lundi 31 janvier 2011

Seule le weekend


De temps en temps, j'ai l'impression que les heures passent trop lentement. Pas de courage de sortir, personne à qui parler, aucune visite.

Ce weekend, c'était ainsi.

J'avais à lire, j'avais le télévision, l'ordinateur, et même Londres, si j'aurais eu le courage de bouger.

Les heures sont passées lentement.

Cette semaine, à partir de demain, plusieurs réunions, le soir, je serais, un peu, mais pas beaucoup, plus occupée.

En réalité, le sentiment de solitude vient de moi, ne dépend pas des autres!

Des autres jours, je trouve pleine de quoi m'occuper. Préparer un récit futur, lire des informations nouvelles; regarder des blog et les commenter, des images des autres, ainsi de suite.

Quelques jours se sentir plus bas, d'accord, cela arrive à tous, n'est pas? Demain, sera encore un jour différent! Tout dépend de moi.

dimanche 30 janvier 2011

Un petit éclaircie


Un petit éclaircie dans le ciel, dans la vie, et l'espoir reviennent.

Pleines des nuages grises au dessus notre tête, cela arrive, hélas, pas seulement dans la nature, mais aussi dans notre vies.

Il suffit, d'un brin d'espoir, d'un petit fenêtre ouverte, d'un brin d'herbe, pour s'y accrocher et commencer à en sortir.

Jamais aussi vite, qu'on espérait.

Pourtant, une fois le premier pas fait, une fois que le courage et la volonté est revenu, le "sort" nous aide et des choses arrives, les occasions se présentent, une nouvelle horizon apparait.

J'ai appris cela quand j'ai fait l'étude de livre Artists Way, par Julia Cameron, mais en fait, c'est de sagesse et observation très ancienne. En regardant ma vie, souvent c'est arrivé ainsi, même si à l'époque je n'en étais consciente.

L'aide arrive quand on a fait le premier pas.

samedi 29 janvier 2011

Il y a 45 ans


Il y a 45 ans, sans beaucoup de peine, rapidement, avant minuit, mon fils est né.

A trois heures d'après midi, je savais déjà qu'il a décidé a sortir dans le monde, mais ce n'est que après six que son père m'a pris à l'hôpital, en plus, là, la sœur m'ayant examiné m'a déclaré: c'est encore loin!

J'ai insisté pour y rester, ne pas retourner chez nous: je savais mieux. Mon mari n'y croyait pas non plus, il est même sorti "à boire un coup". J'étais seule dans la pièce et ce n'est que une fois revenu que j'ai eu quelqu'un pour appeler la soeur de nouveau.

"Vite, on doit appeler le docteur!" me dit-elle.

Une demi heure plus tard, un docteur, déjà en pyjama si je m'en souviens bien, sous son blouse, a aidé mon bébé a sortir doucement.

Il devait être onze heures et demi.

Il était couverte, au début, des cheveux noirs. "Comme sa grande mère paternelle" je me suis dit. Pourtant, rapidement, il est devenu blonde. Curieux, les bébés.

Ma grande joie était qu'on l'a mise dans un petit lit transparent près de moi et je pouvais l'allaiter quand il en avait besoin dès le début. Quelle joie d'avoir un petit bébé dans ses bras! De le regarder dormir. De sentir son chaleur près de soi.

Quarante-cinq ans sont passés, et pas mal des choses dans ma vie, dans le sien, mais moi, je sens ce matin, comme si j'étais encore là, le regardant enchantée, près de moi, dans ce petit lit transparente, mise près de mon lit d'hôpital.

Je vois encore, l'avidité qu'il mettait à boire, d'abord de mon lait, puis d'une verre, après qu'on m'a appelée a revenir travailler, seulement deux mois après sa naissance.

Les enfants: que des joies m'ont donnée!

Des soucis aussi, bien sûr, d'anxiété, mais surtout la fierté à chaque nouvelle "fait": lève la tête! sourit! grimpe! se lève! marche! parle...

En fait, mon fils n'a pas vraiment parlé jusqu'à il a eu deux ans, quoique il savait bien se faire comprendre, puis, d'un coup, il s'est mise à parler... en deux langues! Français et roumain, et il savait à qui parler l'un et à qui l'autre!

Aujourd'hui, il est trilingue, il a un don pour des langues, comme des dons pour pas mal d'autres choses. Et bientôt, je vais prendre le petit déjeuner avec lui. Ah oui, je vous disais, les enfants, des joies sans cesse. Et bien sûr, même après 45 ans, il reste mon enfant, avec un lien fort entre nous.

Les années ne comptent pas. Elles se sont envolées ce matin d'un coup pour m'apporter ce jour-là, ces heures là, mais aussi pas mal d'autres entre celle-là et aujourd'hui.

Il y a 45 ans


Il y a 45 ans, sans beaucoup de peine, rapidement, avant minuit, mon fils est né.

A trois heures d'après midi, je savais déjà qu'il a décidé a sortir dans le monde, mais ce n'est que après six que son père m'a pris à l'hôpital, en plus, là, la sœur m'ayant examiné m'a déclaré: c'est encore loin!

J'ai insisté pour y rester, ne pas retourner chez nous: je savais mieux. Mon mari n'y croyait pas non plus, il est même sorti "à boire un coup". J'étais seule dans la pièce et ce n'est que une fois revenu que j'ai eu quelqu'un pour appeler la soeur de nouveau.

"Vite, on doit appeler le docteur!" me dit-elle.

Une demi heure plus tard, un docteur, déjà en pyjama si je m'en souviens bien, sous son blouse, a aidé mon bébé a sortir doucement.

Il devait être onze heures et demi.

Il était couverte, au début, des cheveux noirs. "Comme sa grande mère paternelle" je me suis dit. Pourtant, rapidement, il est devenu blonde. Curieux, les bébés.

Ma grande joie était qu'on l'a mise dans un petit lit transparent près de moi et je pouvais l'allaiter quand il en avait besoin dès le début. Quelle joie d'avoir un petit bébé dans ses bras! De le regarder dormir. De sentir son chaleur près de soi.

Quarante-cinq ans sont passés, et pas mal des choses dans ma vie, dans le sien, mais moi, je sens ce matin, comme si j'étais encore là, le regardant enchantée, près de moi, dans ce petit lit transparente, mise près de mon lit d'hôpital.

Je vois encore, l'avidité qu'il mettait à boire, d'abord de mon lait, puis d'une verre, après qu'on m'a appelée a revenir travailler, seulement deux mois après sa naissance.

Les enfants: que des joies m'ont donnée!

Des soucis aussi, bien sûr, d'anxiété, mais surtout la fierté à chaque nouvelle "fait": lève la tête! sourit! grimpe! se lève! marche! parle...

En fait, mon fils n'a pas vraiment parlé jusqu'à il a eu deux ans, quoique il savait bien se faire comprendre, puis, d'un coup, il s'est mise à parler... en deux langues! Français et roumain, et il savait à qui parler l'un et à qui l'autre!

Aujourd'hui, il est trilingue, il a un don pour des langues, comme des dons pour pas mal d'autres choses. Et bientôt, je vais prendre le petit déjeuner avec lui. Ah oui, je vous disais, les enfants, des joies sans cesse. Et bien sûr, même après 45 ans, il reste mon enfant, avec un lien fort entre nous.

Les années ne comptent pas. Elles se sont envolées ce matin d'un coup pour m'apporter ce jour-là, ces heures là, mais aussi pas mal d'autres entre celle-là et aujourd'hui.

vendredi 28 janvier 2011

Davos 2011 sur le web

Hier, j'ai regardé avec plaisir le discours d'Obama, "État d'Union", devant le Congres et sénat réunis a Washington. Il sait parler et j'ai aussi aimé ce qu'il a dit, très intelligent. Mais je regarde surtout ou davantage maintenant, comment on parle et comment on obtient ce qu'on veut.

Et des gestes involontaires que chacun fait.

Le plus, de ce point de vue, j'ai aimé (publié dans mon blog Competent Communicator) la façon qu'il a rendu sa voix intime vers la fin. Cela lui a donné un impact plus forte. Comme s'il voulait partager uniquement avec l'une ou l'autre ce qu'il disait.

Ensuite, je me suis décidée d'écouter Sarkozi parlant a Davos. Cette année, il est président de G20 organisation mondiale, où en fait 25 pays prennent déjà part. Il  a vraiment parlé , très bien, avec beaucoup d'animation de visage, main et bras, mais je ne suis surtout rendu compte qu'il parle avec un niveau mondial et historique. La France peut être fier de lui, en tout cas, moi, je l'étais.

Tout petit de stature, peut être, comme se moquent certains, il a une stature comme De Gaulle à mon avis dehors de la France, on le respecte et écoute de plus en plus.

Et quelle flexibilité dans la voix aussi.

Seulement, Clinton a dépassé, cela. Il parle avec encore davantage de changement de visage, pratiquement sans s'arrêter, et ses bras, ses mains, disent, soulignent se qu'il dit. Comme il n'est plus "officiel" il parle plus ouverte et amusant aussi. Il a raconté pas mal à s'en souvenir, et parlé pas mal de futur, lui aussi, tous les trois, mais ce que j'ai aimé le plus était vers la fin.

Demandé si Amérique va faire "ce qu'il doit" il a répondu a la fin  Comme Churchill a dit avant que les Américaines entrent eux aussi en guerre contre Hitler, "Amérique va faire ce qu'il doit - une fois qu'il a épuisé tout les possibilités de tergiverser".!

Même en politique, on peut trouver de l'humour.

Et moi, je reste de nouveau chez moi, la plupart de temps, le froid et revenu, même si pas encore la neige. Et non, je ne vais pas "faire de politique" dans ce blog, mais je viens de passer des heures longues écoutant et, surtout, regardant, les discours divers. Alors, j'en suis remplie.

Après avoir écouté ses trois, je suis presque convaincu que la crise mondiale va apporter a la fin quelque chose de bon pour le futur. Des changements qui étaient absolument nécessaires.

jeudi 27 janvier 2011

Se parler


Fauteuils se parlent à Tuillerie, même pendant la pluie.

Cette photo suggère aussi ce qui a été, peut être quelques jours ou heures avant.

On ne dois pas s'arrêter à parler quand le temps tourne mauvais!

On ne devrait pas, au moins.

Réunion des ceux dirigeant les cinq clubs formant un ensemble, hier soir. D'abord, pas possible de connecter le projecteur, je savais que cela arrivera, il faudrait passer le temps à l'apprendre.

Aucun problème, on n'en avait vraiment besoin.

Quelqu'un parle, nous prend-il pour des gosses? En plus, on lui a offert trop de temps, il ne sais plus que dire vers la fin! Il s'y met quand même a remplir le temps au lieu de quitter gracieusement.

Une leçon apprise.

Mieux vaut finir "trop tôt" que prolonger avec peine!

Ensuite, pendant un temps pareil, le temps parait s'enfuir, sans qu'on se rend compte: quand on a vraiment que dire et l'on dit comme un ami et pas comme un parent grondant son fils! Un plaisir de l'écouter.

En regardant en arrière, j'ai appris, prise des choses des deux. En plus, je me suis rendu compte que je fais une bonne travail. Je connais pas mal les autres, même si pas tous. Et aussi, que la salle de rencontre, froid et loin est vraiment pas facile à retrouver.

J'ai senti à avoir bien passé la soirée finalement.

mercredi 26 janvier 2011

Heureux!


Gelzy, by Peire, photo d'une amie, en Avril 2008

Soyons heureux, c'est bonne pour la santé!

C'est la dernière trouvaille de BBC télévision britannique, et chaque jour, maintenant, ils nous "dévoilent" une façon de l'obtenir. D'être. De se réjouir.

Aujourd'hui, c'était l'affection. L'interaction avec l'autre. Sentir l'émotion de l'autre, par exemple son propre bébé et même, imiter ses mouvements. Affection, interaction, je comprends, mais imiter?

Observer, être ouvert à l'autre, sensible à ses émotions. Oui.

Interagir, montrer son affection, son appréciation. Oui.

Hier, mon petit fils a tenu ma main, m'aidant à traverser la rue. Il a tenu ma main m'aidant à monter, plus tard a descendre de bus. M'a embrassée, fort et longuement, se rappelant combien j'en ai besoin.

Et, bien sûr, probablement lui aussi.

En autre, que ses actions me touchent, me réchauffent, en même temps, à travers moi, il apprend à montrer son affection. Ressentir et montrer, et sentir la joie de le faire.

Pour le BBC, aussitôt qu'ils ont terminé ce matin avec le sujet "Heureux" ils ont commencé à parler de l'inflation qui monte, de l'économie qui ne bouge pas bien et du criminel suspectés qui nest pas assez bien traité, il paraît. Pour nous rendre heureux?

Trop peu des nouvelles sur le télé qui nous rend heureux! Presque pas du tout! Pourtant il y en a dans le monde et autour de nous! Je ne crois pas que la seule bonne nouvelle qu'ils peuvent trouver est "X a gagné contre le russe Y" en sport!

Il y a des joie dans le monde, même si nous ne pouvons vivre dans un état de bonheur euphorique sans arrêt. Un conseil que j'ai appris quand je suis allée la première fois visiter USA: souriez à l'autre.

Essayons. Aujourd'hui, souriez à quelqu'un sans raison apparente. Un sourire réchauffe le cœur, se reflète, s'amplifie. Nous rend nous et celui qui nous souris, peut être en retour, plus léger pour toute la journée.

mardi 25 janvier 2011

Brr, il faisait froid!


Pourquoi quelqu'un a choisi cette image comme son favorite?

Brrr, il faisait si froid, au milieu de Décembre!

Il neigeait sans arrêt!

J'ai réussi peut être, à mettre dans cette image, le froid, et la neige qui n'arrêtait pas.

Ce n'est pas une photographie "noir blanc" même s'il parait, à cause du contraste peut être entre les arbres et la neige.

C'était un jour de désolation et peur que ma fille ne va pas réussir a venir. Comme il dit un poème, la lois de la nature est le changement et rien ne reste infiniment. Ni le froid, ni la chaleur. Ni les jours de pluie, ni les jours ensoleillés. Ni la tristesse, ni la joie - hélas.

Finalement, ma fille est arrivée, même si avec retard de quelques jours, finalement, la neige a fondu, il pleut maintenant. Finalement, il fait aussi plus chaud et le printemps arrivera, bientôt.

Je me prépare a sortir, moi aussi de mon hibernent, sortir davantage, et à partir de la semaine prochaine devenir plus active.

J'ai planifié et démarrée des rencontres et des activités, ma mois de Février et Mars seront bien pleines. Je resterai un peu moins sur le sofa de salon, avec l'ordinateur portable, avec un DVD ou télé.

Je ne crois pas que je lirai moins, néanmoins.

Cette après-midi, sera passé avec mon petit fils, qui n'oublie jamais à m'aider à descendre ou monter en me tenant la main, le soir, je donnerai le courage à quelqu'un qui parlera la première fois.

Demain, une jeune lycéenne vient me demander de l'aide avec la site photo Flickr nécessaire pour sa entrée à l'université pour automne, et le soir, une autre réunion m'apprendra surement quelque chose, sinon, occasion de rencontrer des autres "toastmasters" déjà connus.

Alors, même cette semaine, tranquille, je ne serais pas tout à fait immobile. Plus le temps passe, plus j'ai la conscience de relativement peu qui me reste, et plus je dois être active.

Peut être, j'ai encore, du temps, mais pas infinie.

Et je ne suis pas encore tout a fait gelée, comme le jardin était mi-décembre.

lundi 24 janvier 2011

Je m'en souviens

Livres Bord de la SeineJe m'en souviens.

C'était il y a six ans. Tout au début de ma passion pour la photographie.

Je prenais des leçons avec d'autres femmes, semaine par semaine, nous nous rencontrions puis chacun allée se promener seule dans, chaque fois, un autre coin de Paris.

Ensuite, on imprimait et montrait nos photos obtenus.

La professeur, jeune, nous disait celle qu'elle aimait, celle qu'elle aimait moins, et ce qui était bon dans chacune d'elles. Sauf, quand, comme pour moi, on montrait trop des images à chaque fois.

C'est une des photos que j'ai aimé toujours et encore, même si pas beaucoup l'ont remarqué. Les ventes des romans au bord de la Seine, mais ici un vendeur les a mis directement sur le bord du pont. Dessous les voitures passaient et la rivière Seine coulait.

J'aime d'abord la diagonale, puis le contraste.Puis les livres choisis, dans les tas des livres là. Mais probablement, j'aime le plus le souvenir de l'enchantement que cette promenade, cette scène m'évoque, m'apporte de nouveau tout près.

C'est l'époque que ma passion est née, c'est les jours quand j'ai commencé à regarder davantage autour, sans passer rapidement, toute fermée en moi même, c'est le temps aussi de la romance qui commençait entre moi et Paris.

Probablement, je vois davantage dans cette photographie qu'il y en a réellement.

Je ne sais pas si on peut y voir la Seine couler. Je ne suis pas sûre qu'on devine les vendeurs des livres qui sont là depuis des siècles, je ne crois pas non plus qu'on se rend compte de la vitesse des voitures, qui passent sans s'arrêter et sans voir et se réjouir de tout ce que la Seine et Paris offrent. Mais pour moi, tout cela est comprise dans cette photographie.

Ensuite, je suis retournée, sur les quai d'autres occasions, j'ai prise les vendeurs des livres anciens, me souriant, me parlant ou dormant, lisant un journal ou en train d'ouvrir leur étale, mais malgré tout, c'est cette première image qui me reste le plus chère.

dimanche 23 janvier 2011

Deux parties d'un problème


Comme ces deux, qui ici se complètent, - photo prise il y a deux ans au marché des artisans de Greenwich, il y a souvent deux côtés d'un problème.

Ce matin, je me suis réveillée avant cinq heures et j'ai regardé une partie des débats de parlement Européenne. Le premier ministre de Hongrie, élu pour conduire la C omission Européenne pour les six prochaines mois.

Je n'ai pas assistée a son élection, juste a des débats et déclarations de certains membres représentant différents groupes, qui suivirent son élection et l'approbation de ses déclarations.

Chacun, ou presque, parlant dans son propre langue, français pour David Cohn Bendit par exemple, représentant les verts, d'autres, comme Victor Orban, qui vient d'être élu, en hongrois. Mais aussi d'autres en Hongrois, Allemand, etc. Hélas, tous traduits par BBC en Anglais, je n'ai pas entendu que certains des mots originaux, en français ou hongrois.

Certains députés parlaient avec beaucoup de diplomatie, d'autres, avec énormément d'éloquence et passion, comme Cohn Bendit. Il n'a pas changé tant que cela depuis 1968!

Certains ont attaqué le nouveau lois de parlement Hongrois sur la Press et Média, lois demandant de rapporter les faits "correctement". Il prétendaient que cela était contre la liberté d'expression!

Le débat serait: est-ce la presse doit contrôler le gouvernement élu démocratiquement, ou est-ce le gouvernement peut contrôler la presse, disaient-ils.

Pour certains ayant parlé, il n'y avait pas de doute, la média doit être en contrôle, même quand, comme maintenant en Hongrie, le parlement était élu avec 3/4 des votes.

"La majorité n'a pas toujours raison" dit finalement Daniel, dans un dernier mot privé, c'est à dire opinion privé et pas celle de groupe vert qu'il représentait. C'est possible.

Oui, mais...

Que veut dire "média" ?

Est-ce pas aussi des groupes d'intérêt, et pas toujours celui de "peuple" ou de la majorité des gens, est-ce pas aussi des tabloïds en quête des sensations, des fois essayant d'influencer sans vraiment bien vérifier la vérité de ce qu'ils publient ou dont ils parlent.

Je suis, personnellement d'avis que le média essaie trop de contrôler l'opinion public et le média souvent a tort en ce qu'il affirme, ne réfléchissant pas bien a ce qu'il publie ou montre ou affirme.

Non que je crois que nous devons obéir en tout aux gouvernements élus, mais il y a tellement des zones grises!

En plus, le Hongrois avait raison a dire, "on discute ici l'Europe et son futur et pas les lois et parlement Hongrois". Mais la discussion que j'ai écouté, intéressant, et on peut discuter pas mal sur la question.

Liberté de la presse, liberté des gens, je suis tout à fait d'accord.

Je veux pouvoir m'exprimer, je ne veux pas être arbitrairement arrêtée. Absolument sûre. Jusqu'où va ma liberté? Dire mon opinion, d'un autre, affirmer des choses même sans connaître trop si c'est vrai? Quand ce que je dis atteinte la liberté d'un autre, voire sa vie privée, ses lettres personnelles et confidentielles?

C'est bien de réfléchir, à ces questions, pas toujours aussi nettes qu'ils paraissent au première abord.
__________________________________________

Je viens de découvrir qu'on peut écotuer and beaucoup des langages les débats. Ci-dessous, un vidéo.
J'espère qu'il est bien traduit en français... ici. C'est long, je ne suis pas sûre de son intéret, mais je suis ravie de pouvoir la mettre, et on peut toujours en réfléchir sur l'Europe. "L'europe fort" dans l'importance duquel je crois. Est-ce qu'il apparait ou pas ici, je ne suis pas sûre... En tout cas il y a ici un lien.
Elle permet aussi à chacun de choisir la langue, au début, j'ai écouté en anglais, puis en hongrois et finalement, très bien traduit en français. Ce n'est pas facile de traduire, directement! Certains le font mieux que d'autres...

samedi 22 janvier 2011

Arrive!


Je sens que quelque chose arrivera, en regardant cette image.

Quelque chose que je ne peux pas arrêter;

Bon ou mouvais, aucune idée.

Bonne relations avec les membres de mon club, je me suis enfin habituée, après 8 mois, comment communiquer avec eux, et eux comment la faire avec moi.

J'ai déjà choisi mon successeur et commencé à lui apprendre comment interagir. Elle a déjà aidé, dès la première réunion. Les rôles changent fin Juin.

A demain.

vendredi 21 janvier 2011

 
Un sortie vers 1er arrondissement de Paris, un  mois ou deux avant de venir a Londres.

C'est toujours une agréable surprise quand d'un coup; d'anciennes images surgissent de loin ou intérêt pour mes images; pour une raison inconnu souvent; d'ailleurs. Flickr dit 5000 images regardées hier, pourquoi cette intérêt; je n'arrive pas à comprendre! Trois fois plus que d'habitude: je ne sais pas encore regarder; apprendre des raisons!

Quelques journées tranquilles devant moi:

jeudi 20 janvier 2011

Photos souvenirs


Faites beaucoup des photos, à chaque occasion!

Les photos témoignent, rappellent, restent, même après que les souvenirs se brouillent, s'effacent ou se modifient.

Le voilà, chaud, heureux, doux.

C'est le mari que j'ai photographiée, dans le train qui nous prenais vers notre voyage de noce. Oui, c'était "après", comme on peut le voir, tout heureux et tout contant de lui, mais aussi: quelle doux garçon!

Je pensais avoir commencé la photographie à 70 ans ou autour, mais non! Même si je n'avais pas fait beaucoup, ce que j'ai fais témoignent.

Aujourd'hui, en préparant de parler sur la violence conjugale, en regardant ce garçon doux et chaleureux de 27 ans, je me dis, je ne me suis trompée alors, c'est ainsi qu'il paraissait, ou était, alors.

D'accord, il n'était pas le même à 36 ans, mais... nous changeons.

Ou alors, avons, comme je disais de moi même aussi, plusieurs facettes. A l'époque de mon mariage, en 1960, il paraissait ainsi à tous qui m'entouraient, pas seulement à moi. Même s'il ne devais pas regarder toujours, tellement heureux et avec un tel chaleur.

D'ailleurs, même a 42 ans, sur la dernière photo famille, il était un beau garçon heureux et fière de lui même. Au moins, sur la photo, il l'était. Doux? Je ne dirais pas, mais se sentant bien dans sa peau, pendant que moi, je parais, sur la même image, gauche, pas sûre de moi.

Vrai, après notre divorce, j'ai pris d'assurance de nouveau et lui en a perdu du sien.

En tout cas, le voilà en jeune homme heureux. Contente.

Nous avons eu malgré tout pleine des bonne mémoires.

Aussi.

Faut pas les oublier!

mercredi 19 janvier 2011

Message de loin, Albert Wass

Depuis des années, Wass, noble Hongrois née en Transylvanie, était exilé aux Etats Unis, impossible de revenir dans son pays, son province natale, où le communisme régnait. Il avait même peur que Ceausescu avait envoyé ses sbires à le tuer. Cette poème avait été écrit alors. Il ne savait pas encore, seulement espérait que les vents vont tourner..

Message aux montagnes de mon pays natale,
La marche des étoiles est changeant.
Et les vents ont leurs lois,
Autant que la pluie, la neige, les nuages,
     Et il n'y a pas de mauvais temps, éternellement.
            L'eau cours, la pierre reste
            La pierre reste ...

J'envoie un message à la terre: produis,
même quand les corbeaux mordent tes semis,
Tolère quand on empoisonne les racines.
l'Ordre règne sur le monde
et les semences des céréales nobles ne se perdent pas,
   mais le futur ne saura rien des orties.
       L'eau cours, la pierre reste
       la pierre reste ...

Message  au forêt: n'ai pas peur,
   même quand les haches te font mal.
   L'arbre est plus forte que la hache,
   Au printemps, du reste saignant,
   Un forêt poussera encore, victorieuse.
   Il y aura toujours des arbres, quand la rouille
   aurait déjà dévoré depuis longtemps le fer tueur
   et le main lourd recevra des saintes réparations
      devenu un matériau utile sous le sol ...
            L'eau cours, la pierre reste
            la pierre reste ..

.Message à la maison, ou j'ai grandis:
 même si elle est détruite  jusqu'à la terre,
 les générations vont changer
   Les constructeurs heureux arriveront,
   et ressortiront tes fondations,
   et la pierre blanc ancienne de la morale
   va élever des murs, les toits, une église.

  des milliers de nouveaux Maçon Clément arriveront
   pas seule; et  avec du mortier et pas avec sang humaine
   construira un mur de la paix,
   avec l'eau bénite et pain blanche,
   bâtira avec de pierre ancienne une nouvelle maison.
   Message à la maison, qui m'a élevé:
        la fondation viennent de Dieu
        de Dieu viendra la volonté
        et reconstruira tes murs.

   J'envoie un message a mes anciens amis
   qui refusent reconnaître mon nom aujourd'hui:
   quand la roue tournera de nouveau,
   vous serez alors toujours mon ami,
   et il n'y aura pas de vengeance, haine, colère.
   Nous tiendrons les mains uns avec les autres et irons,
      et auront une volonté et un seul but:
           L'eau cours, la pierre reste
           la pierre reste ..

   Et j'envoie un message pour tout le monde:
   un frère, un parent, un étranger,
   aux méchants, aux bons,
  aux loyaux et aux ceux faisant du mal,
   à ceux qui souffrent et aussi
  a ceux dont les mains sont tachés de sang:
  Ayez soin et priez!
          Quelque part en haut sous le ciel
         les étoiles déjà se déplacent lentement,
               L'eau cours, la pierre reste
               la pierre reste ..

  Restez vrais et bons,
  pures et paisibles,
  forêts, montagnes, témoignes et gens.
     Pensez-y bien, à ce que vous faites !

   Déjà là-haut dans le ciel, on crée le outil,
   et l'arbre des étoiles se prépare
   les anges industrieux.
   viendront de nouveau,
   et commenceront bientôt un changement des étoiles:
   comme on le prédit dans le Bible
          on va mesurer les fils d'homme,
          et  comme il avait agit, ainsi il récoltera
                   L'eau s'enfuit et seulement la pierre demeure
                   mais la pierre demeure.

Traduit par Julie Kertesz, 2011

Hier, pendant que je l'écoutais réciter en hongrois, j'ai presque pleuré.
Son auteur n'a pas vécu le changement des étoiles, du régime, mais ces cendres reposent "chez soi" comme il avait désiré.  Encore deux ans, il aurait pu retourner en Transylvanie.

mardi 18 janvier 2011

Aller vers les autres

Avant d'avoir des gens qui vient voir mes photos, la plupart de temps, il y a l'élan que j'ai aller vers eux.

C'était la même chose pour les blogs.

Au début, je parcourais et commentais pas mal des notes de blog, enchantée ou intrigée par ce que je voyais, exprimant ce que je ressentais en les lisant.

Dans la photographie aussi, avant que j'ai plus de mille par jour venant regarder mes images, d'ailleurs, je n'y crois pas toujours que c'est vrai, je suis allée chez eux. Bien sûr, pas tous à la fois. Chaque jour, je découvre d'autres discussions et à travers eux d'autres images et d'autre photographes.

Je suis enchantée, combien il y en a!

Hier matin, un photographe débutant demandait de l'aide et conseil. Je suis allée voir ces photographes. J'ai non seulement découverte qu'il était un étudiant de 16 ans d'Australie, mais aussi des photos fantastiques. Par exemple le main d'une grand-mère autour d'un main de bébé, son petit-fils. Une jeune garçon épouvanté de ce qu'il voyait. Une femme laissant libre ses cheveux sous le vent assise dans le sable de la mer. D'après ses photos je pensais qu'il était plus mûr.

D'abord, je vais, je commente, je l'invite dans notre groupe; et probablement, ensuite, il viendra voir mes images, aussi. Aller vers l'autre, apporte souvent des amitiés, dans son sens large.

lundi 17 janvier 2011

Différences


Il y a six ans, mais cela me revient comme si c'était hier.

Je me sentais vieille et moche.

D'habitude, changer de tête, aller au coiffeur, aide à m'en sortir de cette état. J'ai trouvé un boutique à Val d'Argenteuil, j'ai garé ma voiture et je suis entrée, là, la première fois.

Celle où j'allais d'habitude, venait de fermer.

Deux jeunes femmes coiffeuses dans la boutique, mais pas mal des clients. Sans me connaitre, elles m'ont prise, mais m'ont fait attendre ensuite, pas mal de temps.

Heureusement, j'avais avec moi ma petite camera, et en attendant qu'on lave mes cheveux, j'ai commencé à prendre des images toute doucement.

Je me sentais a la place de ces vieilles dames contrastant tant avec la beauté et jeunesse des femmes sur le mur, et même de la jeune fille travaillant. Ce n'est que plus tard que j'ai observé combien elle en avait marre.

La deuxième coiffeuse, "principale" était très sexy mais pas sympa, elle bougeait tout le temps et était plus difficile à prendre de loin, sans lui demander.

J'ai aussi prise une image de moi dans le miroir , plus tard, pendant que j'attendais que le permanent "cuit", en sortant, j'ai prise une image près de ma voiture, ravie de ma nouvelle tête!

Je ne suis jamais retournée, d'abord parce qu'on a brulé mes cheveux, on m'a fait un tête de mouton, mais surtout je ne les ai pas trouvé sympa.

La sortie n'est pas était en vain pourtant. Non seulement, je me suis sentie mieux dans ma peau pour un moment, "plus belle, plus jeune, plus sure de moi", mais je suis revenue avec cette photo, une des meilleures que j'ai jamais faite, d'après les autres photographes de flickr.

Ce matin, encore un l'a mise entre ses favorites, c'est ainsi que dans un instant, je me suis retrouvée il y a six ans, comme si j'y était encore!

Et voilà toute l'histoire racontée en image. Départ de la maison, coiffeur, sortie et retour.
 
J'avais prise 24, en tout ce jour, et si je n'avais pas regardé avant vous le mettre ici, j'aurais oublié qu'en sortant, je me suis offerte aussi des tulipes rouges! Les tulipes et m'offrir des fleurs à moi même, c'était depuis des années l'affirmation de mon indépendance: je ne dois pas attendre qu'on m'offre des fleurs, je peux me les offrir à moi même. Il a fallu de temps, que je le réalise.

dimanche 16 janvier 2011

Dedication, sens de service

Richard, Competent CommunicatorUne des plaisirs de aller dans le club où nous apprenons tous ensemble a mieux parler, communiquer, est de voir les autres se développer, grandir, s'épanuir.

Richard, autour de 50, parait plus jeune. Il est arrivé a notre club, ayant un peur monstre de dire le moindre mot en public, il nous a raconté récemment, que même en famille, il avait peur de raconter quoi que ce soit.

Il s'est inscrit comme moi au deux clubs, pour se forcer a parler davantage, et participé a tous les concours, utilisé tout occasion a parler, même au début, quand il tremblait de peur avant de prendre parole.

Au début, il continuait a trembler même devant le public.

Avec le temps, il a pris plus en plus de confiance. Il a raconté de soi, son père, et nous avons eu plaisir a chaque fois. Certains, même tellement énergique que fatigante a suivre, mais son 10e project, la fin de Manuel un discours qui inspire était fantastique! Il a donné tant de soi même et en même tant tant pour nous tous à comprendre que c'est nous qui fabriquons le géant, qui se dégonfle, comme son peur de parler.

Mercredi, il devait conduire notre réunion, mais sa fille a été opérée. Il a passé des jours et nuits, a côté, d'elle, et j'étais convaincue qu'il ne pourrait pas venir. Il vient m'écrire, qu'il est épuisé, mais sa fille réponds bien aux antibiotiques et il sera là, "au poste": je suis sure que nous en ferons une magnifique r.
réunion" m'écrit-il.

Que de plaisir de connaitre des gens comme lui!

samedi 15 janvier 2011

Remplacement


A la place de la boutique de Vente et Achat de Chevaux, on trouvait centre Paris, il y a quelques années, une boutique des foulards.

Je ne sais pas ce qu'on trouve aujourd'hui/

A la place de notre président, mercredi qui vient, c'est moi qui fera les introductions et fermerai la réunion.

Ce qui veut dire "vice président" à le remplacer les soirées quand il ne peut pas venir. Comme la semaine prochaine, la première fois depuis sept mois.

J'ai commencé à m'y préparer.

Les clubs "toastmasters" était formé dans un sous-sol d"une organisation de jeunesse chrétienne de Californie, en 1924.Quelques années plus tard, plusieurs clubs et un manuelle commun avec 15 projets, encore ne vigueur quand j'ai joint en 1977; maintenant réduits à 10.

Ce n'est qu'après 1968, qu'on a introduit la nomination "officielle" des "Compètent TM ou Communicateur" et plus tard ceux pour avoir fini les Manuelles Avancées Spécialisées.

C'est bien d'avoir une vue de passée, et se rappeler que jusque 1974 les femmes n"ont pas été admise. Personne ne rappelle pas officiellement, que longtemps, trop longtemps, c'était pour "des jeune hommes chrétiens blancs" seulement. Une passée qu'on préfère oublier, maintenant, que c'est ouverte à tous.

Certains clubs, choisissent encore qui admettre, votent a chaque fois, mais c'est l'exception dorénavant.

Ce remplacement, me fait réfléchir aussi sur les buts, "mieux parler, écouter et penser" et les promesses que les membres oublient trop vite "attendre les réunions, préparer au mieux les projets, prendre divers rôles, inviter des visiteurs," et pas mal d'autres.

Au début, je me disais "que dirais-je", je sais maintenant!

vendredi 14 janvier 2011

Il pleut, enfin!


Photo prise par Maria SG le 8 mai 2008, "Rain at last": il pleut enfin - à Cyprès.

Des fois, hélas, il pleut trop, les rues sont infondées, mais ailleurs, dans le monde on attend la pluie et on est enchanté quand cela arrive!

En me promenant a travers les photographes et les images prises par celles et ceux qui ont laissé un commentaire sous mes images, j'ai tombé ce matin sur celle-ci.

Des fois une photo prise de près parle davantage, mais en plus sa titre m'a saisie aussi. Et puis, elle donne vraiment l'impression de l'eau qui coule. On peut presque l'entendre, la boire, la voir s'écouler.

Voilà d'autres photos découvertes ce matin.
footprint after sauna
Pas dans un sauna, par Simo-Oto de Helsinki
Encore une fois, tout près et peu sur image est tellement parlant!

BILBAO
Bilbao par Charlot

Je voudrais bien pouvoir en prendre pareil!

Ef finalement, celle-ci saisissante aussi par son apparente simplicité.

On pourrais toucher, goûter, sentir ces oeufs, n'est pas?

Et pour finir, une de mes propres photos, prise en Mai 2008 centre Paris, retrouvée hier, mise en haut de mes images et commentés par les mêmes photographes.
Paris Center Walk-039
Hier, j'ai même rassemblée un petit album avec les images prise ce jour, dans ce coin. La boutique, vendant les foulards, vendait des cheveux jadis.

J'étais fascinée par ce cheval rose, et c'est des moments qui restent en moi, comme si j'étais encore. Des découvertes au cours de mes flâneries à Paris.

jeudi 13 janvier 2011

Il suffit d'un seul


Hier, j'ai dit un récit pour la première fois dans mon nouveau, troisième club. C'était à hasard, tiré un entre cinq.

C'était sur comment je suis arrivée de Paris à Londres et découverte, après six mois, les clubs Toastmaster et la joie de parler au public. J'ai réussi à me faire connaitre, mais aussi me rapprocher des gens.

Le plus important pour moi, j'ai réussi, de nouveau, de toucher un.

Après la réunion, plusieurs sont venus me dire "j'ai aimé ton récit" mais un est venu me dire! ce que tu as dit, m'a décidé dans mon problème que j'avais devant moi. Avant, je ne savais pas, pendant que tu as parlé, je me suis décidé: je vois joindre un club toast master, moi aussi!

L'important n'est pas ce qu'il a décidé ou non, mais d'avoir un impact et encourager qu'on peut. Hier, c'était pour ne plus hésiter, puisqu'en mon discours, au moins, je me suis décidée rapidement, sans hésiter, sans trop, appariement, réfléchir. Me tourmenter.

Après mes deux derniers récits, j'ai eu aussi un a chaque fois qui est venu vers moi me disant combien ce que j'avais raconté le concernait, l'aidait dans sa vie.

Oui, il suffit d'un seul, et c'est le plus grand cadeau qu'on peut me faire, à me le dire, oui, il suffit d'un seul, et le travail de préparation n'était pas en vain.

Bien sûr, la préparation d'un récit personnelle, m'aide déjà moi, après je voie, je comprends mieux l'événement et ces circonstances. Donc en fait, déjà deux personnes qu'il a touché.

PS cette image m'est revenue de loin: je l'avais prise le 14 juillet 2006 Place de la Bastille. Hier, un autre photographe l'avais trouvé et aimé. Elle a dû toucher quelque chose en elle, aussi.

mercredi 12 janvier 2011

Flâner à



Flâner à... D'après moi, flâner est une intention. Une façon de se promener, sans but précis, découvrir, en se laissant aller a gauche et à droite, d'après où notre regard se porte. S'arrêter, repartir. Prendre une photo ici ou là. Rêvasser.

En partant du groupe "flânerie/Flickr" - je viens d'assembler 30 photos de divers villes par où j'ai "flâné" et trouvé à hasard, des images, lieux, gens, situations qui m'ont saisie. Mise, ici dans l'ordre que je les ai prise, de 2004 a récente.

mardi 11 janvier 2011

Hier


Non seulement, j'ai assisté à une aube fantastique, hier, mais l'après-midi, j'ai vu un magnifique film.

En fait, c'est la première fois que je vais au cinéma depuis que je suis a Londres, mais je suis très heureuse de la choix.

Le discours de Roi, je ne sais pas d'ailleurs comment le film est traduit en français, parle du futur Roi Geroge VI et son therapiste. Joués par deux acteurs formidables, l'un d'eux Geoffrey Roy Rush avait été l'Inspecteur Jovert dans les Misérables.

On y croit et on vit dedans, même si ce que le film montre se passe la plupart, quand j'avais deux ans. En fait, en vérité, une partie s'est passée quelques années avant, mais en film, ils ont condensé et on a l'impression d'être dans l'année quand il est devenu roi.

Les relations entre celui qui l'aide a mieux parler et le futur roi, c'est rendu d'une façon époustouflant, mais aussi tous les autres relations, pleins, d'après moi, des nuances subtils.

La seule qui parait seulement un caricature, est mme Simpson, pour laquelle le frère ainée avait abdiqué. Dommage, pour moi, même si elle n'apparait que peu, cela diminue le "tout" magique du film.

Oui, c'est aussi un film sur la monarchie, sur le discours donné au roi par le première ministre de lire, et les vies des deux familles, mais davantage, j'ai l'impression que c'est un film sur le devoir, et une lutte contre soi même et ses propres défauts, pour s'améliorer.

Ce n'était d'ailleurs autant à parler en public que lire pour le radio...

En fait, c'est un film pour se dépasser soi même et donner confiance à l'autre qu'il peut.

lundi 10 janvier 2011

En direct: l'aube, il y a une heure!

Le soleil d'hiver c'est levé, enfin, sans que les nuages obsurcissent le levé de soleil, après huite heures.
Je ne résiste pas pour vous l'offrir en "direct" presque.

Le printemps n'est pas encore arrivé!


On s'étonne, qu'est ce que cherche les arbres de printemps en Janvier.

Ce n'est pas aussi facile de les faire venir, que les jonquilles de pot!

Si, si, bien sûr!

Il suffit de quelqu'un ayant trouvé l'image prise depuis longtemps, dans ce cas c'était en Février 2008, il y a trois ans et décide qu'elle l'aime, qu'elle veut la revoir, ou écrit une commentaire nouvelle dessus: et une notice arrive a ma boite de lettre me prévenir.

Et voilà!

Les fragiles fleurs de printemps, prises avec flash sont ressuscitées! Et je ne me souvenais même pas de ces fleurs. Pourtant déjà 5 l'ont mis entre leur favorites.

Des joies doubles. Non seulement parce que quelqu'un aime "mon" image, ma "création", mais surtout parce que l'image oubliée reviennent de loin.

Et, bien sûr, j'attends le printemps arriver avec impatience.
Anemone closeup
Aussi prise en 2008, cela c'est moi qui l'a trouvée.

Me voila que soudain, les fleurs de printemps me revient avant le temps...

dimanche 9 janvier 2011

Dediées aux fantastiques femmes


Ces fleurs, sont dédiées aux fantastiques femmes, et hommes, qui m'ont contactée par email, par telephone, ou que j'ai même rencontrée personnellement, à travers, a cause de cette blog.

Il sera bientôt, l'anniversaire de 6 ans, j'ai ouverte ce blog en Janvier 2005. Il faut que je reconnais: depuis je ne me suis sentie plus seule, isolée!

La première fois, j'ai eu le sentiment des autres qui se soucient de ce qui m'arrive, quand l'eau a coulé dans mon salon!

Un peu plus tard, j'ai eu la surprise de rencontrer à Argenteuil, une bloggeuse de Canada!

Quand j'étais écœurée de comportement d'une visiteuse venue pour un mois de New York, habitant chez moi, une autre bloggeuse, m'a invitée chez elle, près de Rouan, pour un long weekend en famille!

Des nombreuse de vos commentaires et e-mails, m'ont chauffée la cœur dans les moments que j'avais le plus besoin. Dernièrement, Claude et Elise! Merci!

Je suis assoiffée souvent de contact, malgré que ma vie "sociale" a Londres devient plus riche qu'en France, avec les clubs que je fréquente. En six ans, jour a jour, parlant à vous, hommes et femmes de toutes âges, vous êtes devenus mes copains. Je n'ai pas le sentiment de parler aux étrangers!

Plus, que tout, j'ai le sentiment d'être acceptée. Ne plus être "apart, différente, l'autre." C'est merveilleux.

samedi 8 janvier 2011

Tant a faire!

Il y a tant a faire, même quand je ne sors de chez moi.

Un jour de détente, un jour de pluie dehors et chaleur dedans.

Souvenirs, fleurs.

L'un de moi a maman, oui, ses cyclamens vivent toujours, et oui, depuis 50 ans, je continue a lui offrir et penser a elle et lui dire tout ce qui lui ferait plaisir dans ma vie.

L'autre offerte par ma fille avant son départ, s'ouvre doucement, fleur par fleur. Elle est avec moi aussi dans ma mémoire comme ses trois fils, même s'ils vivent si loin.


A l'hôpital, j'ai prise cette affiche sur la violence domestique. Vais-je en parler?
L'affiche dit, ce n'est pas "ne pas réussir de se dominer" mais "dominer l'autre". et encore pas mal des autres choses. Tant a réfléchir. Comment vais-je réussir à en parler?

D'un côté amour, d'autre côté violence et, surtout, la peur qu'il peut éclater à n'importe quelle moment. Ne pas comprendre comment "il" a pu se transformer ainsi et ne pas savoir que faire pour ne plus le "provoquer" et, d'habitude, ne pas savoir comment en sortir.

Mais pour le moment, je prépare mes histoires et réunions, l'histoire "Famille" ne viendra qu'en Mars.

vendredi 7 janvier 2011

Le géant dégonflé

Nous nous faisons souvent, ou si pas souvent, des fois, un géant nous menaçant, pour quelque chose futur.

Cela fait des semaines que je craignais l'examen médical devant moi.

Hier, finalement, il a eu lieu, et le ballon s'est dégonflé.

D'accord, j'ai dû attendre a l'hopital plus, que prévu. D'accord, j'ai oublié même prendre mes lunettes, avec moi, tant mieux, j'avais mal aux yeux. D'accord, j'étais seule.

Et alors?

Des fois, on oublie qu'on est devenu adultes.

Ils m'ont préparé pour pire examen, et je l'avais vécu dans mon imagination tant de fois! Finalement, il n'a pas été nécessaire du tout. "ça va, il n'y a rien de vraiment suspect" disait le docteur pendant qu'il m'examinait. Non, pas a moi! Il ne m'a pratiquement rien dit ou expliqué à moi... Il parait à un jeune docteur assistant, expliquant à fur et au mesure ce qu'il trouvait.

Bien sûr, l'important est que je ne dois pas être opéré et le cancer supposé par les dernières analyses était une erreur, du dernière m'ayant examiné. Je n'ai pas dû non plus subir anastésies locales, et je n'ai pas eu mal non plus.

Pourtant, combien de fois je me le suis imaginée!

On gonfle les peurs de futur choses craints, et ils deviennent de plus en plus géants, jusque la plupart de l'attention ou vie même et presque bouffée!

Je suis relevée. Je me sens légère. Je me sens, d'un coup pleine de l'énergie nouvelle!

jeudi 6 janvier 2011

Mes choix, ci dessous

Quelques unes de mes images préférées : ici j'ai mise les plus récentes prises au début. 33 en tout

Chaqu'une a une raison de figurer ici

mercredi 5 janvier 2011

La réalisation la plus importante?


On m'a demandé hier, pendant ma visite a un club où j'avais invité de donner un coup de mai:

"Quelle était la réalisation la plus importante de 2010?"

J'ai répondu, puisqu'il s'agissait de Toastmasters club: d'avoir parlé a Manchester, devant 300 pendant 12 minutes et en plus, pour la première fois, d'avoir été payé et apprécié pour cela.

Pourtant, en regardant en arrière, mes récits dits a Canal Café Theatre m'ont données plus des joie. Je "sens" le publique et "communie" avec eux, là-bas.

Quelle importance que je ne suis pas payée en argent, je suis payée en... plaisir. Je me sens si bien pendant et après, comme je suis heureuse aussi à chaque fois que je prépare, créé, apprends, une nouvelle histoire ou modifie une ancienne.

En regardant en arrière, comme j'ai rencontré hier un collègue se souvenant de l'année dernière quand je suis venue parler a la dernière minute pour aider un club, c'était la même histoire personnelle que j'avais raconté alors qu'en Décembre au Théâtre.

Comment j'ai changé du métier a 47 ans.

Quelle progrès! Je mesure la différence entre ce que j'ai dit alors, et pas si mal, et mon "performance" récent: finalement, c'est cela ma réalisation la plus importante! Le progrès fait, pas a pas.

Les spectacles, récits, lieux, ou titres obtenus ne sont qu'un petit mesure du progrès. La plus importante était que j'ai appris quelques choses sur le chemin. Quelques choses qui me font plaisir et quelques choses qui me font avoir un rapport encore meilleure avec mon audience.

C'est cela que je souhaite a obtenir aussi cette année!

Faire des progrès et aider, comme l'année passée certains d'autres autour de moi en faire.

mardi 4 janvier 2011

La nouvelle annee


La nouvelle année a bien commence avec ma fille près de moi,

Hier, je suis allée faire des courses, ensuite, travaillée, pour mon club et répétée mes poèmes que je vais lire demain.

La première, de Erdelyi s'appelle Matin, 'je me rappelle un beau matin, me promenant avec mon père main a main sous les sapins, la vie était bon, la vie était belle, ainsi commence le poème, qui se termine triste, mais je retiens surtout comment la vie est belle quand quelqu'un te tient la main.

La deuxième, de Rosetti, vient de loin et parle de Rappelle-toi de moi. Il sera alors trop tard a me tenir la main, et moi, en partant retourner...

La troisième, de Heltai, est un 'Madrigal' elle dit :

Comment tu m'embrassais et comment je t'embrassais
Comment tu me serrais et comment je te serrais
Au mois du Mai sous les acacias
Je ne m'en souviens pas

Il est l'hiver et la neige a recouverte tout
Il a gelé le printemps dans mon coeur
Il est hiver et je ne m'en rappelle plus
Comment tu m'aimais et comment je t'aimais

Comment tu m'embrassais et comment je t'embrassais
Comment tu me serrais et comment je te serrais
Furtivement, secrètement tout oubliant
Sous les acacias, je ne m'en souviens...

Tous les trois parlent de souvenirs et mémoires anciennes, des mains qui tiennent un autre, de chaleur venant. La première plus triste et nostalgique. son pere mort lui tenant la main maintenant, la deuxième plus souriant, pardonnant a l'autre s'il oublie un moment, et la troisième coquin, dit qu'il ne se rappelle plus puis énumère les moments délicieux.

Je suis en train de travailler sur l'intonation. Aussi aider dans l'organisation de la réunion de demain. Pourquoi je n'arrive pas a dormir? Il le faut!

Je regarde encore une fois la sourire de ma fille et je m'en vais dormir.
Agnes après visit a British Museum
A demain!

lundi 3 janvier 2011

Il reste "vivant"


Les statues restent vivants, de plusieurs milliers d'années nous apportant cette visage.

Je ne peux très bien exprimer, pourquoi ce lui qui est resté en moi, m'impressionnant profondément, mais son impact avait été si forte en moi, que je l'ai retravaillé plusieurs fois.

D'abord, en l'isolant de son voisin avec qui il était exposé. Ensuite, lui donnant un cadre différent, bleu. Puis, a la troisième fois, augmentant le contraste il est devenu plus tridimensionnel.

Une autre image est restée pourtant davantage dans ma mémoire, une que j'ai vu et reproduite. Elle reste ma préférée de la visite de Musée, ce jour-là, mais aussi depuis un temps.
British Museum (20)
Le petit garçon était fasciné par ce qu'il voyait.

Les trois écritures, une après autre, en différent langues et alphabets, ayant aidé à déchiffrer les hydrographes. C'est la campagne de Napoléon, m'a expliqué ma fille, qui a permis sa découverte en Égypte. Ensuite, a cause de Waterloo, me dit-elle, il est arrivé ou resté a Londres. Dans le Musée, c'était le plus entouré et regardé. Même par ce jeune garçon!

Je n'ai pas "vue" le magique qui s'y dégage, nettement moins que dans le statue de cet homme ou les statues avec tête d'animal ou corps d'animal et homme mélangés. J'ai pensé un peu au pillages a travers des siècles, d'un pays a l'autre, mais aussi au trésors humaines qu'on préserve ainsi probablement mieux.

Si les turques auraient emportés les livres manuscrits dans l'énorme bibliothèque hongrois, il y a mille ans, au lieu de les bruler!

Qu'arrivera a toutes mes photos quand je ne serais plus là pour renouveler l'abonnement? Je viens le faire, pour deux ans... Oh, je sais bien qu'elles ne sont pas des chef l'ouvres, mais au moins, une témoignage. Je voudrais bien, que ceux qui veulent, puisse en profiter.

Or tout ce qui est "cyber" est tellement fragile!

J'ai fait imprimer quelques images, hier, en renouvelant mon abonnement, flickr m'a offert un livre gratuit. Au lieu de mettre les images préférées depuis six ans, j'ai mise seulement quelque 45 images de l'année dernière: 2010. Moitié, environ de celle que j'ai mise dans mon album '2010".

Et maintenant, c'est 2011!

En 1950, je me demandais si j'arriverais jusque 2000, et me voila, entrée dans mon 77e année, enfin, bientôt. J'aime bien "2011" et j'espère que nous allons avoir une année riche ensemble, vous et moi cette année!

Oui, non seulement des hauts, probablement aussi des bas, mais je suis optimiste, ce matin, tant pour vous et ceux qui vous entourent que pour moi et les miens.

Faisons de 2011 une merveilleuse année!

dimanche 2 janvier 2011

Ma fille


Quelle plaisir, de l'avoir vue, d^avoir eu la joie à se promener avec elle, même quand mes pieds hurlaient: assez!

Je suis vraiment trop rouillée!

Grâce a elle, j'ai découverte la pièce magnifique de Oscar Wilde: le mari idéal, qui n'a pas vieillie depuis plus d'un siècle! Je me suis promenée et admirée les lumières sur la Tamise, et allée de nouveau a British Museum. Quelle civilisations déjà il y a 5000 ou 4000 ans!

Hier, nous sommes allées (et revenues dans la pluie) a l'observatoire royale, de Greenwich, au milieu du parc, le lieux d'où l'heure 0.0.0 commence d'être compté. Puis, vue un film DVD ensemble.

Je vais maintenant petit déjeuner avec elle, avant son départ.

Le temps est passé si rapidement!

Mais déjà cette nuit, je me suis réveillée, non pas en me tourmentant qu'elle partait, mais en cherchant les meilleurs moyens de raconter mes récits, la semaine prochaine...

Oui, maintenant, au travail!

samedi 1 janvier 2011

British Museum pour la fin d'année


Ma fille voulait voir les tablettes ayant permis de déchiffrer les hydrographes, nous avons donc visitées le British Museum aujourd'hui.

J'étais émerveillée voir tout ce que la civilisation a crée, même déjà 3000 ans ou presque avant JC, donc environ il y a 5000 années!

Et ensuite, plus de 2800 as avant aujourd'hui!

J'ai prise environ beaucoup des photos, mais ce n'est pas aisée à les prendre bien, l'important est que les statues, pentures, objets restent encrés en moi, mais surtout l'admiration pour les gens ayant vécu avant. Très longtemps avant nous.


Juste quelques images vite mise sur le web, je vais avoir quoi faire pour choisir et améliorer les autres.
Oui, j'étais bien fatiguée a la fin, nous sommes arrivées vers 11 partis vers 3, mais j'ai appris pas mal, de nouveau.

Ce soir seule, demain pour l'année nouvelle je serais avec ma fille. Peut être un peu en avance?

Je vous souhaite à tous une très bonne nouvelle années 2011.