dimanche 28 février 2010

Brighton : une heure de Londres en train


L'été dernière, nous y sommes allées en voiture: il nous a fallu presque deux heures, en train c'est 50 minutes. Mais en fait, pas tout à fait, parce que aller jusque la Gare Victoria, il m'a fallu aussi presque une heure.

En tout cas, pour 10 pds aller - retour, j'y suis allée tranquillement, hier, et nous avons eu une magnifique temps d'hiver! 15 autres retraités photographes, ce n'était pas facile de suivre l'un l'autre, et après avoir mangé, vers deux heures, je me suis perdue d'eux et continuée seule.

Sur la route, j'ai découverte une musée qui m'a enchantée, et aussi une rue piéton très intéressante, pour laquelle hélas, je n'ai eu que mes propres yeux: la batterie de mon camera m'a lâchée après trois ou quatre heures des photographie.

Très heureuse de ma sortie, revenue toutefois bien fatiguée! cela valait la peine! Tellement à voir à Brighton!

Voilà quelques images tirées entre pas mal d'autres. Je crois qu'elles sont plus intéressantes à regarder en grand format, que voilà.

samedi 27 février 2010

L'angle compte


Le point de vue qu'on regard quelque chose compte, et suivant comment on la regard, nous la voyons différent.

Aussi, avec le Temps, et notre propre sentiments, ce qu'on perçoit peut changer. Avec les photos et des fois, même en les transformant, les regardant de plus près ou en détail ou des parties, je comprends ceci mieux qu'avant.

Aussi, quand je me mets a raconter une histoire, quelque chose de mon passé, à travers le récit et les souvenirs, même ce passé change, se modifie. J'étais stupéfait, quand j'ai entendu la première fois "le passé change" - bien sûr, ce n'est peut être les faits mais comment les voyons à un moment donné qui se modifient.

Aujourd'hui, je vais a la mer, en train, avec d'autres de mon âge, aussi des photographes. Je ne sais pas quoi attendre, mais quelque chose arrivera. Autant que j'aime la chaleur de logement, autant c'est bien de bouger de temps en temps. Même, des fois "sortir de mon zone de confort" comme on dit a Toastmaster des fois.

vendredi 26 février 2010

Long temps après....


Les fleurs pour apporter le printemps, se sont ouvertes et ensuite, je les ai laissé dessécher, sans m'en occuper, elles étaient là, parce que je n'avais pas envie de les jeter encore.

Ce matin, j'ai décidée en prendre quelques images, les mettant dans la fenêtre de la cuisine.

Ensuite, a l'ordinateur, jouer avec quelques unes des images.

Vieille, sec, fatiguée, ainsi de suite, elles a une certaine beauté.

En plus, même si je ne sais pas du tout dessiner, en jouant avec, je me dis en regardant le résultat, j'ai quand même au moins un peu des yeux artistiques.

La même fleurs sur fond noir, je crois encore mieux présentée.

Aussi, en écoutant hier mon petit fils lire l'histoire avec l'Ogre, les deux Ogres, puisqu'il y a un sympa et un méchant, l'extérieur ne montre pas ce qu'est à l'intérieur! j'ai pris conscience de ce que je dois faire. Je vais répéter mon livre "Dire des histoires" jusque toutes les cinq sortent parfait et plaisent à presque tout le monde!

Je vais apprendre en trouver des meilleures, surtout les mieux les raconter les prochaines fois. le tout est ne pas croire que dorénavant "je sais" et alors, je vais travailler plus, faire plus des efforts.

Faire un petit progrès, relative à moi même.

Ou alors, avant que je le change, mais déjà seulement une partie de l'image prise.
Jonquilles sechées-4d

jeudi 25 février 2010

Traduit en Français, l'interview avec Stéphanie Sadler

London Art Spot: Julie Kertesz
Traduit d'un interview donné pour le blog anglais de Stéphanie, note paru le  7 février 2010 · 

Les questions m'ont donnée pleines des choses à réfléchir, et je suis impressionnée par tout qui en ressort, j'en ai besoin d'un peu de courage après ce conte pas réussi de mardi soir! Ce matin, mon petit fils m'a montré son cahier des contes, et il sait mieux raconter (et l'écrire) que je l'ai fait mardi!

Je vais ajouter les images, mais mieux, aller sur la page anglais pour les voir?
))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))))

Julie Kertesz, 75

Né en Hongrie il ya presque 76 ans, Julie est grandie en Transylvanie (jusqu'à ce qu'elle avait dix ans, province de la Hongrie, ensuite la Roumanie). À l'âge de 30 ans, elle arriva en France. Elle s’est installée à Londres depuis Juillet 2008. Ici, elle commence d'utiliser l'anglais - sa quatrième langue ; explore les merveilles de la ville et rencontre près de 1000 Londoniens pour les photos  impromptues qu'elle recueille dans son album ‘Londoniens’ sur le site web ‘Flickr’. 

«Un beau couple dans la rue"

Julie est plus fier de ses deux enfants et cinq petits-enfants que de son doctorat en physique ; et plus fière qu'elle peut raconter une histoire en anglais au Canal de café-théâtre avec SPARK que de ses 1000 visiteurs par jour de ses photos sur la site web Flickr. Elle est plus fière de son groupe! Afterclass!, un atelier de photographie sur Flickr, déjà à sa 45e mois thématique, que d'avoir gagné le 1er prix en 2009 dans un concours appelé la Nuit des musées a Londres organisée par Culture24. Elle est plus fière de son blog que de ses photos et les contes. Les blogs lui permettant de donner du courage à ceux ont peur de passage de temps, à n’importe quel âge. Ses notes rappellent, jour à jour qu’à tout âge, même ‘après 70’, on peut se sentir et penser jeune et continuer, à accumuler des nouvelles compétences.

«Dans le bus 53 London"

En plus d'être un blogueur passionné (y compris un blog où elle a publié son premier journal intime à partir de l'âge de 10 ans), une photographe et conteuse, Julie vient d’améliorer ses compétences en art oratoire a Londres avec le Club Toastmaster. Ce fut sa principale activité l'année dernière et elle vient juste d’obtenir un diplôme de ‘communicateur compétent’. À Argenteuil, en France, elle est appelée «Mamie Blagueur et photographe» sur la page parlant de ses activités publiée par la mairie dans son magazine de janvier 2010, distribué à tous habitants de la ville où elle avait vécue pendant sept ans. Julie aime aborder les gens pour les photographier, elle est aussi membre de LIP, l’association des Photographes Indépendants de Londres.

Vous pouvez la suivre dans ses notes quotidiennes de ses blogs « Il y a de la vie après 70 ans », « Life in London after 75 » mais aussi sur ses albums et pages photo Flickr . Si vous avez 10 minutes de plus, écoutez Julie raconter l’histoire de la façon dont elle est arrivée à Londres devant une audience à Canal Café Théâtre avec la thême ‘maintenant ou jamais’, le spectacle et récit enregistré en direct au théâtre. ee.mp3

«Les gens Portobello et Curiosités - 75"

LLO: Comment le fait de vivre à Londres influence votre créativité?

JK: A Londres, j'ai découvert d’abord les groupes ‘meetup’ : je suis allée aux réunions hebdomadaires Artist's Way au Royal Festival Hall pendant six mois, mais aussi des ballades avec diverses groupes photo de la ville. J’ai ensuite, découverte la groupe des Photographes Indépendant de Londres, Satellite de Greenwich. J'y ai parlé là sur divers aspects de la photographie, mais aussi aux jeunes photographes de  King Université. J’ai aussi découvert à mon arrivée, au fur et à mesure de l’année, les différents festivals de différents groupes habitant ici, et a été enchanté par la facilité à Londres de prendre des photos de personnes.

Finalement, j'ai découvert les clubs Toastmaster de Londres, il ya une année ce qui m’a permit à rafraîchir mon aptitude de parler en public et de commencer de plus en plus à raconter des histoires, la plupart, des récits personnels. Maintenant, j'ai l'intention de tisser tout cela ensemble dans un projet multimédia alliant la photographie, les courtes pièces vidéo et de la narration, en direct mais aussi sur le web.

Oui, Londres stimule beaucoup ma créativité.

"London Canal Stroll (8)"

LLO: Vous avez environ 36.000 photos sur Flickr. Où est votre endroit préféré pour aller avec votre appareil photo?

JK: Si il existait qu'un seul endroit, ce serait près de la Tamise et le Royal Festival Hall, mais également  le marché de Deptford sa rue principale avec ses arts muraux, mais aussi les différents marchés et festivals de Londres. Partout autour de moi, je trouve de l'inspiration dans la riche diversité de Londres.

"Angela à Little Venice (16)"

LLO: Quand et comment avez-vous commencé à s'intéresser à la photographie?

JK: On m'a dit, en 2004, je ne connais pas assez bien l'anglais pour m’inscrire à la conférence de l'écrivain à Paris, à ce moment on m'a proposé à participer dans le groupe et classes de photographie, j’ai prise alors des classes de photo documentaire. A la même époque un livre sur l'écriture proposait comme exercice d'aller dans notre propre ville avec un appareil photo autour du cou et de jouer à la touristes dans notre propre ville en regardant autour de nous avec des yeux nouveaux. En allant alors à un marché ‘oriental’ à Argenteuil, près de Paris, j'ai été stupéfait de la facilité d’en prendre des photos des marchands et la joie des gens quand je pris des photos d'eux.

Aller vers les gens était ma première motivation pour continuer. J’ai commencé donc vraiment prendre des photos à l'âge de 70 ans, avant je pensais surtout à écrire, comme moyen d’expression.

"Underground 1"

LLO: Quel type de caméra que vous utilisez?

JK: J'utilise la plupart du temps un petit appareil photo compact que je peux porter avec moi (et oui, je le fais) tout le temps. J'ai acheté il ya quelques mois un ‘réflexe’ plus sophistiquée, mais je ne l'utilise pas beaucoup, en fait. Ma photographie est plus documentaire que "artistiquement" orientée, de sorte qu'il est préférable de l’avoir toujours prêt, avec moi dans ma poche.

"Centre de Greenwich"

LLO: Pas beaucoup de plus de 70 sont sur Flickr ou des blogs de la manière quotidien comme vous. C'est formidable de voir ça. Vous avez aussi de la vidéo, un blog avec votre premier journal intime à partir de l'âge de 10 traduit de l'original hongrois, blogs en français et en anglais. Comment étiez-vous si intéressé par la partage des photos- et les blogs?

JK: J'ai découvert les blogs, après avoir essayé sans succès de publier mes journaux traduits en français (10 à 70). Sur le web, le blog m'a donné instantanément un outil facile à utiliser, une place où je pourrais publier. Ce fut le même temps, presque, que j’ai commencé mes classes documentaires de photo de Paris, j'ai été ravie d'être en mesure de publier, via Flickr, aussi les images prises. C'est ainsi que j'ai découvert Flickr, mais ensuite que j'ai découvert aussi ses divers groupes et beaucoup d'interactions, s’y passe. J'ai également rencontré personnellement certains blogueurs et aussi des photographes de Flickr venant et vivant partout dans le monde. Ils sont venus à Paris, maintenant à Londres, de la Nouvelle-Zélande, Australie, Amérique, Brésil, Espagne, etc, et j’ai fait avec eux des balades photo, à Washington, à Palerme, etc. presque partout où je vais.

"Soho"

LLO: Je suis très intéressé par votre album Flickr appelé «Londoniens» avec 978 images. Pouvez-vous nous dire quelques mots à ce sujet?

JK: J'aime l'interaction avec des gens, même si pour un temps court, et je ne me sentais seule. J'ai commencé mon album «Parisiens», puis j'ai fait une série de personnes dans tous les lieux que j'ai visités : les Marocains, les Siciliens, les Roumains, etc  Donc, il semblait normal d’en faire un album ‘Londoniens’ plus de 1000 rencontrés dans un ans et demi.  La plupart d'entre eux me sourit chaleureusement, enchantés d'être photographiés. De plus en plus souvent, ce sont eux qui me remercient, se sent bien comme des célébrités, après je prends la photo, et après je leur montre le résultat dans la fenêtre de mon appareil digital, nous discutons un peu aussi, lorsque c'est possible.

"Early Samedi à Farringdon"

Au début, à Paris, par exemple, dans les magasins et marchés, je leur donnais également leur photo une semaine ou deux plus tard, puis je prenais des nouvelles d’eux. Aujourd'hui, je donne l'adresse de Flickr où ils peuvent trouver et télécharger, utiliser les photos que j'ai prises d'eux, ou les offre par e-mail. Et certains d'entre eux me demandent aussi de prendre des photos de moi, ou de moi avec eux, moi avec leurs amis. Ainsi, parfois, c’est très réciproque.

"Soho"

J’ai eu un projet mené à bien pendant une année, de découverte des 20 arrondissements de Paris, un par un découvrir des lieux moins connus, le plus souvent de nouvelles même pour moi qui avait vécu à Paris pendant des longues années. Venant à Londres, j'ai essayé de faire la même chose, mais au lieu de "arrondissements", j'ai trouvé surtout des festivals et marchés divers.

J'ai constaté qu’à Londres, il y avait encore plus de gens assoiffés d'attention. Prendre une photo d'eux remplit un peu cette lacune, je crois.

"Goût de Vivre»

LLO: La capture des photos de Londoniens est-il un projet en cours pour vous?

JK: Oui, bien sûr. Dernièrement, j'ai demandé mon chemin à un livreur âgé dans une petite voiture, ensuite j’ai demandé si je peux prendre sa photo, oui, c'était hier, le voici! Il était enchanté.
xx

J’ai aussi pris des photos et des petites vidéos de la parade de Nouvelle Année à Londres, ne réalisant pas jusque la fin que mes jambes étaient congelées et trop tendues. Il m'a fallu ensuite une semaine pour se sentir mieux, mais oui, ça valait le coup.

Je suis allé l'année dernière au Festival Musée ouvertes la nuit, et la photo que j'ai prise là, est aussi sur gens, pas seulement peinture et sculpture. Je ne demande pas toujours. Parfois, comme dans cette photo, on ne peut pas déranger les gens interagissant les uns avec les autres. Une de mes photos de cet événement a remporté le premier prix et on m’a demandée  d'être la photographe "officielle" de l'événement de cette année.

Late Night at Musées - Musée du portrait après 9pm

LLO: les Londoniens sont généralement un peu sceptique d'être contactés par des inconnus, mais la plupart des gens dans vos images semblent vous regarder avec chaleur. Comment allez-vous demander de l'autorisation de prendre photo de quelqu'un?
JK: J'ai beaucoup réfléchi à cette question, comme beaucoup d'autres photographes me l'ont demandé. Je comprends maintenant encore mieux, après avoir terminé mes dix discours de projets pour devenir «compétent Communicateur" à Toastmaster. Le projet numéro 5 a été tout sur le langage corporel. Je pense qu'avant, et parfois même au lieu de parler, nous regardons le langage du corporel de l'autre. Quand on les regarde de façon conviviale, admirative, pleine de sympathie, l'autre répond à cela avec confiance. On ressent, non pas une intrusion, mais une connivence, une acceptation l’un de l’autre.

"Thames Walk avec Klara - 39"

Je ne pense vraiment pas que mon âge ou sexe est la cause principale que les gens m'accepte et sont sympathique vers moi. Cela pourrait être vu dans plusieurs de mes photos, mais c’est surtout leur réaction à ce que je ressens, comment je les regarde, bouge, et aussi, parfois, leurs parle. Je leur offre la sensation de se sentir bien dans leur peau, en appréciant la manière dont ils sont. Comme ils sont.

En voici un exemple, un jeune "punk"- like jeune garçon, dont la photo que j'ai prise à la fin de ma photo promenade à Festival Diwali Hindou à  Trafalgar Square, Festival de la Lumière, Il était si fier je l'ai choisi et que j’ai apprécié la façon dont il a préparé ses cheveux!

Jeune garçon avec "Punk" cheveux au festival de Diwali, Trafalgar Square

Bien sûr, tous ne disent pas "oui", mais alors? Je suis prêt aussi parfois de ce «non» comme nous devrions tous l’être, lorsque nous demandons quelque chose à quelqu'un. Mais, en prenant des photos de personnes, jusqu'à présent, j'ai eu tellement plus "oui" ou des "pourquoi moi?" que des «non».

"Greenwich Park un dimanche - 83"

LLO: Quelle image vous êtes le plus fier et pourquoi?

JK: Ce n'est pas si facile de choisir une image à partir d'environ 100.000 prises à partir de l'âge de 70 ans. Ceux que je préfère ne sont pas celles qu'on a regardé déjà  20,000 fois ou 6000 fois sur le web, ou ceux de "prix" non plus. Elles sont tous des photos avec lesquels je me sens un attachement sentimental, comme celle de ma petite-fille avec son amie -camarade de classe noire, les deux fillettes de 8 ans, près de l'autre me souriante édentés.

Ou cet homme dont l'âme est révélé dans une photo que j'ai prise avant qu'il ne le savait pas, plus tard, j’en ai pris d’autres aussi de lui, mais à ce moment, il avait déjà «composé» un visage.

Si je dois donner une seule des images, peut être, je donnerai celle-ci. Simple, des cerises de mon jardin, dans lequels je reconnais "comment est la vie familiale": certains seules, certains viennent de perdre leurs paires (comme je l'était en ce moment que je l’ai prise), certains avec des enfants, et d'autres encore, leur vie empoisonnée avec un mauvais entre eux.

«Cerises»

LLO: Qui sont vos artistes préférés, basé à Londres?

JK: j'aime beaucoup, certains conteurs basée à Londres, et ont une grande admiration pour le professeur et le photographe John Levitt conduisant le LIP Greenwhich, il vient aussi de former un groupe d'étude conjoint avec l'Université Goldsmith. Un excellent photographe modeste, un animateur des groupes, il est une véritable inspiration pour moi.

Self-portrait - "Après la natation"

mercredi 24 février 2010

Une photo par Sara Geidlinger


Ine mage me rechauffant le coeur que je voulais partager avec vous - je voudrais bien que cela soit de moi, mais c'est par Sara, en clickant dessus, vous pouvez regarder aussi ses autres images.

Une interaction 'reussie\

Mon interaction avec mon audience n'etait pas a la niveau hier soir, par contre.

Encore une fois, j'ecris a pariir d'un mac anglais, pas de clavier francais, je garde mon petit fils un peu malade et dormant pres de moi.

Hier, mon contact avec l'audience etait loin de ce que j'aurais eime - bien sur par ma propre faute. Certaines ont aime, d'autres ont dit que ce n'etait pas une histoire mais un discours.

En fait, je l'ai effectivement plutot dit que mise en scene devant eux comme j'aurai du faire. Les details sensuelles, les images que j'avais pourtant prepares, etaient absents de ma presentation de hier.

Il me faudra du temps pour comprendre pourqui au juste, mais hier soir, j'etais assez triste, il faudrait que j'ai l'occasion de la raconter ailleurs, une autre fois, et envelopper la morale de l'histoire davantage, dire moins et dire avec plus de details et nise en scene.

La femme qui devait en faire l'evaluation etait si critique que a la fin, plusieurs ont saute a ma defence, mais chez moi, en ecoutant l'enregistrement que j'ai prise, je me suis rendu compte que dans la plupart de ce qu'elle a dit, elle avait raison,

Helas.

Regarder une interchante chaleureuse entre papa et fillette, me rechauffe le coeur, mon hietoires aurait du aussi en etre un peu ainsi.

Une photo par Sara Geidlinger


Ine mage me rechauffant le coeur que je voulais partager avec vous - je voudrais bien que cela soit de moi, mais c'est par Sara, en clickant dessus, vous pouvez regarder aussi ses autres images.

Une interaction 'reussie\

Mon interaction avec mon audience n'etait pas a la niveau hier soir, par contre.

Encore une fois, j'ecris a pariir d'un mac anglais, pas de clavier francais, je garde mon petit fils un peu malade et dormant pres de moi.

Hier, mon contact avec l'audience etait loin de ce que j'aurais eime - bien sur par ma propre faute. Certaines ont aime, d'autres ont dit que ce n'etait pas une histoire mais un discours.

En fait, je l'ai effectivement plutot dit que mise en scene devant eux comme j'aurai du faire. Les details sensuelles, les images que j'avais pourtant prepares, etaient absents de ma presentation de hier.

Il me faudra du temps pour comprendre pourqui au juste, mais hier soir, j'etais assez triste, il faudrait que j'ai l'occasion de la raconter ailleurs, une autre fois, et envelopper la morale de l'histoire davantage, dire moins et dire avec plus de details et nise en scene.

La femme qui devait en faire l'evaluation etait si critique que a la fin, plusieurs ont saute a ma defence, mais chez moi, en ecoutant l'enregistrement que j'ai prise, je me suis rendu compte que dans la plupart de ce qu'elle a dit, elle avait raison,

Helas.

Regarder une interchante chaleureuse entre papa et fillette, me rechauffe le coeur, mon hietoires aurait du aussi en etre un peu ainsi.

mardi 23 février 2010

Ecouter

J'ai commencé un cycle "Raconter des histoires" avec plusieurs leçons, donné par un conteur donnant aussi des cours, Doug Lipman. La première leçon est sur "écouter".

L'importance énorme d'écouter.

Il n'y a pas de l'histoire raconté, s'il n'y a pas quelqu'un l'écouter. Ensuite, expliquant l'importance de découvrir une histoire nouvelle en le racontant à un copain et le dire plusieurs fois aussi pour écouter la réponse, pour se rendre compte quelles parties touchent, quelles sont incomprises.

Aussi, expliquant l'importance d'écouter la réponse de l'audience. Des pauses. De l'écoute non pas critique mais amicale, encourageant, comme il dit: "listen with delight" - écouter avec plaisir, enchantement.

Après le texte de 16 minutes, la première leçon offre des exercices.

Ecouter.
Etre écoutée.
et d'autres où je ne suis pas encore arivée.

Hier, j'ai eu Richard à écouter, pendant qu'il m'expliquait ce qu'il veut mettre dans son prochaine récit, et je crois, qu'en l'écoutant, mais aussi parlant un peu de ses succès et problèmes, j'ai réussi à l'aider.

J'ai écouté.

Ensuite, j'ai raconté l'histoire que je vais dire ce soir devant plus de vingt personnes, "un récit avec morale" où figure surtout mon arrière grand-mère.

J'étais écoutée.

Il m'a aussi conseillée à faire plus des transitions, de mon arrière grand mère, Paula vers mon histoire. L'histoire de Paula a prise de plus en plus importance, au fur et à mesure que j'ai préparé ce récit, mais il a resté malgré tout une partie où je donne une exemple de sa sagesse appliqué à moi. Il fallait les lier mieux.

L'après-midi, j'ai raconté la même histoire, d'abord à mon petit fils, qui a corrigé quelques mots mal prononcés, ensuite à ma petite fille, qui m'a conseillé à parler de l'histoire arrivée à Paula en troisième personne pour qu'on ne peut pas la confondre avec moi.

Pleines des bonne conseilles!

Ainsi, la journée est passée rapidement. Je suis arrivée chez moi épuisée, et pour une fois, sans écrire un note de blog. Ce matin, je me suis mise, avant partir. J'espère, que je vous ai manqué, mais je vais tâcher à ne pas faire des pauses trop souvent.

Je suis convaincue que si je veux être écoutée et lu, je dois être là, présente, jour à jour, et non pas comme dans mon propre journal quand l'envie me prend.

Il y a toujours quelque sujet à discuter, mais rarement, cela m'arrive à ne pas avoir tout l'énergie à m'y concentrer. Ainsi, commencer le matin, c'est mieux.

Ce soir, je vais raconter mon histoire, aussi essayer de l'enregistrer. Plus tard le transcrire et le raconter aussi en français. La différence fascinante avec un récit raconté et écrit est que le premier peut être changé selon l'audience, le sentiment, la place, ainsi de suite. Raconté un peu autrement, à chaque fois.

Je me suis dit déjà il y a vingt ans que c'est merveilleux de pouvoir changer un texte écrit dans l'ordinateur, mais à chaque fois, il faut le réimprimer, à l'époque il n'y avait pas encore de web à la publier. Je ne sais pas encore sur les textes dans un blog, mais je ressens que on doit les retrouver tel qu'on les avait publiés. Au moins, en gros.

Peut-être, avec le temps, on pourrait commencer à le regarder comme des histoires racontées oralement, et les adapter au public - en tout cas j'écris différemment en anglais et en français, ici ou sous mes photos. C'est toujours moi, mais une autre facette de moi se montrant.

Et maintenant, je vais tâcher de raconter mon histoire en l'enregistrant, et m'écouter moi même. Je suis, un public assez critique de mes récits, mais je n'entends pas la même chose que mes amis et familles. Chacun de nous entend autre chose, écoute différement.

C'est merveilleux!

dimanche 21 février 2010

Pourquoi on désire une chose et pas une autre?

Quelques images seulement d'une village, un pub, un environment que je cherchais depuis des années. Je les a plus ou moins retrouvé en Juin 2007, vers la fin de mon voyage en Irlande.


Cela faisait des années que j'avais envie d'y aller: après avoir lu la trilogie qui s'y passait "née..." par Nora Roberts. Elle a décrit l'environnent et les gens de là bas avec un tel amour!

Ce n'est que des années plus tard, en 2007 que j'ai réussi d'y aller - la première fois. Hier et aujourd'hui, écoutant les livres lus par un natif, en partie avec l'accent chaude et chantant de là, j'ai décidé d'y retourner. Seule. Si possible, cette printemps ou automne.

Oh, il y a tellement des raisons qui nous attirent ici ou là, faire ceci et pas autre! Une bon écrivain, est Nora Roberts en est, un bon acteur lecteur, peut nous apporter tellement des joies et des désirs de les connaitre en partie par nous même!

Et voilà quelques images d'Ennis, que j'ai prise trop rapidement, ma copine ne trouvant pas "intéressant" les lieux. Bien sur, elle n'a pas lu le livre qui se passe par là, "romances? pas moi!" m'avait elle déclaré quand je lui ai offerte à les lire. Ennis, je reviendrai!

samedi 20 février 2010

Reflets d'hiver


Il était au-dessous de zéro ce matin, mais pas de neige.

Comme vous pouvez voir dans ces reflets, l'arbre dénudée, le ciel bleu et les nuages blancs dans l'eau de pluie pas tout à fait gelé.

Je ne suis pas sortie, et je ne sortirai pas aujourd'hui.

Toute la journée j'ai écoutée des livres audio en anglais. En écoutant, les livres que d'habitude je lis, je m'habitue au inflexions, prononciations, façon d'expressions.

Sauf des fois, rarement, je comprends dorénavant ce qu'ils disent, et avec le CD, je peux réécouter, non seulement quand quelque chose n'est pas claire, mais aussi quand je veux apprendre une phrase, et comment cela sonne.

Et des fois, quand une partie me plait spécialement.
London winter in a puddle-1

Pas tous les livres lus sont de la même qualité, mais en générale, ça va. Ils me tiennent pendant des heures près de la télévision, à travers laquelle j'écoute les livres.

Pendant une journée froid c'est une merveilleuse passe temps!

vendredi 19 février 2010

En redecouvrant les anciennes photos


Paris, Notre Dame.

Entre la cathedrale et la Seine, sur une allee tranquille, un couple. Pas tout jeunes, et si tendres l'un envers l'autre.

J'adore voir l'amour se manifester, mais j'etais encore plus fascinee par ses chaussures si sensibles, sans talon, d[une certaine facon parlant de sa personalite.

Mais cette image n'a pas ete prise d'aussi pres, voila l'image telle que prise.

Oui, de nettement plus loin, bien sur.


Amoureux à Paris
Dqns cette imqge on voit la meme chose, presque, mais aujourd'hui, je prefere celle-ci, meme si on doit la regarder en fait en plus grande pour voir ce que je croyais voir quand je l'ai coupe de ce qui les entouraient.


Les deux ensemble, et une troisieme prise en meme temps donnent mieux le tout de l'experience de ce jour et de la.

jeudi 18 février 2010

Equlibre fragile


Cela peut être poussé vers haut ou bas, non gré au vent ou l'eau, mais des personnes ou des poids dedans.

Comme dans notre vie.

Lundi, après ma visite au Musée Martime, avec mes petits enfants, j'ai trouvé une des poches de mon manteau ouverte.

"J'étais volée!"

Une sentiment affreux. Une violation de "moi". Une sentiment de vulnérabilité.

Que m'a-t-on volé?

Mes clés! Où sont les clés de mon appartement, de ma voiture, tout ensemble? Nul part. Le problème n'était pas comment je vais entrer, j'avais des clés chez ma famille, mais qui va entrer chez moi?

Qui va violer mon intérieur, qui va prendre tout ce qu'il a envie de mon logement, de qui avoir peur?

J'avais peur.

Le soir, j'ai tremblé avant d'ouvrir, pleine d'appréhension de ce que je trouverai à l'autre côté de la porte.

Rien. Personne n'était entré dans mon absence.

Et demain? Et après-demain? Que faire? Téléphoner au Musée, peut être, les clés sont tombés là, comme quelqu'un m'a suggéré. Hélas non. Après une journée entière, quand je n'ai pas osé bouger de la maison "qui va entrer dans mon absence?" on m'appelle: "vos clés ne sont pas ici, nous n'avons pas trouvé des clés."

J'ai mis ma tête sous le sable. "Demain, je vais décider que faire."

Refaire les clés? Annoncer la perte, le vol? Qui et quand a pu voler? M'approcher? Pourquoi? Y avait-il mon adresse près des clés? Ma carte que j'offre aux autres pour m'appeler, me contacter?

En général, ce n'est que l'adresse email, adresse de mes images, de mon blog. Mais, si près de clés... que j'avais mise près de mes clés dans la même poche, retrouvé vide et ouverte?

Hier matin, à cinq, je me suis levée décidée.

Sors ta tête du sable, agis! Et, essais, une dernière fois, être tout à fait sur, de n'avoir les clés "ailleurs."

J'ai sortie tout de tous mes nombreux poches, ensuite, j'ai commencé à tâter mon manteau bout par bout.

Dans le manche, tout bas, j'ai retrouvés mes clés.
Key in the garden
Non, ce n'est pas les mêmes, ce sont des anciens clés, des nouveaux, je n'ai jamais prise une photo.

Ouf.

Je les ai. Personne ne les a pas touché. Je n'étais pas tranquillisée qu'à moitié. Toute les scénarios imaginés, je n'arrive pas encore tout à fait sortir de ma tête, elles me paraissent encore presque comme réelles.

Tellement des choses se passent dans notre tête!

"Tu as appris une leçon" me dit mon petit fils. La prochaine fois, tu regarderai mieux. La prochaine fois....

Une leçon? Ne pas imaginer aussitôt le pire?

A quoi tout cela a servi, je me suis demandé, comme c'est mon habitude. Au moins, pour avoir un récit à raconter. A la longe, peut être de paniquer moins vite. De ne pas imaginer aussitôt le pire.

mercredi 17 février 2010

"Mon père, le faussaire" - de TED Paris

Sarah Kaminsky raconte la vie de son père, faussaire pendant et après la Seconde Guerre Mondiale. Enregistré à TEDx PARIS le 30 Janvier.

TEDxParis - Sarah Kaminsky - 01/30/10

Pourquoi est-il devenu faussaire? La réponse est: la culpabilité du survivant. C'est quelque chose que je connais, moi aussi. Je n'avais pas 17 ans pendant la guerre, je n'avais que 11 ans après la guerre, quand je me suis rendu compte de ce qui s'y était passé. Je me souviens davantage encore, aujourd'hui, en écoutant cette histoire, racontée par Sarah, de la culpabilité ressenti par mon père. Lui, c'était à cause de la mort de ses parents.

Pourtant, il n'était pas responsable. Il croyait qu'il aurait dû mieux les protéger. Même après avoir découvert, que c'était une voisine voulant mettre sa fille qui devait se marier dans l'appartement où ils habitaient, qui les a dénoncés, sachant bien que c'était les nazis et autorités fascistes de la ville qui les avaient emportés, apprenant, a la longue aussi que son père était mort sur le wagon les emportant déjà, il se sentait coupable, lui, leur fils, de ne pas les avoir su mieux les protéger.

Il a protégé son famille tout proche, sa femme et sa fille. Nous avons vécu pendant une année entière avec, non des fausse papiers, mais des papiers qui nous appartenaient pas. Des papiers d'une autre famille.

Nous nous sommes cachés, même ainsi, partis d'une place à l'autre pendant une année. Pour être sûr, personne ne nous reconnais, les vrais "nous" qui n'étions ceux de papiers que nous avions, que nous avons dû montrer, mais rarement.

Pas survécu non plus, ma cousine, de même âge que moi. Elle n'est jamais arrivé à dix ans. Ceci est ma culpabilité ressenti encore ce jour. Je sais bien que je ne pouvais rien faire, même pas pu lui dire au revoir, quand nous sommes partis subitement, dans une heure, de la maison. Bien sûr, a l'époque de départ, je ne savais pas le danger nous entourant, nous menaçant, le danger devant lequel nous avons parti.

Ma cousine est resté avec sa maman. Son père était déjà mort. Sa maman était une des "cause" de la mort de mes grand parents paternels, elle est allée pleurer la mort de son mari a la voisine qui, par la suite, les a dénoncé. Elle était une femme ayant perdu son mari, bossu, emporté quand même a la guerre, parce qu'il était juif. Elle avait aussi refusé à ne pas dire à l'école que sa fille, ma cousine, était juive. Elle avait quelques sentiments religieuses et surtout, la volonté à dire "la vérité".

Ce n'est pas "la vérité" qui les a tué, pas sa vérité. C'est des gens ayant décidé à assassiner des vieux, des bossus, des enfants, tellement d'autres aussi, seulement à cause de leur origine. Et tous qui ont collaboré à les aider à la faire. A les trouver, à les ramasser, à les dénoncer, à les transporter.

Les transformer en fumée.

Quand j'avais onze ans, je croyais encore ce qu'on disait à l'époque: on a fait du savon avec eux. Il parait que ce n'était pas vrai.

Je dois partir, bonne journée.

Ecoutez, tedxparis, chacun y trouvera quelque chose d'autre...

lundi 15 février 2010

Poussins en Transylvanie


Je voudrais bien avoir prise cette image - mais ce n'est pas par moi.

Un jeune etudiant l'a pris chez son grand pere pendant qu'on voyagait enseble, un jour de Szovata a Kolozsvar (Cluj).

Il m'a passe les images qu'il avait pris (et moi, les mines) donnant l'un a l'autre le droit de les utiliser.

Pour un temps, Zoli etait aussi sur flickr, je ne sais pas ce qui est arrive avec lui, j'espere qu'il a reussi a finir ses etudes. Il est en tout cas un photographe avec beaucoup de talent.

Je ne sais pas pourquoie et comment cette image est arrivee en haut de mes images, mais elle me parle.

Il raconte une histoire et me fait rappeller aussi des quelques heures de voyage tres interessante sur les routes de la Transylvanie.

dimanche 14 février 2010

Couples


http://www.flickr.com/photos/joyoflife/sets/72157623431017436/show/

111 photos of couples:

cela commence avec quelques images de ma famille, mais rapidement arrive a la première couple s'embrassant près de Notre Dame à Paris,

Comme j'ai une âme de soufragette, et aspire toujours être à leur place, je prends des images des couples, perdus l'un dans l'autre ou me souriant, en ayant une plaisir spécial.

A chaque fois, je me dis: "l'Amour existe!"

Bon, c'est vrai que ce n'est pas aussi durable qu'on voudrais, que je l'aurais voulu, au moins pour moi ce ne l'étais pas, mais il pourrait encore être, me témoignent tous ces couples prises de loin ou de près, au cours d'une promenade se tenant main à main, ou une campagne "Embrassez-vous" de la Défense.

J'ai créé un album "couples" pour ce jour de "Valentine" 2010, qu'on peut regarder en diaporama ou un par un, couples de toutes les âges!
Diapo Couples

Detail Couples

On peut être heureux en couple ou heureuse que cela existe!
Pour ceux qui n'ont pas le temps de découvrir leurs préférées tout seul, voilà quelques unes de miennes.


Baiser (caché) près de place Bastille
Baiser caché près de place Bastille - une des premières prises, 2004
Amoureux à Paris
Les amoureux a coté de Notre dame - cela reste mon préfée peut être entre toutes
Then supprise, a couple kissing
Première image d'un couple avec cheuveux blancs, ils étaient près de la Seine
Paris 5e arrondissement -40
Un couple arrivant de new zeeland à Paris, photographes eux mêmes
Notting Hill Gate couple
Couple a Paris: il ne pouvait pas tenir sa main à ne pas la toucher, sur les genoux ou là où le bébé était encore caché, ici ils posent, mais j'ai pris aussi des images "avant"
Depford photo stroll-25
Couple des copains blogeurs, arrivés ici à Londres et une promenade photo ensemble: c'est une joie observer leur bonheur!
Bonheur detail: "We are in London!"
Mon couple des Russes juste arrivés à Londres: qu'il était fier de pouvoir montrer Londres a elle
Crown Woods_couple
Oui, juste quelques images pour ce jour: les regarder, me donne courage

samedi 13 février 2010

1994, de mon journal (voir Retroblog)

De l’opérette Don Quichotte que je viens de réécouter et revoire  :

What does it mean, To follow the quest ? Qu’est que signifie “suivre sa quête?”
to dream the impossible dream
to fight the unbeatable fight
to bear with unbearable sorrow
to run where the brave dare not go
to write the unwritable role
to love pure and chaste from a far
to try when your arms are weary
to reach the unreachable star
no matter how helpless,
no matter how far
to fight for the right.
And the world would be better for this.
Rêver la rêve irréalisable
lutter la lutte impossible
supporter un tristesse insupportable
aller là où même le courageux hésite
écrire un rôle inécrivable
aimer de loin, sincère, forte
Continuer quand on est lasse.
Tendre vers l’étoile lointaine
même s’il n’y a plus d’espoir
et n’importe combien ça parait loin
lutter pour ce qui est juste
Et le monde deviendra meilleur ainsi !
Granada Spain 1st impressions-13_v2Je ne sais pas si le monde devient meilleur, parce qu'on suit sa propre quête, mais cela donne surement une bonne exemple et du courage aux autres de suivre leur propres quêtes. J'ai perdu et gagné des luttes, mais en générale, je suis très perseverante, quoiqu'on me dit "impossible" me donne encore plus envie d'y mettre tout et prouver qu'ils n"ont pas raison.

Des fois, je montre comment c'est possible, et ensuite la voie est tracé et les autres peuvent me suivre avec plus de courage. Par exemple, je raconte des histoires personelles, et mardi, un jeune me disait: "j'ai raconté une histoire personnelle, en m'inspirant de toi". J'ai décidé à terminer rapidement mes dix discours, et pour que cela soit possible, j'allais à deux clubs, j'ai entendu proposer la semaine dernière "il faudra que ceux qui veulent terminer jusque Juillet, vont aux deux clubs - et cela même par ceux qui m'ont dit encore il y a une année "impossible."

Bien sûr, souvent, il faut sortir de la boite, un cercle plus loin, pour trouver une solution. Ou attendre, des années, pour que le but soit atteinte. Mais je crois dans ce que ce poême dit.

vendredi 12 février 2010

Valentine "Parlez-moi d'amour"


Une carte postale arrivant incognito?

Un repas dans un restaurant? Vin et chocolat?

Non! pour moi, si on veux créer une mode "romantique", ce n'est pas une voyage vers une destination inconnue, dans un hôtel haut classe, comme le rêvait hier, un des participants de ma réunion Toastmaster, ni un repas dans un restaurant trop pleine ou trop vide, ni même un cadeau acheté "parce que tous le monde le fait" et "parce que je l'ai pas fait l'année dernière".

Un bouquet des fleurs, ou même une seule.

De la musique douce "Parlez-moi d'amour"

Parlez-moi d' amour
Redites-moi des choses tendres
Votre beau discours
Mon cœur n' est pas las de l' entendre
Pourvu que toujours
Vous répétiez ces mots suprêmes
Je vous aime

Même si ajoute "malgré moi, je veux y croire".

J'ai trouvé cette version sur un blog copine, allant de celui de Kat Imini à celui qui a commenté sous un de ses notes, la façon que je découvre souvent des nouvelles êtres, me promenant de blog en blog. Mais, cette fois, je me suis aussi promené de vidéo en vidéo sur le YouTube, pour trouver divers versions de la même chanson.

Dayna Kurtz: parlez-moi d'amour


Juliette Greco: parlez-moi d'amour


Ensuite, j'ai fait une saute dans le temps, dans l'époque que je n'étais pas encore née, autour du temps quand j'étais conçue, dans les temps des pathéphones qu'on tournait à la main.

Lucienne Boyer: parlez-moi d'amour 1930

'vous savez bien qu'au fond je n'y crois rien, pourtant...
mais malgré moi je veux y croire'

Carlos Gardel "Parlez moi d'Amour" - très vielle aussi, et peut être même une des premières, ne n'ai pas trouvé de l'année, mais j'aime cette version chanté par un homme


Et pour finir, cette version moderne, joué par un couple d'instrumentalistes, chanteurs, "les Chauds Lapins"

chauds lapins avec instruments musicaux

Il est si doux
Mon cher trésor,
d'être un peu fou
La vie est parfois trop amère
Si l'on ne croit pas aux chimères
Le chagrin est vite apaisé
Et se console d'un baiser
Du cœur on guérit la blessure ...

Ces vidéos sont mon offrande d'amour pour vous, mes chers lecteurs et lectrices.

Ah oui, nous ne sommes pas les premières à ne plus y croire et d'y croire malgré tout!

jeudi 11 février 2010

Répétitions, règle de trois, rhétorique

Tant de choses à dire au sujet de la rhétorique!

Son pouvoir était déjà connu il ya plus de 2000 ans! Elle peut être trouvé encore dans les discours politiques, dans les discours des avocats, tout sorte des discours et histoires, et même, dans les romans d'amour comme ci-dessous.

Voici une exemple, trouvée récemment.

Rythme, répétitions. Courtes et longues phrases. Règle de trois.

Du livre, Rituel de la preuve, de Dara Joy, 2001

Les relations entre hommes et femmes d'une autre planète où les femmes occupent tout le pouvoir, si drôle et pourtant tant  de sagesse, dans ce livre, un roman d'amour Regency inversée en même temps.
La rhétorique est encore plus puissante en cette fin du roman.
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Green Tamryn se déplacait avec une précision contrôlée.

La force intérieure guidait la séquence secret des formes, la création d'une abstraction héroïque à travers le pavage en pierre. Les mouvements à la lumière feutrée d'aube imitant le bruissement du vent pendant que toute la maison dormait.

C'était le meilleur temps, ce temps calme.

C'était le temps de renouveler sa vision.


C'était son temps de reposer l'esprit.


C'était le meilleur moment pour de nouvelles compréhensions.


Avec un mouvement mortel, le météore à double lame faisaient écho à travers les arbres. Expertement en bandoulière, leur trajectoire fatale prit de la vitesse et l'impulsion dans la position classique de mouvement du Maitre. Cordes produssant un arc vers dehors. Comme des amoureux, ils bougaient ensemble pendant que les premiers rayons du jour à crête de l'horizon.

Le périmètre bruissaient en soupirant à l'impulsion du même battement. Flora tremblait d'espoir que l'aube approchait, annonçant la majesté d'être simplement vivant.

Chant de matin de la planete. Chanté avec la symétrie parfaite Maitrise.

Elle était l'ombre.

Elle était l'arme.


Elle était le vent pouvant changer.


Maintes et maintes fois le rite se répétait, en s'appuyant dans une danse d'une beauté mortelle. Balance. Descente. Tournoyant. Saute. L'expertise n'a jamais été simplement dans l'exécution des formes, mais dans la forme de l'exécution.

Elle n'était pas relié à la planète, mais à une sagesse parallèle, jaillissant de sa source.

Sa danse arrivait de la connaissance de quand aller en avant et quand faire une pause.

Quand  se battre et quand faire une attendre.


Et quandlaisser les autres terminer la ronde, pour le bien de tout l'événement.


Tout avait bien tourné, tel qu'elle avait espéré.

La menace disparu. La passionrévélée. Fierté restauré. Une nouvelle vievenu apporter de la joie. Et, à l'improviste, un ancien amour avait fini par se révéler à tous.

Pourtant, il y avait un autre là-bas, pas encore révélé ...

Et le soleil allait se lever.

Green prêt à écouter cette aurore qui arrivera, peu importe sa voix. Car elle était une femme d'abord, avec un cœur de feu et de la sagesse pour savoir que la danse que nous suivons est toujours en notre véritable rituel de preuve.

Et elle ne peut jamais être tenue dans la cour d'un pays ou planet. Seulement dans la cour de notre supérieur être .
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par cette fin, nous nous rendons compte, que la héroine, était en fait un Master combattante, et elle aurait pu gagner la lutte, au lieu, comme nous l'avons vu dans le dernier chapitre, la laissa terminer pour elle par lui, mais ainsi, lui a rendu sa fierté .Amusant, sage ethistoire  l'amour peut être imaginés et écrites, et combiinés avec de la connaissance de la rhétorique.

mercredi 10 février 2010

Festival femmes ATMF


Festival des femmes d'origine maghrébins, d'Argenteuil, chantent ensemble, quelle souvenir agréable!

Des fois, mes journées d'Argenteuil me parraissent grises, mais combien des belles souvenirs les photos et même ce que j'ai écrit dans le temps m'apportent de loin.

C'est par hasard que j'ai tombé sur l'association de travailleurs maghrébins, et ensuite, j'ai été invité à leurs festivals et j'ai pris des images qui, m'e font maintenant revivre ses très agréable moments.

Non, tout n'a pas été grise dans les sept ans, même si en gros je me suis sentie trop seule.

mardi 9 février 2010

Je ne peux pas commander

Flower tendress
Je ne peux pas commander le printemps, la faire arriver plus rapidement, quelque jonquilles jaunes peuvent me faire rêver, la souhaiter, l'espérer.

Et soudain, dehors, il commence à neiger.

C'est un tout petit neige, pas comme a Washington, mes petits fils habitant là n'ont pas eu même de l'électricité tout le weekend!

Tellement sérieux l'hiver et une énorme couche de neige était là.


Back Porch , originally uploaded by thibaud1993.
Nous voulons passer aussi vite que possible les mauvaises périodes de notre vie aussi, espérons arriver au bout de tunnel maintenant, plus rapidement, nous nous débattons pour la faire arriver chez nous, en nous, autour de nous, le plus vite possible.

Des fois, c'est possible, autre fois, il faut de la patience, encore et plus de patience.

Oui, le printemps arrivera, un jour.

Oui, le bout de tunnel aussi, dans notre vie.

Même si nous ne pouvons la contrôler toujours, ou aussi souvent que nous le souhaitons, des meilleurs jours arriveront. En partie, on peut agir pour les faire venir plus rapidement, en partie la plus important est finalement a ne pas perdre l'espoir.

Le printemps, arrive toujours. Et, si on y croit, si on ne perd pas l'espérance, si on fait tout notre possible pour les faire venir, des meilleurs jours pour nous aussi.

lundi 8 février 2010

Printemps dans une vase


Pour 0.99 pds, j'ai acheté la semaine dernière des fleurs pas du tout ouvertes, en apportant ainsi le printemps plus rapidement dans la maison. Et surtout, pour photographier la lente ouverture.

J'ai du les mettre en deux vases, pour qu'elles aient de l'espace.

Aie, finalement, j'ai réussi a attraper quelques phases, mais les fleurs se sont ouvertes rapidement et presque en même temps. En plus, nous n'avons pas eu de soleil depuis des jours, et la lumière naturelle, nécessaire pour moi était faible.

Toute fois, je me suis amusée avec les fleurs et leurs images.

Quelques unes les voilà, je vous les offre, d'avance, une des premières fleurs de printemps, même si celle-ci s'ouvrent a la maison.




Bonne semaine à tous!

dimanche 7 février 2010

Choix, choix


Ce n'est pas facile de choisir, et ce mois, c'est de cela que nous parlons, dans mon groupe Afterclass.

Par hasard, mais le hasard travail souvent bien, une Américaine à Londres a créé un blog, en arrivant ici, s'appelant "Le petit observateur de Londres". Enchantée de mes portraits prises à Londres, elle m'a demandé un interview et le droit de choisir avec les images de mon album portraits des Londoniennes.

Mes réponses à ces questions, m'ont fait réfléchir, sur les motivations et pas mal d'autres choses, mais ce matin, c'est surtout les choix qu'elle a fait entre mes images qui m'a enchanté.

Vous pouvez les voir dans son blog. Et même, probablement ,comme tout est possible ces jours, faire traduire par le Navigateur ou Google le texte de l'Interview.

Pour moi, le plus importante est toutefois, ce matin une "autre vue" sur mes propres images: une découverte d'un univers presque nouveau. Tant les portraits que les photo prises des interaction entre les gens, dans le métro et dans la rue, qu'elle a choisie, m'étonnent, m'enchantent, me font envie d'en créer un livre.

Pourtant, encore une fois, entre 1000 photos, lesquelles choisir et en quelle ordre? Il y a entre vous quelqu'un prête à m'aider?

C'est tout une art de choisir!

samedi 6 février 2010

J'ouvre la porte


Des livres? Non, cette fois, c'est des CD racontant des livres, ma nouvelle découverte.Ils m'aide à mieux écouter, comprendre, mais aussi apprendre la façon de prononcer des mots, des phrases.

J'ai écouté il y a quelques jours un livre, raconté en 8 CD, autant des heures, c'était magnifique.

De ce livre, lu si bien, j'ai compris tous les mots!

En anglais!

Oh, depuis, j'ai écouté un deuxième livre, au moins son début, toujours de bibliothèque de prêt à domicile, une service pour les "vieux" de plus de 70 ans.

Ben oui, alors, j'ai plus de 75 maintenant, au moins en profiter des quelques avantages aussi. Ils arrivent tous les cinq semaines, et m'apporte plus ou moins ce que je leurs demande. 12 livres, mais dorénavant, je demanderai des DVD et des CD romantiques.

Contemporains, pour me familiariser encore plus avec l'anglais.

C'est très différent, on ne peux pas sauter, ou alors, pas facilement, on écoute tout un après l'autre. Mais je peux arrêter, revenir en arrière, quand il y a une phrase par exemple que je veux apprendre ou une tournure des mots à noter.

Ce n'est pas facile à choisir, mais comme je ne voulais pas attendre encore cinq semaines, je me suis acheté quelques livres racontés! au moins, je ne dois plus les rendre.

U§ne autre façon a apprendre un langue, surtout se perfectionner. Mieux même que le télévision, où on fait trop d'attention en même temps à l'image.

J'ai pris l'image hier, ce matin, un autre est arrivé. Maintenant, il s'agit de m'arrêter et attendre, la prochaine visite de la bibliothèque, sans oublier au moins une semaine d'avance leur téléphoner quelle genre je voudrais qu'ils m'apportent.

vendredi 5 février 2010

Spark London


Une bloggeuse arrivant à Londres d'Amérique, un blog très "pro" avec des Interviews d'artistes de Londres, publiés chaque dimanche, bientôt la mienne sera publié.

C'est surtout pour parler de mes photos, les mille visages et gens de Londres, prises en 18 mois depuis que je suis arrivée ici,

Elle m'a demandé "de quoi tu es le plus fière?" - je réponds "mes enfants et petits enfants" sans hésitation, si on me demande de ma vie entière. Mais si on me demande pour l'année dernière, c'est surement mon performance, histoire personnelle raconté directement au théâtre pour une "vraie" audience!

C'était en Octobre 2009, mais ce mois-ci, il est "au front" de nouveau, sur la nouvelle site de Spark Londres. Je viens de l'écouter de nouveau et malgré des hésitations, j'adore! Aussi, la réaction de l'audience, c'est intéressante de les écouter rire de temps en temps!

Je me vois encore là, devant les réflecteurs, avec le public dans le noir, c'est la première fois que j'ai parlé ainsi, et, non seulement j'ai survécu, mais sortie bien aussi.





C'est raconté en anglais, (mon anglais) et même si je pourrais, et je vais une fois la raconter aussi en français, ce ne sera pas la même chose, sauf, si je trouve une audience français devant qui la dire.

jeudi 4 février 2010

Panasonic zoom


A maximum zoom, 12 fois si je m'en souviens, l'image sort encore net, à l'inverse de Sony avec laquelle même un zoom deux fois, ou une photo de trop près, devient plus flou.

A Londres, où j'habite, je ne dois pas me déplacer loin pour prendre en photo ces oiseaux 'sauvages' broutant, picolant dans l'herbe de la plaine : comme pleine des autres spécifies, ils vivent tout près. En allant chercher à pieds, de ma maison à l'école de mes petits enfants, je les rencontre.

Le plus souvent, sans beaucoup de temps (ou même envie) de les observer.

De temps en temps, les gens habitant autour, viennent leur apporter du pain sec ou autres ingrédients pour manger, quoique c'est déconseillé. Quand cela arrive, soudain, grand nombre des oiseaux différents arrivent en volant et luttant entre eux.

D'après mon observation, c'est toujours certaines de la même famille qui 'gagnent" a être les premiers servies, les autres attendent, que leur tour arrive.
Heath with Panasonic-18
Ce jour-là, c'est les corbeaux qui picolaient, et les autres attendaient, mais des fois, c'est l'inverse. Probablement, pour quelqu'un qui s'intéresse aux oiseaux, observer leurs vies, sera très intéressante. Moi, j'aime surtout observer leurs vole et la majesté avec laquelle ils marchent des fois majestueusement.

J'aime mieux encore observer les gens, même si sur la plaine, il y a plus des voitures qui passent sur les routes entourant que des gens. Le printemps, arrivera un jour. Peut être, on aura moins des oiseaux sur la plaine près de chez moi, mais je sortirai, moi, plus souvent vers le centre ville, prendre des photos des gens.

mardi 2 février 2010

Ce matin, centre Londres


Je devrais y aller plus souvent, il y a tellement à voir!

Voilà des bouteilles de bière, près d'un pub, pas loin de Bond street métro station, ma destination ce matin.

J'ai pris mon appareil "ancien" Sony, et en regardant les images et les comparant avec celles prises avec "Panasonic": quelle contraste!

Bien sûr, la deuxième est récent, et l'industrie ne s'arrête pas à faire des progrès.

Toute fois, avec l'un ou l'autre, j'adore documenter ce que je vois et les gens que je rencontre et avec qui je parle. Enfin, au moins certains. Comme ce vieux monsieur, travaillant, en transportant quelque chose avec sa voiture byciclette, ou petit voiture, en tout cas.

Il m'a indiqué le chemin, puis il était enchanté de lui avoir demandé le droit de le prendre en photo. Moi aussi, quelle visage intéressante!
Around Bond Street-9v
Et quel sourire sympa vers moi!

lundi 1 février 2010

Rouge


J'ai attendu hier, du matin jusque cinq heures d'après-midi passé.

Attendre, oh que je n'aime pas ça!

Je devais rencontrer quelqu'un venu à Londres, à 5 heures, mais il a négligé me dire où. J'ai écrit trois emails, téléphoné mais bien sûr, il n'était pas là, puisqu'il était en voyage. J'attendais un appel au moins, savoir où je dois aller.

Après des heures d'attente, "pourquoi vous n'êtes pas ici?"

Ici, où?

Enfin, on va se voir et parler mardi matin.

L'attente sert à quelque chose. Pour oublier un peu l'inquiétude, calmer mon impatience, j'ai fait un album "rouge" sur flickr de mes image ayant beaucoup, ou peu de rouge. Regardant l'impacte "rouge".

Certaines images sont intéressantes en tout petit déjà, d'autres seulement en grande format. Je vous offre ici des "rouges" de mon album, regarder autant que vous en avez envie ou patience. Maintenant, ou une journée ou vous devez "patienter", attendre.