardi 20 janvier 2009
Grande journée
Ce n'ai pas ma journée aujourd'hui, même si ce soir, pour la première fois à Londres et, ici, en anglais, je vais parler pour un quart d'heure devant d'autres photographes de la région.
Bien sûr, c'est important pour moi, et je tâche de m'y préparer, même si mon speach sera plus improvisé que mot à mot. Je sais de quoi je vais parler, mais je n'ai pas répété mon discours devant mon fils, pourtant il l'a proposé.
C'est la grande journée de Barack Obama et ceux qui l'entourent.
Le fait que Hilary Clinton qui a tout fait contre lui, pour gagner en fait partie et va diriger les Affaires Etrangers dorénavant, à ses côtés, c'est une signal important pour moi, et les autres aussi. Obama est vraiment courageux. Et bien sûr, comprend aussi bien qu'il a besoin de tout support qu'il peut avoir.
Je ne la vois pas, moi, comme "le premier président noir", sa mère, grand-parents et éducations, était celle d'un blanc, même si son père de sang était d'Afrique et a négligé de divorcer de son premier épouse, puisque le coutume là en permettait plusieurs. Son épouse, elle, avec une nomme bien Francaise, Michelle, est bien noir par contre: quelle belle femme!
Ce qui le rend près de moi et millions des autres, c'est les deux livres, devenus bestsellers, qu'il a écrit. En le lisant, on ne peux pas s'empêcher à le sentir près de nous, je crois, ni ne pas croire à sa sincérité.
Bien sûr, on en attend beaucoup de Obama et ceux qui disent que sa popularité ne peux que décroire ont peut être raison, mais je ne crois que c'est cela qui est le plus important. Dans une période de crise c'est extraordinaire d'avoir quelqu'un en qui on a confiance. L'espoir rend plus facile la traversé des périodes durs. Aide aux réalisations difficiles. La traversé des périodes gris.
Alors, fêtons aujourd'hui, avec lui, avec eux.
Et non, je ne viens pas publier un livre, juste une démonstration des possibilités de Chambre Noir Numérique avec laquelle j'ai pu réalisé à projeter mes désirs secrets en "concret", réalisant en quelque minutes "le livre". Ah, si en réalité il serait si facile!
Bien sûr, c'est important pour moi, et je tâche de m'y préparer, même si mon speach sera plus improvisé que mot à mot. Je sais de quoi je vais parler, mais je n'ai pas répété mon discours devant mon fils, pourtant il l'a proposé.
C'est la grande journée de Barack Obama et ceux qui l'entourent.
Le fait que Hilary Clinton qui a tout fait contre lui, pour gagner en fait partie et va diriger les Affaires Etrangers dorénavant, à ses côtés, c'est une signal important pour moi, et les autres aussi. Obama est vraiment courageux. Et bien sûr, comprend aussi bien qu'il a besoin de tout support qu'il peut avoir.
Je ne la vois pas, moi, comme "le premier président noir", sa mère, grand-parents et éducations, était celle d'un blanc, même si son père de sang était d'Afrique et a négligé de divorcer de son premier épouse, puisque le coutume là en permettait plusieurs. Son épouse, elle, avec une nomme bien Francaise, Michelle, est bien noir par contre: quelle belle femme!
Ce qui le rend près de moi et millions des autres, c'est les deux livres, devenus bestsellers, qu'il a écrit. En le lisant, on ne peux pas s'empêcher à le sentir près de nous, je crois, ni ne pas croire à sa sincérité.
Bien sûr, on en attend beaucoup de Obama et ceux qui disent que sa popularité ne peux que décroire ont peut être raison, mais je ne crois que c'est cela qui est le plus important. Dans une période de crise c'est extraordinaire d'avoir quelqu'un en qui on a confiance. L'espoir rend plus facile la traversé des périodes durs. Aide aux réalisations difficiles. La traversé des périodes gris.
Alors, fêtons aujourd'hui, avec lui, avec eux.
Et non, je ne viens pas publier un livre, juste une démonstration des possibilités de Chambre Noir Numérique avec laquelle j'ai pu réalisé à projeter mes désirs secrets en "concret", réalisant en quelque minutes "le livre". Ah, si en réalité il serait si facile!
lundi 19 janvier 2009
L'art choque, dérange
Plus je lis le livre, The Artist's Way de Julia Cameron, disons relis ou lit avec plus d'attention, plus je trouve des bonnes idées qui y abondent.
L'art souvent dérange, puisqu'il expose, met en lumière des choses profondes enfuis en nous. Dont on voudrait ne plus penser. Ne pas y croire, laisser enfuis.
Est-ce que ces trois coques sont réelles ou artificielles? Je ne sais plus. La dernière fois quand j'y étais je les croyais réelles, mais comme ils n'ont pas changé un iota depuis des semaines, maintenant je crois qu'ils sont un décor fabriqué.
Comme des fleurs artificielles.
Ils rappellent, non seulement le viande qu'on peut trouver dans la boutique derrière, mais aussi les tableaux de chasse anciens à la mode à une époque. En même temps, dans notre temps et époque ils choquent. Tel quel, on pense rapidement, "les pauvres animaux".
Derrière, on trouve des étales des produits divers venant des fermes.
Je me suis dit aussi, d'où venait cette "art" des statues des porcs qu'on peut trouver un peu partout en Angleterre. Bien sûr, cela doit dater de l'époque quand tant ont été infectés et le monde ne voulais plus du porc anglais. N'est-ce pas? Cela doit être une contre réaction.
Ma façon d'étaler ma vie, raconter non seulement les hauts mais aussi les bas, non seulement les "jolie" choses que j'ai traversé et fait mais aussi les moins "avouables", dérange certains, enchante d'autres.
Dans le temps le plus noir de ma vie, vers mes 37 ans, un article décrivant l'expérience des autres femmes ayant traversé des choses semblable à la mienne, m'a énormément aidé. Je dois cela à une numéro de Nous Deux. Peut-être, certains peuvent dire "c'est populiste", peut-être, ou dire que j'écris "toujours de soi", mais si une seul ou un seul peut y puiser de courage, cela valait la peine.
Je vais continuer mon Retro-blog, même si cela devient de plus en plus difficile, en arrivant vers 70 ans et les victoires qui m'ont donnée courage dans ces mois-là, juste avant de la découverte des blogs, qui, de nouveau, lentement, m'ont changé la vie.
Souvent, je n'ai aucune difficulté de parler de tout, mais quand je sens un frein, probablement c'est encore plus important.
Même si je ne publie plus tous les jours dans mon Retroblog d'anciens textes, qui s'approchent de plus en plus des débuts de ce blog-ci, je ne vais pas m'arrêter. Je vais raconter mon 70e année, tel que je me le suis fait alors ou peut-être même un peu plus, en y ajoutant comment je le vois aujourd'hui. Dur, dur de m'y mettre des fois à recopier de mon cahier; je trouve milles des choses à faire plutôt. Mais mon "après 70 ans" m'a donné du courage, je le dois aux autres à leurs offrir quand on le lira.
Oui, il y a une vie après 70 ans.
L'art souvent dérange, puisqu'il expose, met en lumière des choses profondes enfuis en nous. Dont on voudrait ne plus penser. Ne pas y croire, laisser enfuis.
Est-ce que ces trois coques sont réelles ou artificielles? Je ne sais plus. La dernière fois quand j'y étais je les croyais réelles, mais comme ils n'ont pas changé un iota depuis des semaines, maintenant je crois qu'ils sont un décor fabriqué.
Comme des fleurs artificielles.
Ils rappellent, non seulement le viande qu'on peut trouver dans la boutique derrière, mais aussi les tableaux de chasse anciens à la mode à une époque. En même temps, dans notre temps et époque ils choquent. Tel quel, on pense rapidement, "les pauvres animaux".
Derrière, on trouve des étales des produits divers venant des fermes.
Je me suis dit aussi, d'où venait cette "art" des statues des porcs qu'on peut trouver un peu partout en Angleterre. Bien sûr, cela doit dater de l'époque quand tant ont été infectés et le monde ne voulais plus du porc anglais. N'est-ce pas? Cela doit être une contre réaction.
Ma façon d'étaler ma vie, raconter non seulement les hauts mais aussi les bas, non seulement les "jolie" choses que j'ai traversé et fait mais aussi les moins "avouables", dérange certains, enchante d'autres.
Dans le temps le plus noir de ma vie, vers mes 37 ans, un article décrivant l'expérience des autres femmes ayant traversé des choses semblable à la mienne, m'a énormément aidé. Je dois cela à une numéro de Nous Deux. Peut-être, certains peuvent dire "c'est populiste", peut-être, ou dire que j'écris "toujours de soi", mais si une seul ou un seul peut y puiser de courage, cela valait la peine.
Je vais continuer mon Retro-blog, même si cela devient de plus en plus difficile, en arrivant vers 70 ans et les victoires qui m'ont donnée courage dans ces mois-là, juste avant de la découverte des blogs, qui, de nouveau, lentement, m'ont changé la vie.
Souvent, je n'ai aucune difficulté de parler de tout, mais quand je sens un frein, probablement c'est encore plus important.
Même si je ne publie plus tous les jours dans mon Retroblog d'anciens textes, qui s'approchent de plus en plus des débuts de ce blog-ci, je ne vais pas m'arrêter. Je vais raconter mon 70e année, tel que je me le suis fait alors ou peut-être même un peu plus, en y ajoutant comment je le vois aujourd'hui. Dur, dur de m'y mettre des fois à recopier de mon cahier; je trouve milles des choses à faire plutôt. Mais mon "après 70 ans" m'a donné du courage, je le dois aux autres à leurs offrir quand on le lira.
Oui, il y a une vie après 70 ans.
dimanche 18 janvier 2009
Retour au marché
Hier, j'avais un rendez-vous à la station Kings Cross, au nord du Londres. La liaison usuelle entre à London Bridge ne marchait pas, il a fallu que je prenne le métro.
Je suis arrivée à temps, puisque, comme d'habitude, je suis partie longtemps, au moins une heure d'avance. Le train est aussi entrée presque dix minutes d'avance, arrivant d'Edinbourg en passant par York.
Une jeune femme la conduisait!
Elle était ravie que j'admire qu'elle était conductrice de train et ravie que je veuille prendre des photos d'elle. Je lui ai dit: je vais publier dans mon blog! Elle a sourit ravie.
Le rdv s'était bien déroulé, j'ai rencontré une dame très sympa.
En retournant à London Bridge, après la rencontre, je me suis arrêté pour prendre quelques nouvelles photos de marché Borough et humer les différentes merveilleuses odeurs émanant de la nourriture des tous les pays qu'on peut y trouver à l'entrée.
Un ragoût à l'un des étales, des fruit de mer à l'autre, des saucisses allemands au troisième, de grillade grec sur bois, de smoothie des fruits, de vin sucré et parfumée, c'est une marché qu'on doit humer, plutôt que prendre en photo.
Toute fois, j'ai pris une centaine des images, essayant de rendre un petit peu de brouhaha des divers parties du marché. Légumes, fleurs, viande et poissons, porcelaines, mais surtout un lieu où c'est vraiment dur à ne pas succomber à manger quelque chose: il y a une telle choix!
Finalement, j'ai acheté un peu de feta grec et des fruits frais variés dans un petit boite, mangeant ce dernier aussitôt sortie du marché.
Comme tout ne peut être tout bien dans une journée, j'ai fait de trop: voulant prendre une dernière image du métro pendant que je descendais l'escalateur, j'ai tombé. Assez bien, ce matin je n'ai plus mal, seulement des bleus, j'ai réussi à me rattraper en tombant sur la derrière et le coude.
Ce n'est qu'en arrivant vers le bas que je me suis rendu compte du chance: c'était une très longue escalateur, tomber mal m'aurait vraiment...
Enfin, c'est une bonne leçon de mieux réfléchir quand je prends des photos et quand je dois plutôt faire attention "où je mets les pieds".
Les premières 22 images du marché je vais en faire un slide show, mais je ne peux pas, hélas ajouter les odeurs et saveurs imaginées pendant que je me faisait une place dans ce marché Borough très pleine des gens, plus qui mangeaient que achetaient pour la maison, ce samedi là.
Je suis arrivée à temps, puisque, comme d'habitude, je suis partie longtemps, au moins une heure d'avance. Le train est aussi entrée presque dix minutes d'avance, arrivant d'Edinbourg en passant par York.
Une jeune femme la conduisait!
Elle était ravie que j'admire qu'elle était conductrice de train et ravie que je veuille prendre des photos d'elle. Je lui ai dit: je vais publier dans mon blog! Elle a sourit ravie.
Le rdv s'était bien déroulé, j'ai rencontré une dame très sympa.
En retournant à London Bridge, après la rencontre, je me suis arrêté pour prendre quelques nouvelles photos de marché Borough et humer les différentes merveilleuses odeurs émanant de la nourriture des tous les pays qu'on peut y trouver à l'entrée.
Un ragoût à l'un des étales, des fruit de mer à l'autre, des saucisses allemands au troisième, de grillade grec sur bois, de smoothie des fruits, de vin sucré et parfumée, c'est une marché qu'on doit humer, plutôt que prendre en photo.
Toute fois, j'ai pris une centaine des images, essayant de rendre un petit peu de brouhaha des divers parties du marché. Légumes, fleurs, viande et poissons, porcelaines, mais surtout un lieu où c'est vraiment dur à ne pas succomber à manger quelque chose: il y a une telle choix!
Finalement, j'ai acheté un peu de feta grec et des fruits frais variés dans un petit boite, mangeant ce dernier aussitôt sortie du marché.
Comme tout ne peut être tout bien dans une journée, j'ai fait de trop: voulant prendre une dernière image du métro pendant que je descendais l'escalateur, j'ai tombé. Assez bien, ce matin je n'ai plus mal, seulement des bleus, j'ai réussi à me rattraper en tombant sur la derrière et le coude.
Ce n'est qu'en arrivant vers le bas que je me suis rendu compte du chance: c'était une très longue escalateur, tomber mal m'aurait vraiment...
Enfin, c'est une bonne leçon de mieux réfléchir quand je prends des photos et quand je dois plutôt faire attention "où je mets les pieds".
Les premières 22 images du marché je vais en faire un slide show, mais je ne peux pas, hélas ajouter les odeurs et saveurs imaginées pendant que je me faisait une place dans ce marché Borough très pleine des gens, plus qui mangeaient que achetaient pour la maison, ce samedi là.
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