vendredi 24 novembre 2006

Inviter l'étranger a partager le repas

non au resturant ou au salon de thé ou bar, mais chez soi, c'est en réalité de cela qu'il s'agit dans le soirée festive Thankgiving qui a eu lieu hier aux Etats Unis,

mais de souvenir et des traditions, je crois que ce qui reste le plus est le diner et ce qu'on prépare pour cette occasion

une fois, j'ai été invité comme "l'étrangère" dans une famille très ancienne qui m'a expliqué un peu de quoi il s'agit.

Les pélérins sont arrivés, si je m'en souviens bien en Amérique de Nord et ils mourraient de faim. Une tribe d'indiens, (vous allez me corriger si ce n'est pas cela) les a invité à partager leur diner.

Ces temps-ci, on mange encore des aliments rapellant ce qu'on leur a offert, mais avec le temps les plats se sont sophistiqués. Et dans les familles végétariennes, au lieu du dinde traditionelle, on fête avec d'autres choses, j'ai aussi assisté une fois à une fête communale "contre dinde".

Beaucoup des traditions arrivent de très loin en fait. J'avais lu dans un livre des récits jidish que dans les maisons juives, on laissait une chaise libre pour l'inconnu qui pourrait arriver. Etait-ce seulement pour les paques ou en général, je ne m'en souviens pas, mais le récit racontait ce que la famille en question a profité après avoir invité l'inconnu pauvre chez eux pour le repas.

C'est une tradition aussi de la Roumanie, mais aussi de ceux autour de moi, d'acceuillir facilement chez soi des gens, sans devoir faire l'invitation des mois avant, sans préparation spécial pour partager le repas ou chaleur d'un foyer. Je sais, ce n'est pas l'habitude français.

Quoique, cela dépend, aussi probablement des régions et de la famille.

J'ai eu des discussions difficiles avec mon dernier ex au sujet d'accuil des amis et de la famille (il ne s'agissait pas de l'inconnu ici) chez nous, pour quelques jours. Quand j'étais seule, j'acceuillais à Paris, dans mon tout petit logement, des fois plusieurs, venus par hasard en même temps, et dormant certains même par terre sur des coussins. "A la guerre comme à la guerre", quand il le fallait. J'ai des souvenirs chauds de cette époque-là, mais encore, je continue.

Au récent voyage vers Doulins (non, cela ne s'écirit pas tout à fait ainsi) j'étais invitée et reçu avec chaleur chez Annie, qui ne me connaissait que des blogs et deux trois coups de fil. Elle m'a acceuilli pour un diner fantastique, mais aussi une nuit passé sous son toit. Donc, cela peut arriver.

Chez moi, quand il n'y a pas de préparation, on mange ce qu'on trouve ou j'achete la dernière minute quelque chose pour compléter. J'adore avoir des invités en réalité, même si cette dernière temps j'invite moins chez moi: je n'arrive pas de nouveau à ranger mon logement.

Je me suis éloignée de ce que je voulais dire: acceuil des gens qu'on ne connais pas ou presque pas chez soi dans certains occasions. Thanks giving. Remercier ceux qui nous ont une fois acceuillis à leur table, nous ou nos ancêtres. C'est de cela qu'il s'agit dans cette fête-là.

2 commentaires:

  1. Bonjour. Je vous invite à découvrir mes chaussures sur mon blog :
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    Marina

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  2. Tu sais, chez moi, j'ai toujours entendu dire qu'avant, on laissait toujours une chaise de libre pour une eprsonne qui rentrerait.
    Donner un coup de pousse à quelqu'un qui aurait faim.
    Là ou on était cet été, dans le gite, les parents de notre hote faisaient de même... ;-)

    De nos jours, par contre, on aurait trp peur d'être voler .... laisser une porte fermée .... !!!

    Les temps changent, mais les gens dans le malheur, eux, sont toujours présent.

    Chez nous aussi la porte est ouverte pour la famille, les amis, toi aussi !
    On arrivera toujours à trouver une assiète, de la chaleur à transmetre ;-)

    Aller, bon w.e. Julie !!!
    sophos ... qui n'a pas brodé les poissons ..... heu, c'est Manu !
    Mais j'ai brodé autre chose ...surprise ;-)

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