Je voudrais redevenir, comme il y a une année - ce 'moi' que je reconnais, ce moi, prise sur le moment par mon fils, écoutant mon petit fils raconter.
C'est l'image que j'aime plus, de moi. C'est le visage aussi que je ne sais pas si jamais je retrouverais. Au moins, ici, la partie droite, opérée n'est pas visible. Donc je pourrais toujours tourner le visage ainsi.
En fait, ce n'est pas la peau rouge ou non, avec traces des blessures et non, qui est important.
C'est le sourire, l'écoute des autres qui fait le 'charme' - et j'espère que cela ne disparaîtra pas, tant que je vis.
Hier, un visiteur, un charmant étudiant 'étranger' qui la semaine prochaine retourne à Jakarta, en visite d'adieu chez moi, il m'a demandée : étiez-vous toujours aussi ouverte? Ce n'est pas facile à répondre, mais depuis mon premier divorce, je crois que je me suis ouverte beaucoup plus, et cela n'a jamais cessée à progresser. Je lui a raconté qu'après je donnais le volume où j'ai publier mon journal intime à quelqu'un, d'un coup, il ou elle s'ouvrait aussi et me racontait.
S'ouvrir, ouvre la porte de communication. Oser à se montrer vulnérable, faillible, pas seulement toujours 'comme il faut' est finalement aussi un arme, une force. Que restera de ce blog, par exemple, si je ne dirais que sur mes victoires et bien de moi même?
Merci pour vous tous qui me suivez de loin!
Je suis toujours intéressée aussi d'apprendre sur vous.
Déjà, mon visage s'est améliorée: j'ai réussi à y mettre un plus petit pense ment toute seule, sans l'infirmière. J'ai réussi à dormir toute une nuit! La patience n'est jamais était ma forte. Mais merci énormément de votre encouragement!
C'est l'image que j'aime plus, de moi. C'est le visage aussi que je ne sais pas si jamais je retrouverais. Au moins, ici, la partie droite, opérée n'est pas visible. Donc je pourrais toujours tourner le visage ainsi.
En fait, ce n'est pas la peau rouge ou non, avec traces des blessures et non, qui est important.
C'est le sourire, l'écoute des autres qui fait le 'charme' - et j'espère que cela ne disparaîtra pas, tant que je vis.
Hier, un visiteur, un charmant étudiant 'étranger' qui la semaine prochaine retourne à Jakarta, en visite d'adieu chez moi, il m'a demandée : étiez-vous toujours aussi ouverte? Ce n'est pas facile à répondre, mais depuis mon premier divorce, je crois que je me suis ouverte beaucoup plus, et cela n'a jamais cessée à progresser. Je lui a raconté qu'après je donnais le volume où j'ai publier mon journal intime à quelqu'un, d'un coup, il ou elle s'ouvrait aussi et me racontait.
S'ouvrir, ouvre la porte de communication. Oser à se montrer vulnérable, faillible, pas seulement toujours 'comme il faut' est finalement aussi un arme, une force. Que restera de ce blog, par exemple, si je ne dirais que sur mes victoires et bien de moi même?
Merci pour vous tous qui me suivez de loin!
Je suis toujours intéressée aussi d'apprendre sur vous.
Déjà, mon visage s'est améliorée: j'ai réussi à y mettre un plus petit pense ment toute seule, sans l'infirmière. J'ai réussi à dormir toute une nuit! La patience n'est jamais était ma forte. Mais merci énormément de votre encouragement!
La beauté du coeur se reflète toujours sur le visage, ce n'est pas une petite cicatrice qui va changer ça.
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