vendredi 11 mars 2005

Jour de grève, jour photo

Parti à six heures pour éviter les emboutaillages, avant sept j'étais devant l'université Jussieu. Il faisait encore nuit. Trois heures dans un café sympa en lisant "Digital" : ce journal m'a fait peur -et réfléchir - parlant de la pérénité de nos CD's et norme de DVD's.

C'est vrai, que j'ai dû faire migrer des mes disques 5 pouces à 3 pouce, de Mac à PC etc. mais j'espérais qu'au moins mes ZIP et CD dureront. J'en ai trop maintenant. Bien sûr, je devrais m'arrêter à prendre des photos, à écrire, à ... et faire le ménage enfin.

Peur aussi avec les articles sur les spyware, virus, etc. Surtout que depuis que je blog, je suis nettement plus sur le web qu'avant, quand je n'allais que récupérer mon courier, regarder quelques minutes ici ou là, puis fermais mon portable à trafic extérieur, restant "chez moi" à l'abri.

Mais combien de temps pouvons nous nous cacher ? Vaut-il la peine ? Je vous promets une entrée relatant une nuit où j'ai entendu du bruit dans mon jardin et mon sang se glaça.

Après 200 photos en revenant vers la maison, rue de Rivoli, que j'aime tant, je suis tombé en panne d'essence. Finalement, aucun problèmes à cause des grèves, mais à cause de mon bétise à ne pas prendre vendredi assez d'essence.

Vous pouvez voir, si vous les désirez, mes premiers photos sur le Flickr dans le set "Paris, spring" en suivant avec un clic sur les images en marge du blog ou, celui, que j'enverai bientôt, la fin de l'histoire de hier.

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