J'avais préparée un petit déjeuner savoureux, des croissants réchauffées par le micro-onde, des fruit un cadeau spéciale pour moi même, sous les fleurs que je m'avais achetée.
Et mon café habituel.
Hélas, ce jours-lá, il y a six ans, après la photo et un peu de café, j'étais attirée a l'ordinateur.
J'ai commencé écrire ma note blog du matin, comme d'habitude, puis lire ceux de mes copains, et quand je suis retournée à mon déjeuner du matin, le café était devenu froid, les croissants durs. Les fruit pas sucrées comme je l'avais espérée.
Voir et goûter, ce n'étais plus la même chose.
Au moins, dans ma tête, j'ai eu de la joie. Une joie anticipée, pas réalisée, mais très réelle malgré tout.
Les joies qu'on rêve et attend, restent des joies malgré nous, tout comme nos rêves et espoirs, Kat : n'arrête jamais à espérer, rêver, vouloir. Ce n'est pas négative: personne ne peut nous retirer la joie ressentie en attendant quelque chose d'agréable.
Expérimenter, communiquer, tâcher de vivre pleinement. Prouver a soi et aux autres, depuis dix ans déjà
samedi 13 octobre 2012
Petit déjeuner 2006
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Merci Julie, promis je vais essayer ! Sourire. Tes mots m'ont toujours aidée, ta capacité à t'émerveiller, ta soif de découverte, tout ce qui fait que tu es toi, je l'ai toujours dans ma "petite tête" porté en exemple. Je t'embrasse.
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