La nuit

On ne voit pas beaucoup, mais autant plus les quelques lumières attirent.

Je ne me rendais compte de la bonheur: il y avait de l'électricité !

Combien vivent pour le moment sans, et certaines a la 20ème ou 30eme étage! Quand on a vécu sans, on ne sait presque pas ce qui manque, quand on s'y habitue, on a des difficultés de vivre sans.

À New Yorkshire et New Jersey, - il paraît Washington où m'a famille vit était épargnée, les gens, le transport, la conservation des aliments, etc. dépendaient de l'électricité. Le chauffage aussi, en grand partie.

Ce n'est que passagère.

J'attrape des phrase de télévision ici ou la: des fois on doit s'habituer à affronter la nuit. L'absence de la lumière. Continuer à vivre avec la nuit. Continuer à vivre.

Il y a toujours des étincelles de lumière ici ou la comme dans la photographie. Il y a toujours des joies qu'on trouve et des joies qu'on se fait. On se concentre sur les joies, elles ont plus d'impact es sur nous que la nuit qui les entoure, qu'on ne voit même plus.

La semaine prochaine, je vais paraître pour dix minutes, de nouveau. C'est une telle plaisir de faire rire! Mais aussi déjà à me préparer.

Il fait beau, quelque part

Il y a de soleil, tour ours, quelque part.

Je me fais des soucis pour ma famille habitant près de Washington, il pleut, il vent, il fait froid, et probablement ils n'ont pas de l'électricité.

Pas loin d'eux, il a même neigé!

J'espère que l'eau n'est pas entrée de nouveau en bas de leur maison : le bureaux où mon beau fils travail. Il avait fait des travaux lui même pour que la prochaine fois, l'eau déversant dans le jardin évite d'entrer dans la maison.

Ici, soleil, belle journée d'automne, et je tâche à penser à ici et maintenant et non pas a la maladie tapis qui pour le moment n'est pas frappée - sérieusement. Allant 'faire rire' des différents de mes problèmes, je serais dans meilleur état d'esprit et cela aide toujours à mieux survivre ce qui arrive.

Hier, j'étais toute bas, après ma visite au docteur, 'si cela entre dans le sang' mais, ce n'est pas le cas pour le moment, tel que je le sais. Rebelotte, hôpital et vérifications le 5 Novembre.

Je vais essayer de m'obliger sortir ce soir. Sortir plus souvent, de nouveau. Ne pas me réfugier dans livres, restant dans mon lit, soir après soir, jour après jour.

Ici, il fait beau, pour le moment.

Les vendanges continuent-08

Il y a six ans, que de souvenirs!

Il y avaient des très belles fêtes à Argenteuil, même si je me sentais, un peu exclue.

Je me souviens de ce sentiment, en regardant ces images.

Des groupes de copains, mais je ne fessais partie d'aucun.

Ici, j'ai davantage l'impression d'appartenir. D'être acceptée.


Fetes des Vendanges d'Argenteuil by julie70

Retour a la comédie

Cela fait un temps que je ne suis pas allée dans un club et j'avais presque oubliée l'attrait de faire rire!

Ouvrant hier soir, la représentation des élèves de l'école de comédie, qui vienne t juste de finir, je me suis non seulement rendu compte de chemin parcourue par moi, 50+ clubs et parutions réussis, mais aussi de l'attrait et charme de réussir à faire rire, de se baigner dans la rire chaleureuse des la public.

Oui, je dois continuer!

Avec mes opérations sur le visage, je ne suis plus paru pour des longues semaines. Et alors? Avec l'attitude et sourire - et un peu de charme - on peut faire tout accepter!

Pleine des nouvelles idées me sont venus hier en préparant mon numéro comique, et même sur le chemin vers le Château des Pirates où le spectacle à eu lieu, en présence d'un trentaine d'audience très sympathiques.

J'ai fait rire, même en racontant que cela ne me dérange plus à me préparer à venir, en faisant un douche, me rasant et même, ajoutant à la dernière minutes mes trois dents de face manquants: oui, charmants pour un gosse de 7 ans mais pas a 77! Et, comme ce n'est pas Halloween, je ne leur montrerais pas.

J'ai aussi fait rire, la première fois, racontant de l'achat de mon Kindle: a cause que je ne voyais plus qu'avec les lettres agrandis, pour des mois avant mon opération de cataracte, mais son utilisation maintenant nouvelle découverte: ainsi mes cinq petits enfants ne savent pas que je lis les "50 nuances de gris" bestseller érotique... Et les autres livres lui ressemblant.

On se moque de soi même, mais l'audience ne rit pas de moi, mais avec moi. On rit sur la vie. On rit sur la façon d'affronter ses haires mais surtout bas.

Ils m'ont aimée, et je leur avais rendu. Je dois retourner rapidement, cela me fait tellement bien !

Un couple heureux

Il existe, des couples heureux, et c'est toujours un grands plaisir de les regarder. De savoir que ce n'est pas seulement une histoire des fées ou des livres romantiques.

Jenny a contribuée pour que hier on puisse célébrer la formation officielle du club London Trustmasters, en poussant son mari qui travail dans l'entreprise en question, a joindre. Il était le dernier maillon qui nous manquait, le dernier membres, pour le moment, a joindre.

Elle, président l'année dernière d'un des club de l'environ, a compris l'importance : nous avons voulu fêter quand beaucoup d'autres été la. Et nous avons réussi.

Elle et son mari, n'étaient pas les seuls, a contribuer, comme c'était 'dernière minutes' pour obtenir et organiser, pour que tout les papier arrivent aussi à temps.

Hier, elle été dans son éléments et j'ai prise plusieurs photos d'elle. Ces photos prouvent aussi encore une fois: une femme (ou homme) heureuse, devienne très belle.

J'ai pris d'autres photos aussi hier, non seulement ceci, ou non seulement d'elle, mais c'est les photos d'elle que je suis la plus fière.

Diwali 2008

Diwali on the Square, a set on Flickr.

William et moi, Area Governeur

Il a gagné le 1ère prix de discours Humoristique entre 5 il y a deux semaine, aujourd'hui il va concourir au niveau suivante.

Hier, j'étais au club qu'il représentait, et il a dit encore une fois son texte. Nous étions moins, le discours paraissait moins amusante. Pour comédie, plus s'amusent davantage ensemble.

J'ai eu un bonne contact dans le club visitée mais je suis revenue de nouveau ayant mal au jambes, non seulement pieds. Le nuit, des crampes. Lundi, j'ai de tout façon rdv avec un docteur.

Le soir, je ne suis pas allée jouer dans le club de comédie, j'ai appelée les prévenir. Le courage de sortir plus pour comédie va me revenir. Pour le moment faire le tour des clubs et des rapports sur eux, me suffisent - et je suis ravie de constater que j'ai des bons rapports avec tous, tous leurs présidents.

Ce soir, grande célébration: le 5e et plus récent club va célébrer officiellement sa constitution. Je leur présenterais un drapeau que j'ai commandée pour l'occasion.

Demain, je dois décider si je vais ou non pour un spectacle de comédie, le dernier où je me suis inscrite, et samedi regarder les autres - cela je doit la faire!

Ensuite, pleine des jours 'libres'.

Beautés à tout âge

Entre les images qui resurgissent, puisque choisies comme leur 'favoris' des autres, ce matin celle-ci m'a fait spécialement plaisir.

Une bonne voisine, que j'espère revoir, au plus tard le printemps.

Hier, la réunion c'était bien passée, mais je suis revenue tard et les pieds douloureuses, on aurait dit: une vieille femme marche par la! Avec moins de poids et plus d'exercice, et une fois que le change de température finit, j'espère ceci va s'améliorer aussi. Même si l'âge reste.

Hier soir, j'ai vu une reportage au BBC1 sue trois.vieux, 82 a 85, ils étaient tous, deux femmes et un homme, en piètre état, et seuls, ne sachant que faire vraiment de leurs temps et vies. Relativement, je me tiens bien.

Que cela dure et ne soit pas trop vite dit!

J'espère pouvoir prouver encore longtemps: il y a de la vie après 70 ans.

Une semaine pleine

Hier à commencée mon semaine très pleine.

Lundi: la dernière classe de comédie. Pour le moment, cela me parait du temps et argent perdu, en plus, de nouveau mes pieds m'ont fait mal. Et moi, qui croyais ceci derrière moi!

Mardi: une réunion ce soir plus près de la maison, avec une en plus avec les responsables du club pour compléter un rapport qui doit être fait jusqu'à la fin du mois.

Mercredi: à midi cette fois, mais un autre club, très 'business' dur à obtenir de temps pour discussions avec eux, des fois. J'espère, sinon, je devrais revisiter une autre fois aussi.

Jeudi midi: réunion, préparation pour la soirée. Soir grande réunion avec presque centaine des personnes. D'abord, concours, où je n'ai pas de rôle autre que saluer et rencontrer. Puis une cérémonie pour le club que nous avons réussi a former - qui est celui de la place où tout a lieux.

Vendredi: même si j'hésite, je doit me lancer de nouveau dans le bain: un soirée de comédie ' standup' recommencer continuer mon chemin 'comique' après semaines de pause et récupération.

Samedi: en audience, cette fois, pour ceux finissant ce que j'avais fini il y a une année, le cours de comédie après j'ai commencé mon cheminement a travers des clubs. Dans l'année, 50 fois réussi a les faire rire. Autant des expériences divers.

Comment je vais survivre sortir soir après soir une semaine entière? Il le faut. Et j'espère.

Prendre le temps de regarder autour

Depuis que je prends des photos, je suis - un peu - moins absorbée par mes propres pensées et je regards davantage dehors.

Dehors, ce matin, un brouillard épais.

Mais devant ma fenêtre, j'aperçois d'un coup, deux magnifiques perroquets vert. Ils se fondent, presque entre les feuilles, pas encore rougis, de l'arbre en face.

Avec le brouillard, ils deviennent encore plus visible et plus facile à photographier.

Je ne suis pas partie de la maison cherchant l'oiseau bleu - qui entre vous a vu ce film comme moi dans sa jeunesse? Mais sans même chercher, presque tous les matin, il arrivent en visite des perroquets verts.

Ne me demandez pas d'où - des fois il y en a toute une horde! Ce matin, ils m'ont fait oublier toutes mes soucis.

On se débrouille - partie

On se débrouille

Avec ce qu'on a plus ou moins

On se débrouille

Des fois c'est plus des fois c'est moins

On se débrouille

Avec ce qu'on a dans les mains

On se débrouille

Des fois c'est plus des fois c'est moins

On se débrouille

Avec ce qu'on a plus ou moins

On se débrouille

Des fois c'est plus des fois c'est moins

Par Henri Des

Sortie hier

Soirée très bonne en famille, cela fait finalement si bien de sortir!

Je me sens plus forte, mieux, différente...

Ils ont été tous fantastiques et j'ai ressentie une telle chaleur!

J'ai des petite problèmes avec le blogger, utilisé à travers le iPad - pour le moment, mon Pc mort, j'hésite avec quoi la remplacer.

On verra.

Des fois, je me demande: ai-je vraiment besoin?

Comme la dernière discussion avec mon fils m'a convaincu, je n'ai pas besoin d'un téléphone sophistiqué - et alors si tous en ont? J'ai un tout petit, qui a bien la fonction téléphone, et c'est tout. On peut me joindre et cela me coûte très

Puis: "tous" n'est pas vraie non plus!

Et alors?

Encore une signe sur mon front, mon visage, ma peau, et alors?

Il y a un mois, je me souciais encore de mon apparence. Que des choses changent! Tout cela me parait si non important maintenant.

L'importante est que le mal ne propage pas. L'important est qu'il reste en surface, aussi longtemps que possible, qu'on l'éradiquer le mal quand s'arrime à temps, aussi long que possible.

J'ai décidée que le bonne humour va m'aider. Voir la verre moitié pleine, aider les autres progresser, les faire rire, rire. Cela peut retarder le mal progresser.

Une trace en plus sur mon visage? Et alors?

Moitié pleine

Il y a toujours l'attitude: est-ce que la verre est moitié vide? Maladie potentielle et des dernières traces pas encore fermées, ou est-ce que c'est vue comme moitié pleine.

Tout dépend, laquelle part on se concentre.

Hier midi, revenant de l'hôpital, je me suis concentrée jouer avec mes 48 images d'automne. Les magnifiques couleurs, le pigeon sur l'herbe et les deux corbeaux sous l'arbre. À cause du champs pas loin, il y en a aussi beaucoup des cela: ils sont magnifiques à regarder.

Cette nuit, me réveillant vers deux, je reçus un courriel avec magnifique nouvelle: le club commencée il y a juste trois mois, approuvée comme un club avec tous les droits. J'ai tellement travaillée, avec des nombreux autres, a cela, que cela m'a fait énormément de plaisir. Un de mes réussites ces dernières mois, à côté de l'atelier 'raconter des histoires personnelle' qui est aussi en bonne voie, mais continuera mois après mois, jusque avril.

Laisser quelques chose contrait, aider les autres évoluer, tellement plus satisfaisant que des article des journaux ou, même une comédie de plus!

La verre est à moitié pleine de nouveau ce midi.

Deux corbeaux près de chez moi

Aller retour hospital pour être photographiée et prendre 40 photos sur le chemin.

Et encore

Feuille d'automne

Je voudrais bien pouvoir dire, que j'ai prise cette image hier: mais elle date de 4 ans.

Hier, je ne suis pas finalement sortie, même pas a mon cours.

Affaiblie par les deux plaies encore pas refermes, qui guérissent, j'ai pris un médicament pour dormir au début de après midi et réveillée, je n'ai pas eu le courage,de sortir.

Ma peau gérait, après les.traitements, mais lentement. Enfin, trop lente à mon goût. Pourtant, le grande horrible coupure, opérée il y a une mois, c'est non seulement complètement refermée, mais elle parais juste un des rides de sourire de plus. Je compris maintenant pourquoi, avant d'opérer, la chirurgienne m'a dit: souris, souris, souris. Elle avait besoin de marquer, reconnaître les lignes.

En quelques moi, semaines, peut être jours, peu des traces resteront des ceux deux, relativement mineurs et petits, encore ouvertes ce matin.

Et aujourd'hui, comme j'ai rendez-vous de nouveau à l'hôpital, je sortira pour sûre, je prendra mon appareil photo, et au moins je ferais une nouvelles images.d'un autre feuille d'automne.

À l'hôpital, ils vont photographier mon corps, ma peaux, pour mieux suivre tout nouvelles change arrivée en futur.

L'automne revient chaque année avec ses pluies, ses froids et ses couleurs magnifiques. Les plaies se referment, guérissent, et - pour le moment, me permet de continuer à vivre et si je décide ainsi, avoir de la joie de tout qui est autour de moi, de tout qui peut être, de tout qui arrive.

Tant ce qui existe ou reste, que ce qui n'est qu'un ombre fugitive. Des magnifiques couleurs, et non seulement, mais des contrastes et des ombres fugitives.

Je vais me concentrer de plus en plus sur le positive. Cela même aide aussi à guérir!

Centre commerciale

Je ne dirais pas que c'était une longue promenade, mais au moins je suis sortie. Quelques minutes arriver au bus, 15 pour attendre, trajet de bus puis courses.

Mais à l'intérieur du centre commerciale, pour trouver ce que j'avais,besoin : sparadrap etc. j'ai.marchée pas mal.

Le bus pour revenir est arrivée vite, ensuite un peu,de marche à travers le champs près de la maison. Même après 4 ans, cela m'enchante d'habiter si près d'un champs séparant deux paries de la ville, dans laquelle j'habite.

Oui, toujours à Londres, mais Londres - grande Londres comme on l'appelle - est constituée des innombrables petites, ou plus grandes villes. Le banlieue fondue dans la capitale.

La ville voisine est celle ayant la grande centre commerciale, un station de train, etc. Près de moi, des bus allant un peu partout. Comme c'est gratuit, pour les vieux, je peux aller sans payer.

Une fois décidée de sortir.

Je ne suis pas allée au centres Londres pour prendre des photos, une autre fois. Mais ce soir, cours de 'improvisation' à côté de Régent parc - une heure, une heure et demi bus/train/bus ou métro à partir de chez moi.

Peut-être, j'irais même faire un tour photographier l'automne, si pas ce matin, demain. Ou, encore mieux: aller plus tôt et me promener à REGENT parc.

Je n'ai pas bien dormis cette nuit, mais au moins, j'ai lu à la place de me tourmenter.

L'anxiété d'avance ne fait que abîmer le présent. Et j'ai,trouvée pour pas cher des livres poivrées pour mon Kindle. Vous en lisez des telles de temps en temps?

Danser, fait bien

Ma fille me le dit: elle à plus de 50 ans maintenant et vient de commencer à danser plus régulièrement. Un group vient se former à l'école où elle enseigne.

Je devrais bouger davantage aussi.

Pour le moment, je ne peux nager, mais je dois au moins marcher plus souvent et plus longtemps.

M'enfuir dans livres, c'est bien, pour changer mes idées, mais pas trop longtemps. Ce matin, le soleil brille dehors: je sors.

Petit déjeuner 2006

J'avais préparée un petit déjeuner savoureux, des croissants réchauffées par le micro-onde, des fruit un cadeau spéciale pour moi même, sous les fleurs que je m'avais achetée.

Et mon café habituel.

Hélas, ce jours-lá, il y a six ans, après la photo et un peu de café, j'étais attirée a l'ordinateur.

J'ai commencé écrire ma note blog du matin, comme d'habitude, puis lire ceux de mes copains, et quand je suis retournée à mon déjeuner du matin, le café était devenu froid, les croissants durs. Les fruit pas sucrées comme je l'avais espérée.

Voir et goûter, ce n'étais plus la même chose.

Au moins, dans ma tête, j'ai eu de la joie. Une joie anticipée, pas réalisée, mais très réelle malgré tout.

Les joies qu'on rêve et attend, restent des joies malgré nous, tout comme nos rêves et espoirs, Kat : n'arrête jamais à espérer, rêver, vouloir. Ce n'est pas négative: personne ne peut nous retirer la joie ressentie en attendant quelque chose d'agréable.

Courage revenue

Ce matin, j'ai recu par email des liens vers divers video, a laquelles je me suis inscrite, les unes après les autres, a un moment donnée.

L'une était sur le Pouvoir de pause. Parler, raconter, discourir, c'est important. Mais faire un pause avant de commencer, ou pour tenir l'audience en haleine, ou pour donner le temps a réfléchir, ou même au lieux de bafouer, c'est un technique puissante.

Peut être, la pause, des pause dans nos vie sont aussi importantes.

La deuxième vidéo était un interview long Actor Studio, avec Liza Minelli. Très intéressante de début à la fin, à un moment donnée, elle raconte comment elle a passée à travers très difficiles maladies et moments dures de sa vie: j'ai appris cela de mon père, elle disait. Imaginer. Devenir en imaginations ce qu'on désir. Cela m'a aide, souvent dans les points noires de ma vie.

Imaginer. Révérer. Survivre.

Je vais acheter son autobiographie, et le vidéo complète. C'était exactement ce que j'avais besoin, maintenant. Après cela, j'ai même réussi à changer mes deux pansements tout seule, étant encore dans l'esprit avec cette actrice si courageuse.

Et merci pour vos encouragements, me savoir moins seule, compte beaucoup!

Collection a voir en Novembre: de Durer à Holbein

The Royal Collection: The Prodigal Son, DÜRER

Je ne vois pas souvent des chooses qui m'enflamme y tant que presque tout ce que DÜRER a product. J'ai un livre, trouvé a Boston, il y a fort long temps, en allamanda que je ne comprends pas beacoup,  mais pleine de ses gravures.

Dans une autre vie, je crois avant avoir rencontrée mon deuxième mari, je suis devenue amoureuse de Durer, mort 500 ans avant. Je sens encore et toujours une connections avec lui.

J'avais besoin de quelque chose à me sortir du marasme où je me trouve, de la lamentation sur moi, non seulement apprendre que mon cancer de peau s'est empire, mais aussi de vivre seul et loin de tout le monde. De ne pas avoir réussi de créer des copains ou vraie amie, que je peux appeler au besoin.

M'enfoncer en Durer, relire des poèmes ou... Je dois trouver quelques chose m'aidant à passer les premiers temps: incroyance presque de ce qui m'arrive, arrivera. Ensuite, il paraît viendra la fureur, l'accepta ce, et comment prendre tout ce qui arrive.

Pas grave, pour le moment, seulement désagréable.

Je n'arrive pas a mettre de pansement sur mon dos. Ceci, je trouvera un moyen de résoudre.

Le front aura un ronde en plus: comme une brûlure de cigarette: et alors? Des traces divers, je m'en fous. Maintenant, en plus de tout le reste, je dois me soucier à ne pas laisser, ne pas négliger, si je crois que cela s'est propagée aux ganglions. Pas encore. Un jour.

En France, on ne raconte tout cela que a la famille, mais ici et aussi en Amérique, ils croient, bien, que celui à qui arrive et arrivera, à le droit de savoir. Alors, on me l'a dit, mardi, les résultats des analyse sur ce qu'ils ont sortie de mon peau, visage, deux ou trois semaines avant.

Je ne suis encore assez forte pour lire tout la littérature qu'on m'a passée. Le temps viendra. Pour le moment, je dois trouver des choses pour passer le temps: une fuite avant.

Je trouvera. Durer sera avec moi!

Ombres

Lui, je sais, des publicises s'ouvrent avec mon blog.

Ce n'est pas agreeable.

Saves-vous comment m'en debar asset?

Il y a la vie après 70 ans c'est un blog over te plus de 7 ans maintenant. Avec les mois et annexes, j'ai ajoutee des chooses, je l'ai transformed un peu.

D'un coup, un jour un sorte de virus, pas virus en réelle mais désagréable quand même est apparu: je ne savais pas comment m'en débarrasser.

Quelqu'une m'avait conseillée de jetter les compteurs, il.parait c'était la cause. J'ai changée des conteurs.

Pas d'amélioration.

J'ai peur de changer trop, dans un blog où tellement des choses se sont accumulées. Devrais-je me débarrasser des accessoires les uns après les autres?

Je regrette l'inconvenience, cher 'anonyme' même si vous avez raison: que faire?

Si vous ou quelqu'un d'autre à une potion magique pour ce blog, qu'il me le dise.

Les docteurs de fenêtre

Après des mois que je ne pouvais plus ouvrir la fenêtre de ma chambre, ni bien la.fermer d'ailleurs, enfin les docteurs,sont arrivées.

Les docteurs,de fenêtre, comme écrit sur leur teeshirt. En très peu,de temps, ayant les outils et les connaissances appropriées, ils ont réparé ma fenêtre.

Dorénavant, je peux l'ouvrir: aérer, mes aussi regarder en bas : qui sonne, qui veux entrer.

Et hier, j'ai commencé une autre atelier, rafraîchir mon numéro comique: en trois ou quatre semaines. Apprendre, ne finit jamais.

5 racontant des histories drôles

Chacun a racontée différent et a sa façon, jeudi dernière.

C'était ma dernière sortie.

Avant me perdre dans la 'Recherche des dents perdus'

Le première, ayant gagnée, à fait du son discours une ironie des discours pompeux,

Le deuxième, a racontée sur des punissions corporelles dans l'école de sa jeunesse. Et une fois, quand ils ont réussi en rire. Horrible et inoubliable en même temps.

La troisième, une anecdote arrive lors une récente vacance à Barcelone avec trois copines rencontrés d'abord en train de banlieue. Très colorées et bien 'jouée'.

Le quatrième: la tragédie d'un guêpe dans un voyage de métro. Du peur, jusque réussir de le tuer, puis le regret. Même.

Le cinquième, a racontée comment il a réussi à trouver des billets pour les jeux olympiques: 5 méthodes en plus du seul billet du début. Ingénieux, démontrent: ne pas se laisser quand au début cela ne marche pas.

Ou sont mes dents?

Fleurs de mon fils, il a a une se marine

Mon fils vient me dire: c'est  amusant!.

Oui, pour une autre.

Pour le moment, très irritant de ne pas trouver mon dentier avec mes trois dents.

Oui, je dois les enlever pour les nuits, mais je les met, en general, dans une tasse avec eau. Jusque matin. Très rarement, fatiguée, je les dépose près du lit, sur le petit table.

Hier?

Ce matin, je me suis dit "pas besoin" pour mon petit déjeuner, puis j'ai oubliée. Mais pour midi, j'en ai besoin.

Je ne les trouve nul part.

Vous pouvez en rire.

Je me suis reposée, comme mon fils me conseillait par telephone, puis me remise à les chercher. Aucune idée, qu'est j'ai pu en faire, après les avoir retiree, fatigée, tard hier soir.

Ils ne se sont envolées par la fenêtre - fermée - pour sure.

- pardonnez-moi, à ne pas avoir relu mon texte écrite dans la détresse en français, mais que mon iPad à corrige, mal, croyant que j'écris en anglais. C'était affreux! Comme la recherche de mes trois dents d'en face, mon premier petit dentier. -

Mon fils.est arrivée Dimanche, plus tard à la rescousse. Il a commencé chercher dans des lieux improbables - comme moi, j'avais déjà tout fait pour retrouver, dans les lieux 'habituelles'. Je le regardais, énervée: cela ne peut pas être lá! Je me disais. Pas la, non plus! Oh non! Il perd son temps.

Et vous savez quoi?

Il les a retrouvée dans une place le plus improbable: sur une assiette sale pas lavée dans l'évier de la cuisine, avec une autre assiette mise dessus.

Maintenant, cela parait Logic: le soir, an question. Très fatigée, j'ai pris un en cas au lieu de dîner, près de mon lit. Fermée la lumière. Quand je me suis rendu compte de ne pas avoir enlevée le dentier, je les a mis près de lit sur la table, mais,dans le noir, il a atterri sur l'assiette. Le matin, pas très réveillée encore, je remet l'assiette à laver. Je bois mon café pour me réveiller, le dépose aussi,dans levier. Et je me mets, plus tard à chercher: où diable sont mes dents?

Oui, j'ai cherchée plus de trente heures, de plus en plus paniquée - en négligeant tout autre travail! 

Rebondir

cela va mieux, cela va mieux, je peux - presque sourire. Pas.trop largement, quand même.

Progrès quand même.

Hier, une très bonne réunion, organisée par mes aides. Autant mieux, que j'avais réussi,à les inspirer, puis prendre la deuxième rang et les laisser agir.

Bon début de matinée: j'ai retrouvée un cahier 2002 à 2003, titre : Rebondir, de nouveau et encore. Je m'y plonge.

Relieur Paris 2004

Septembre 2004 - première sortie avec le groupe photo documentaire. J'avais un appareil non digital encore. Mais j'avais déjà demandé en même temps que photo, me faire un CD.

Par hasard, nous sommes parties de milieux du rue M'ont Cenis, en bas des 200 marches menant vers place de Tertre, vers les 'hauteurs' de la rue où j'avais habitée le plus longtemps jamais dans ma vie: 23 ans! Paris 18e, devenu déjà nostalgique pour moi en 2004: j'habitais déjà Argenteuil.

La rue Mont Cenis est très longue, d'un côté elle monte à travers des marches, d'autre côté descend, longue la mairie 18 e et continue jusque bld circulaire, autour du Paris. La boutique Atelier de Relieur  se trouvais en 2004 près des fin des marches. Je dois avouer, au début j'étais attirée surtout par son barbichon, barbe mince et pointue, et visage un peu Don Quichottesque. Il travaillait dans la vitrine, sa grande table de travail en face de vitrine, probablement pour maximum lumière.

Aussitôt qu'il m'a aperçue avec mon appareil.photo - j'ai souris et mimée 'puis-je vous prendre?' Il m'a fait signe d'entrer. J'ai explique que il a un visage intéressant et son travail m'intéresse pour les photos documentaire que nous apprenons à faire. Avec plaisir! Il m'a dit. Prenez autant que vous voulez.

Il m'a expliqué un peu son travail artisanal à relier les livres anciens à l'ancienne, des outils utilisées, puis il.a retourner travailler: je voulais le prendre au 'naturel' Deux semaines plus tard, je suis revenue, lui offrant une copie des toutes les images prises. Son épouse était aussi la, travaillant, j'ai prise encore d'autres images avec elle, ne s'arrêtant pas à travailler.

Hélas, deux ans plus tard, repassant devant la boutique, la reliure était fermée: un pizzeria s'était installé à la place. Oui, mes photos sont devenues d'un coup vraiment ou davantage Documentaires.

Ce matin nostalgie, encore une fois, hier 4 personnes inconnus ont regardé cette image, c'est ainsi,que tout une passée est resurgi. Comme je suis arrivée à habiter par la, mon départ et divorce et mon cours de photo qu'on m'a proposée 'comme vous ne parlez bien anglais' - à la place de réunion écrivain anglais à laquelle j'avais voulu assister.

Je suis loin, à Londres non seulement je raconte des histoires mais je tiens même un atelier à enseigner aux autres à en raconter. Mais cette image m'a soudain transportée dans le passée comme le Madelaine du Proust.

Reggeli - breakfast - petit déjeuner - frühstück

Reggeli - breakfast - petit déjeuner - frühstück, a set on Flickr.

Petit dej, photos des dernières années !

Alas, mon PC m'a laissé tomber, et je n'arrive pas à mettre un diaporama direct sur le blog. Je peux envoyer seulement ceci.

J'aime bien JOB et Apple, mais ils n'ont pas eu et n'ont pas raison à refuser le Flash sur les iPad et iPhone.

Je vais mieux. Encore un bobo à fermer, cela arrivera aussi. Demain, après demain, un jour. En attendant c'est une journée merveilleuse qui s'annonce.

Automne est arrivée.