mercredi 18 mars 2009

Le paradox des choix


Le livre, par Barry Schwartz, "the Paradox of choice" m'a aidé autant que celui de Julie Cameron sur la "Voie d'artiste".

Non, je ne suis pas artiste, je le déclare encore, mais tout cela n'est qu'un mot.

Je suis écrivain, même si je n'ai pas publié sur papier que deux livres, je suis écrivain parce que j'écris depuis soixante ans.

Je suis photographe, dont témoignent mes trente mille images publiés sur ma site flickr, et l'intêret que certaines entre elles ont suscités, mais surtout le plaisir que j'ai à prendre d'autres. Quelques fleurs de printemps ou feuilles d'automne, aussi, même si les portraits des gens sont pour moi encore plus passionnantes.

Je suis créative, autant en ayant créé une entreprise, imaginé des nouvelles produits aussi, enseignant quand c'est possible, et j'adore raconter des histoires en m'inspirant de tout ce que j'ai vécu.

"Que vous viviez dans des temps intéressants" est parait-il un chose que les Chinois souhaite à leur pire ennemis, mais c'est pour un créative un paradis - pouvant s'inspirer de l'enfer vécu sur le chemin.

Pour ceux entre vous qui vivez en France, Nous Deux est présente pour une semaine, parlant des personne dont la vie a changé après 50 ans et, entre autres, de mon blog. Que des vies j'ai eu depuis que j'ai dépassé le cinquante! J'ai changé depuis ma vie plusieurs fois. "Et je ne regrette rien".

Dernières décisions et révélations: certaines choses finissent même ici, déjà, je vais de moins moins au "meetup groupes" et j'irai davantage aux ToastMasters, parler en direct, écouter les autres parler en public.

Les deux livres que je mentionne au début, m'ont incité à réfléchir, la première à "ce que j'aime vraiment faire" et l'autre le droit de choisir ce qui me fait vraiment plaisir, mais aussi combiner diverses activités.

Déjà en changeant du métier à 50 ans, quand je suis revenue des Etats Unis a Paris, de recherche en Chimie Biologique à Vente des produits pour micro ordinateurs et création d'une entreprise, je me suis rendu compte qu'en fait, ces deux métiers apparemment si divers nécessitent la même fondation. Aimer la recherche, étudier des nouvelles choses, se permettre jouer et l'utiliser pour avancer.

En fait, l'écriture, photographie, parler en publique, viennent aussi de mon plaisir de communiquer, la même besoin interne profonde pour les trois.

Et voilà, trois personnes rencontrés hier, m'ayant laissé à prendre leur portraits, je dirais même ravis que j'ai demandé.

L'un est un postier, les deux autres vendeurs des poisson au supermarché.
Last portraits-5 Last portraits-3
En fait, des gens divers et très intéressants avec qui j'ai eu par ce biais le plaisir d'échanger quelques mots.

Dans le tumulte de la journée agité de hier, prendre ces portraits m'a réconforté, encore plus que les tulipes que j'ai trouvé au bord de la route en revenant.

2 commentaires:

  1. les vendeurs de poisson sont propres. ils sont tres different que ceux-ci a Hongkong!

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  2. Bien sûr, en plus ici c'est des vendeurs à l'intérieur d'une supermarché, ceux qui sont au contoir, en uniformes.

    Mais je voudrais bien voir aussi ceux de Hong Kong: tu me fais envie d'y aller un jour, Flora!

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