
Une porte se ferme, une autre s'ouvre... comme chez ma voisine en septembre 2004
photo jk
Expérimenter, communiquer, tâcher de vivre pleinement. Prouver a soi et aux autres, depuis dix ans déjà



je voudrais aller loin. J'aime cette image fabriqué de tout pièce. Eh oui, je n'ai pas encore appris à voler dans le ciel - comme l'avion qui était à cette place avant - et ma tasse de café non plus. En plus, non, je ne me suis pas fait une tasse avec moi dessus : sauf dans cette image. Mais combiner trois images en Photoshop Elements trois était amusant. Aimez-vous le ciel ? Je voudrais bien savoir lesquels de mes images vous fait plaisir, laquelle vous ennuie.
Les belles feuilles de cactus de mon jardin ont était chargés de neige, mais juste pour quelques heures.




Avec Gaby, nous avons fait un petit recit video en utilisant le PhotoRecit 3 de Microsoft, logiciel merveilleux et gratuit pour l'utilisateur de Windows XP "legal" (carotte disent les uns).
Voilà un blog anglais par Brooke et j'aime bien non seulement son logo pris de Goethe : Tout ce que tu peux faire ou rêve faire : commence-le! mais en plus, j'étais (suis encore) pris d'euphorie en commenceant à bloguer, tout comme elle le décrit si bien le lendemain de son premier blog.
Brooke Writes Books "'Whatever you can do or dream you can, begin it.' ... GOETHE"Samedi, 12 février
So, yesterday I created my Blog…woo hoo! Wandered
around the house all afternoon in giddy-fashion…I own a Blog…I own a Blog!
And then…being the responsible sort of person I am, I decided perhaps I ought to learn a bit more about this blogging craze…
"Erreur à la deux fois rien compris
Les erreurs, que sont elles ?
Toujours de retour, même dans les détours.
Tout le temps à
s'excuser,
Pourtant ne fait qu'empirer,
Les erreurs.
Celle-ci m'a coûté la chance de ma vie.
Celle-la va écourté l'envie d'une chance.
Celle qui sera, ce sera quoi ?
Pas celle qui a déjà servit ton cas,
Cervelle de quoi tu serais sinon ? "
"Y a les blogs persos et les pros, de Trace de moi
Oublions les pros qui n'ont rien avoir ici.
Gardons les blogs persos.Dans ceux-la, vous y trouverez de tout. Y a les blogs ou on parle de rien, faut presque lire entre les lignes, d'autres ou on écrit des poemes ou on publie des photos, d'autres encore ou on fait les deux à la fois."
Mon premier journal commence en 26 décembre 1944 jour de naissance de maman. Nous vivions dans une cave de Budapest en se cachant sous faux noms. J'avais dix ans. L'année dernière c'était la 60 dixième année depuis que j'écris. J'en parle dans le nouveau blog que je viens d'ouvrir : Julie2004.blogspot.com, mais je viens juste de le commencer. J'ai décidé d'y mettre pas seulement des pages de mon journal de l'année dernière, mais d'images de voyages aussi et quelques explications ou récit rélatif à l'année - très dur pour moi surtout au début - de mes 70 ans. Oui, j'en avais très peur.
En prenant quelques photos sur mon chemin d'Argenteuil vers Paris vendredi soir, je me suis rendu compte qu'elles ressembles à nos liens.Et quelque part en haut, nous sommes lies vers d'autres et d'autres noeuds, des nouvelles fenêtres et voies s'ouvrent, nous sommes lies les uns aux autres. Des portes s'ouvrent grand, de plus en plus.
Les derniers deux livres sur les blogs (en anglais) que j'ai bien aimé : Who let the Blogs out de Biz Stone, qui travail maintenant chez Google sur Blogger et écrit des articles souvent. Et je recommende chaleureusement pour débutants comme moi, le guide d'Idiote Complet sur des pages web et les blogs : non, ce n'est pas idiote du tout à le lire. Ce livre explique vraiment bien les bases que d'autres suppose savoir."La feuille de chou d'une mécanicienne de navire, avec les informations internationales en deux lignes (commentées), les nouvelles triviales, la météo, les informations locales (c'est à dire les ragots du bateau) et tout ce qu'on peut écrire quand on est coupé du monde... "
L'amour devrait être comme cela, et de nouveau et nouveau on y croit. Avant de rencontrer "lui" avec qui j'ai vécu ensuite quinze ans, j'ai été ému par cette Statue de Stéphanie qui l'exposait à une galérie à Paris.
Du texte : La maison brûle: "J'ai ouvert un carnet il y a plusieurs mois sans attente,soulager seulement les trop plein de bile et soulager la boîte de courriel de mon ex qui débordait encore de mon verbe (qu'il n'aimait pas, ce qui était bien son droit..."Oh, j'ai connu cela ! Ah, oui. Heureusement, aujourd'hui,personne ne me dit plus que dire et ne me dit pas ce qui est "son droit"!Enfin,je fais ce que j'aime, moi.
Ensuite, elle se demande si c'est bien écrire vers un publique qu'on commence à connaître, au lieux d'écrire à "tous" : personnellent, ou bien j'écris à moi-même, une autre facette de moi, ou alors j'ai en tête un ami, un copain, quelques uns, c'est plus façile, et même, d'après les livres sur l'écriture, normal et saine. Alors...
"Elle s'assoit à la table, retrouve les feuillets d'hier, sa vie parallèle d'où tombent les branches mortes de sa rumination mentale, des branches mortes mais aussi de très vivantes, abattues par les vents de Noël et du jour de l'an. "
Je voudrais vous montrer une autre statue de Stephanie, que j'ai mis sur "Flickr", j'espère que cela va bien apparaitre sur cette entrée.Oui, finalement je commence à comprendre : il faut demander les différents "size" grandeurs, en choisir un, puis vous pouvez copier directement le code offert et le coller dans votre page. Si en plus, on ajoute:
align="left"
alors on peut écrire le texte à côté au lieu qu'il soit desous.Et bien sûr, si on met la police à plus petit... etc.
Et une excellente amie, m'ayant donnée trente ans d'amitié. Je n'arrives pas encore à croire tout à fait que c'est fini et que c'est seulement dans mon coeur que je peux dorénavant lui parler.
Il y a une long histoire derrière ce statue créé par elle en 1975, l'anné de notre rencontre, peut être en août.
Certains moments bruyantsIl y a des moments qui font peur et se révèlent si simples. Des rencontres inévitables qui se traduisent en regards qui veulent tout dire et en fous rires de ma part (il faut dire que mon rire, il n'a pas la vie trop difficile). Des rencontres en 'je t'imaginais plus vieux' et 'ah oui, je te lis. tu me lis?'. Il y a des moments où j'aurais envie de dire 'Tiens, tu ressembles à Olivier', mais je ne dis rien parce que les gens s'en balancent de ressembler aux amis d'avant. Je ne dis rien mais des fois je regarde à gauche et je me sens à Paris.
Il y a des moments où ceux qui devraient se taire parlent encore. Plus tôt j'avais été pleutre, comme tous les autres en train, et j'avais laissé la jeune fille se sacrifier inutilement contre le mur de hargne d'un homme qui croit 'que c'est son droit de parler au téléphone fort s'il le veut'.Je vais m'arrêter, je dois manger quand même au moins quelques morceaux. Vivre. Faire quoi, Julie ?

photo combiné d'autres photos de moiIl a mis le café
Dans la tasse
Il a mis le lait
Dans la tasse de café
Il a mis le sucre
Dans le café au lait
Avec la petite cuiller
Il a tourné
Il a bu le café au lait
Et il a reposé la tasse
Sans me parler
Il a allumé
Une cigarette
Il a fait des ronds
Avec la fumée
Il a mis les cendres
Dans le cendrier
Sans me parler
Sans me regarder
Il s'est levé
Il a mis
Son chapeau sur sa tête
Il a mis
Son manteau de pluie
Parce qu'il pleuvait
Et il est parti
Sous la pluie
Sans une parole
Sans me regarder
Et moi j'ai pris
Ma tête dans ma main
Et j'ai pleuré.
el edificio windsor de madrid en llamas
un gran incendio ha arrasado
la torre windsor de madrid en plena zona centro, en la zona de negocios de azca,
en el paseo de la castellana"
photo par Julie
