J'adore faire des portraits

Faire des portrait des gens, de près, me permet aussi non seulement de m'y rapprocher, mais de parler avec eux. Communiquer.

Bien sûr, la communication ne passe toujours tout à fait bien, vous pouvez le voir ci-dessus, mais la plupart de temps, oui. Des deux, rencontrés dans le palais Bahia de Marrakech, le visage du vieux m'intéressait davantage, mais il s'y est mis de mauvais grâce et au deuxième il a carrément grimacé et tiré la langue, pendant que son ami me souriait avec sympatie.


Le photographe, m'a fait deux CD à Ouarzazate et il était enchanté d'être pris lui aussi, ensuite, il a incité la jeune fille (dont la mère était aussi là) de se laisser prendre - c'est possible aussi pour leur vendre le portrait (s) que je lui avais fait.




J'ai rarement vu des femmes si belles qu'au Maroc. Elle, je l'ai rencontré près du photographe, dans le salon de coiffure. Elle était la soeur de coiffeuse et la tante de ce petit de cinq mois.


Le portrait du garçon sachant tout sur les PC et les web, patron du Cyber, et celui d'un des vendeurs dans le souk. Bien sûr, il m'a dit "je suis berbère" et que les produits sont berbères. Notre guide nous a raconté que tout est "berbère" (même les bluejeans) puisque le mot berbère vend mieux ces temps-ci.

Le premier, m'a aidé quand mon pc était coincé et aussi pour trouver une moyen de connecter ma carte mémore avec l'ordinateur. Le deuxième a ouvert pour moi son caisson spécial, rempli des traisors, espérant (malgré que je l'avais averti davance que je ne vais rien acheter) que il va me persuader.


Regardez, comment les espaces entre ordinateurs était décorés chez l'un. a droite, les divers bijoux portés, parait-il, par les femmes non mariés, par la femme marié et par la veuve. Je ne me souviens, lequel est lequel, mais je trouve intéressant l'idée d'aller aux ressemblement, en déclarant son statut...


Trois freres, si c'est vrai. Le plus jeune pour attirer le client sous leur tente, dans leur boutique, celui de milieu pour vendre, le plus agé pour apporter les marchandises, d'après ce que le plus jeune, très sympa m'a raconté.

Ils ont le don théatrale tant pour vendre et aussi pour attirer l'argent des touristes.


Dans une village abandonnée, le vieux fait semblant de cuire du pain dans le four (jamais chauffé) et la petite de faire un tapis (jamais fini d'après moi) pendant qu'en face, le jeune garcon fait semblant d'avoir du thé à la menthe à offrir. J'ai trouvé tellement bon la mise en scène, qu'exceptionellement, je leurs a laissé un peu d'argent - même si je n'ai rien acheté au souk. Par contre, je vais leur envoyer les photos comme promis, à l'adresse "souk centre d'Ouarzazate" qu'ils m'ont donné.

J'ai vraiment bien profité de ma journée quand j'ai laissé les autres aller visiter une gorge et je suis restée seule à Ouarzazate, petite ville tranquille et éloigné. "Il n'y a rien à voir" on nous avait dit, juste dans les environs. Mais il y avait tellement à voir et vivre et tant des gens à interagir!