vendredi 15 septembre 2006

Au réveil ce matin


Au réveil ce matin, j'ai aussitôt pensé à vous, cher lecteurs et lectrices, connus et annonymes encore. Je me suis dit "il faut que je me lève et écrive ma note quotidienne, dès le matin.

Je voudrais qu'au moins certains entre vous se délecte et part vers sa journée avec un peu d'énergie en plus, grâce aux blogs lus dès le matin.

Je me suis promis de ne plus regarder les statistiques, et en général je m'y tiens à cette décision, effacant leur faire part. A quoi sert de savoir que d'environ 150, mon blog n'est plus lu que de 95 par exemple!

Mais aujourd'hui, j'ai craqué et lu et, ben oui, je m'en suis rejouis.

Vous êtes revenus des vacances, vous êtes revenus vers mon blog, vous êtes de nouveau plus de cent cinquante à lire ce que j'écris. Grande responsabilité!

Je n'ai même pas bien bu mon café de matin - sans sucre! ni mangé mon toast grillé (j'y avais mis finalement un peu de miel dessus) et déjà mon pc était ouverte, m'attendant à écrire.

Hélas, j'ai perdu du temps ce matin lire d'abord mon courier. Email mais aussi ceux qui me laissent une commentaire sur ma site image (ici les images d'Ecosse). Ensuite, je me suis perdu dans les images d'un jeune qui avait découverte et mis entre ses favoris une des mes anciennes images (d'avril): il publie des images variées et pleine de vie dont je me suis délectée.

Finalement, la vrai plasir n'est pas tant à être lu, que de pouvoir lire ce que vous écrivez, ce que vous publiez!

Bonne journée.

5 commentaires:

  1. toujours fidèle et intéressée, depuis que je t'ai découverte, il faut dire que tu arrives à nous captiver ! Bonne suite Julie pour que mes escapades quotidiennes continuent !

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  2. Tu as raison, écrire est le plus enrichissant... mais j'aime quand même bien quand tu me dis que tu m'as lu...
    Bises

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  3. Hélas, je ne peux plus passer tous les jours. Non que je n'en ai pas envie, mais je me suis pris au jeu d'un groupe sur Flickr qui me prends beaucoup du peu de temps qu'il me reste. Mais je ne peux rester souvent loin de tes petits mots alors je te reviens et rattrape mon retard. J'ai vu dans ma messagerie que tu m'as laissé quelques messages sur Dailymotion mais je ne peux y acceder depuis le bureau, je les lirais ce soir.
    Quand aux statistiques, ne t'y fie pas, elles racontent n'importe quoi. Ainsi, Bof passe de 15 à 80 du jour au lendemain sans que je puisse en deviner la raison. Alors je n'y fais plus beaucoup attention d'autant que leur compteurs ne sont pas d'accord.
    Je pars une petit quinzaine loin de toute connection, alors à mon retour.
    Bises

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  4. François, je comprend, je passe aussi de plus en plus de temps dans la site flickr, et puis, comment pourrais-je me plaindre, c'est moi qui t'as poussé à y aller

    mais tu me manqueras

    et je n'ai toujours pas compris d'où vient le "et fier de l'être"

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  5. Trop long à écrire l'admiration que j'ai pour toi, pour vous Julie. Je lis tous les jours ce blog. Et maintenant que j'ai internet au boulot, deux fois par jour Ca me ressource, ça me réconcilie avec l'humanité, chaque jour je me dis que je veux être comme vous lorsque j'aurais soixante dix ans. Je suis ravie de pouvoir maintenant vous lire au travail, car faisant un métier difficile parfois pour le moral, vous lire me cicatrise. Merci de nous lire Julie, mais surout merci de nous donner à lire de vous.

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